Système De Gestion Intégrée De La Dépense Gid

Disclosure Authorized Public Disclosure Authorized 28067 Le Royaume du Maroc ÉTUDE D’ÉVALUATION DE LA GESTION DES FINANCES PUBLIQUES Groupe de Travail National du Ministère des Finances et de la Privatisation au Maroc et la Banque Mondiale Octobre 2003 MNACS DEPARTEMENT DE LA RÉGION DE L ‘AFRIQUE DU NORD ET DU MOYEN ORIENT LA BANQUE MONDIALE EVALUATION DE LA GESTION TABLE DES DES FINANCES PUBLIQUES MATIÈRES PREFACE .....................................

Première Partie : La gestion des flux bancaires Chapitre1 : La gestion des flux monétaires domestiques et internationaux Introduction Section1 : La gestion des flux monétaires domestiques Section2 : La gestion des flux monétaires internationaux Conclusion Chapitre2 : La gestion des flux de papiers Introduction Section1 : La gestion intégrée des documents Section2 : La gestion des documents d’archives ou records management Conclusion Deuxième partie : la gestion des processus bancaires

I LA GESTION BUDGETAIRE CLASSIQUE ET SES LIMITES II LA NOUVELLE APPROCHE DE GESTION AXEE SUR LES RESULTATS (GAR) III L’EXPERIENCE MAROCAINE EN MATIERE DE GAR IV LES AVANTAGES ET OPPORTUNITES DE L’UTILISATION DE L’APPROCHE DE LA GAR V LES DEFIS A RELEVER 2 Traditionnellement, les lois de finances présentent le budget par nature économique ou administrative de dépenses.  Cela ne permet pas de répondre aux questions suivantes:  Pourquoi les dépenses sont-elles

budgétaire Objectifs ► Renforcer l’efficacité de la dépense publique: accroître performance en orientant le budget vers les résultats; la ► Octroyer plus de liberté et de responsabilité aux gestionnaires budgétaires; ► Alléger et simplifier les procédures de la dépense publique; ► Donner plus de clarté aux choix stratégiques en renforçant la programmation budgétaire pluriannuelle; ► Renforcer la déconcentration budgétaire pour favoriser une gestion de proximité répondant aux attentes des citoyens

budgétaire Objectifs ► Renforcer l’efficacité de la dépense publique: accroître performance en orientant le budget vers les résultats; la ► Octroyer plus de liberté et de responsabilité aux gestionnaires budgétaires; ► Alléger et simplifier les procédures de la dépense publique; ► Donner plus de clarté aux choix stratégiques en renforçant la programmation budgétaire pluriannuelle; ► Renforcer la déconcentration budgétaire pour favoriser une gestion de proximité répondant aux attentes des citoyens

comptables en usage dans leur profession (commerce) et répondent par leur fortune propre de la sincérité de leur gestion. Les Oumana étaient placés sous l’autorité directe de l’Amine El Oumana qui fait office de ministre des finances. L’Amine Eddakhl : (Amine des recettes) chargé du recouvrement des produits et revenus de l’Etat. L’Amine Elkharaj : (Amine des dépenses) chargé de régler les dépenses de l’Etat L’Amine Elhassab : Qui était charge des comptes et contrôlait la comptabilité transmise par les

pension…………………………………………………………….P-14 Service fonds particuliers .....……………………………………………....P-16 Services caisse…………….………………………………..………….......P-18 CH 4 : Service dépenses visa………………………………………………………...P-20 CH 5 : Comptabilité publique……………………….……………………………….P-23 CH 6 : la Régie………………………………………..…………………………...…P-25 CH 7 : Service compte de Gestion…………………………………………………...P-27 CH 8 : Projet GID………………………………………………………..………......P-28 CH 9 : Conclusion…………………………………………………………...……....P-29 CH 10 : Annexes……………………………………………………………..……….P-30-

des investissements publics dont l’enveloppe globale est estimée à quelque 37 millions de DH. Parmi les ressorts de la nouvelle stratégie en chantier, figure en premier lieu un dispositif de pilotage dit Programme Management Office (PMO) dédié à la gestion opérationnelle du Plan Maroc Numérique 2013. Également dans le pipe, des PMO au niveau de chaque déclinaison régionale du plan ainsi que l’exploitation des synergies entre les différentes administrations concernées par le programme e-Gov. Le plan

Le système de gestion financière du secteur public au Maroc est basé sur les normes juridiques supérieures de Royaume : Constitution du Royaume et Loi Organique relative aux lois de finances sous le contrôle du Conseil constitutionnel. Le système se présente aujourd’hui comme un système assez robuste, caractérisé par une grande fiabilité et des institutions ancrées dans une longue tradition de légalité, contrôle et centralisme. Il pâtit cependant de lourdeurs et lenteurs qui affectent la relation

D’EVALUATION Mai 2010 Equipe de l’Evaluation e E Chef d’Equipe Membres de l’équipe : M. E. DIARRA, Economiste financier principal, OSGE.2 M. A. BA, Economiste principal, ORNB M. A. YAHIAOUI, Expert en chef en TIC, OINF.3 M. M. DIOMANDE, Chargé de gestion financière, ORPF.2 M. W. RAIS, Analyste Financier, MAFO M. A. TARSIM, Consultant économiste, OSGE.2 M. C. NWAHBA, Consultant économiste, OSGE.2 Mme R.Y. COFFI, Coordinatrice d’acquisitions en chef, ORPF.1 M. G. NEGATU, Directeur, OSGE M. I. LOBE NDOUMBE