Søren Kierkegaard

réconfortante. Si la croyance religieuse est une consolation pour les faibles, cela signifie qu'elle apaise notre angoisse, notre impuissance liée à notre absence de force. Or, tel n'est pas nécessairement le cas. Ainsi la croyance religieuse de Kierkegaard se donne comme une recherche douloureuse des chemins de l'intériorité. Il y a là une forme de tension existentielle qui interdit de poser la notion même de consolation du faible. Car la croyance est inséparable du drame de l'existence humaine. Croire

Kafka tel que "le procès" mettent en scène des individus luttant seuls contre une bureaucratie menaçante . C'est donc autours des thèmes de l'anxiété et de la culpabilité que tourne les oevres liées à ce mouvement reflétant ainsi l'influence de kierkegaard (considéré comme fondateur du mouvement ). cette infulence peut notament être distinguée dans les romans d'andré malraux , les pièces de Sartre mais aussi dans l'oeuvre d'albert Camus L'étranger en raison des grands thèmes abordés par celle

français plus importants de la periode; il choisit d'opposer à la philosophie plus crétienne, qui considère Dieu comme haute justification de l'éxistence, un point de vue athée. Sartre en effet ne croit dans aucune religion, au contraire par rapport à Kierkegaard, et il base sa pensé sur l'interrogation à propos de l'angoisse humaine inevitablement liée à son existence. Quel est donc le but de son existencialisme? Le point de partence du raisonnement de Sartre est en faite l'idé qui considère l'existence

causes de l’absurde -Ce sont les désillusions politiques. La guerre apparaît comme une expérience dépourvue de sens, absurde. Les écrivains de l’absurde ne croient plus en la justification de l’existence. Le mot « absurde » emprunté au philosophe Kierkegaard signifie « l’impuissance de l’homme à trouver un sens à la vie ». L’influence de l’existentialisme Au XIX ème pour Zola, l’homme est lié au monde qui l’entoure (un homme de condition pauvre ne peut que rester pauvre, voire dégrader sa vie par

justement là pour compenser cette lacune. En effet, nous ne percevons des choses que ce que nous pouvons en faire ; notre vision du réel est pratique. De plus, les concepts nous éloignent de la réalité. Avec le penseur abstrait, comme le dit Kierkegaard, « on n?aime pas, on ne croit pas, on agit pas, mais on sait ce qu?est l?amour, on sait ce qu?est la foi? ». Ainsi, l?impressionnisme s?est donné pour tâche de révéler ce que nous percevons de la réalité par-delà ce que nous en savons. Monet : «

Kierkegaard . se marie avec une jeune fille de 16 ans, Régine. La met a l’épreuve de la séparation. Tente de la convaincre pendant 2 ans qu’elle ne l’aime pas. Dépasser la relation ordinaire, recherche d’intensité ordinaire. Il n’y a d’amour que malheureux. Dans la séparation. On trouve une réflexion sur le mariage, institution qui donne au plaisir immédiat un fondement social et moral. Le mariage est une liberté. Le sentiment, la passion amoureuse n’est pas libre. Echec pour Kierkegaard ? en

tient la tête on ne peut pas dire qu elle est angoissée ou qu elle ait peur de qqch, il n'y a aucun objet et c'est sa condition elle meme, c'est son être au monde qui est semble t il la source de son angoisse. Le mot angoisse a une histoire et Kierkegaard a écrit en 1844 un livre Le Concept d'Angoisse, emprunté par H. et on se retrouve ici devant un Homme qui est face à la difficulté d'exister. 2) Chez H, K, et Sartre, trois penseurs de l'angoisse, l'expérience de l'angoisse est liée au vertige

plus. Cet écart s’exprime bientôt dans le domaine littéraire et philosophique, avec L’éloge de la folie (1509) d’Erasme, l’humour de Ben Jonson (Every Man in His Humour 1598, Every Man Out of His Humour 1599 ), l’angoisse du philosophe Danois Kierkegaard (Le concept d’angoisse 1844, Traité du désespoir 1849), et le nonsense de Lewis Carroll (Les Aventures d'Alice au pays des merveilles 1865, La Chasse au Snark 1876). Tous ces auteurs apportent leurs contributions à l’édification de l’existentialisme

d'extérieur à lui. Cette question pose problème, car s'il agit par foi, on considère qu'il s'agit d'un sacrifice, ce qui est acceptable, plutôt qu'un meurtre. Selon Kierkegaard, Abraham n'est pas libre, il agit par foi en Dieu. D'après Sartre, Abraham est libre de ses décisions. Je suis de l'avis de Sartre. Tout d'abord, Kierkegaard affirme qu'il existe trois stades : le stade esthétique, le stade éthique et le stade religieux. Dans le cas d'Abraham, seuls les deux derniers sont importants. Un

La philosophie de l’absurde La notion d’absurde est empruntée à la philosophie de Kierkegaard (1813- 1855) : c’est l’expression de l’impuissance de l’homme à trouver un sens à l’existence. I. Les origines de la littérature de l’absurde 1. Les désillusions politiques Une fois de plus, l’horreur de la guerre se manifeste comme une expérience dépourvue de sens, absurde. La guerre froide et les menaces nées d’Hiroshima pérennisent ce malaise. Mais si le rejet de la raison restait optimiste chez les