Tableau De Salvador Dali

et l'a forcé à s'exiler souvent. Après avoir présenté l’œuvre, je vais la situer dans son contexte pour ensuite proposer une analyse. En conclusion, je terminerai en mettant l’œuvre en relation avec d’autres et j’exprimerai mon avis sur le tableau. Le contexte : La Renaissance est vaste mouvement artistique qui commence au XV° siècle en Italie et s’étend dans toute l’Europe, jusqu’aux Pays-Bas à la fin du XVI° siècle. Avec un intérêt retrouvé pour les formes artistiques de l’Antiquité

suffisante : un bel objet ne garantit pas la réussite d’un tableau. Inversement la laideur a pu constituer un sujet artistique. Prenons pour exemple Germinal de Zola, comme la révolte des femmes de mineurs qui brandissent les horribles restes de l’épicier qu’elles viennent de castrer par vengeance et en signe de libération. Ce divorce entre les deux ordres de beauté s’est accentué avec la peinture abstraite ou non-figurative. Un tel tableau se satisfait à lui-même, ne se réfère plus à aucun objet naturel

pure, de robustesse et de rigidité, mais fait aussi référence aux armes de Frida pour combattre ses souvenirs. Des clous sont présents sur son visage, ils sont le signe d’une douleur mentale. Magritte reprend cette idée en mettant au premier plan du tableau un visage d’une personne les yeux fermés taillé dans un métaux qui semble lourd et imposant, comme si son souvenir occupait une grande place au sein de sa personne. Cette tache de sang coulante évoque une douleur actuelle qui n’est pas guérie car

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C'était un poète très important pendant la première moitié du 20eme siècle. Sa poésie pendant les deux guerres mondiales soulignait la valeur du peuple Français et l'importance de la liberté. De plus, il faisait partie de mouvement surréaliste avec Salvador Dali, André Breton, et Louis Aragon. I. Contexte historique du XXe siècle Histoire générale 1871 : IIIè République 1914-1918 : Première guerre mondiale 1917 : Révolutions russes 1933 : Hittler au pouvoir 1936 : Front populaire en

futurisme.Des toiles de Magritte et Flouquet sont exposés au centre d'art de Bruxelles en janvier 1920.Il épouse Georgette Berger en juin 1922.En 1924 il est introduit dans le milieu du dadaisme.En 1927 Magritte frequente le milieu du surrealisme (Salvador Dali,André Breton,Paul Eluard) et quitte la Belgique et séjourne au Perreux sur Marne,jusqu'en juillet 1930.Il publie en 1929 Le sens Propre,suite de cinq tracts reproduisant chacun l'un de ses tableaux avec un poème de Goemans, et Les Mots et les images

Les principaux mouvements artistiques (fin XIX et XXème siècles) 1860 : l’Impressionnisme Le tableau « Impression soleil levant » de Claude Monet en 1872 sera à l’origine du terme « impressionnisme ». Les principaux artistes sont : Claude Monet, Auguste Renoir, Camille Pissarro, Alfred Sisley, Berthe Morisot et Paul Cézanne, Edgar Degas… Malgré leurs styles différents, ces artistes refusent tout ce qui est cher à la peinture officielle comme les sujets historiques, mythologiques, sentimentaux

conduire vers l’abstraction. Les objets des natures mortes sont géométriquement décantés, il réduit la structure graphique surlignée, comme en cubisme synthétique, et utilise la même palette que Torres Garcia (noir et rouge). Torrès construit son tableau non pas en suivant l’ordre des choses, mais l’ordre de l’esprit ; le dessin n’est pas un contour, une boîte pour contenir la couleur, mais est un élément de force qui intervenait dans l’image, n’importe où, n’importe quand, selon son grès, selon son

choix de la couleur. Mais contrairement aux photographies individuelles de chaque homme entourant l'oeuvre de Magritte, le tableau d'Ernst ressemble davantage à une photo de classe où tous les individus sont rassemblés. Certaines postures sont identiques, certains gestes semblables. Les pieds qui se touchent créent un lien entre les membres du groupe. Au bas du tableau, deux parchemins identifient les personnes représentées. On y voit Philippe Soupault ayant participé à la création d'une revue

la Révolution soviétique et le risque d'une nouvelle guerre, et en 1924 naît le surréalisme avec la publication du premier Manifeste du surréalisme d'André Breton, soucieux d'agir sur la société, sinon l'individu, sans tomber dans l'embrigadement. Dali affirme d'ailleurs être sûr que le surréalisme « changerait le monde. » Étant lui-même adepte de ce mouvement, il s'y investit comme un devoir. Cette aventure (« une attitude inexorable de sédition et de défi ») passe par l'appropriation de la pensée