Tarification Ajustée Au Risque

efficience dans l'utilisation des ressources, conséquences pour la politique et les objectifs économiques poursuivis. L'ensemble de ces différents points de vue met en lumière les contraintes et incitations pour les acteurs ainsi que les enjeux et risques pour l'économie nationale. Les objectifs assignés in fine à l'analyse sont, d'une façon générale, de déterminer avec précision les coûts, la bonne utilisation des ressources engagées (et particulièrement les rentabilités financières et économiques)

.. I - 1 I - SITUATION ET PERSPECTIVES...................................................3 A - UNE CERTAINE EXTENSION DE L’ENDETTEMENT DES MÉNAGES EST AUJOURD’HUI POSSIBLE ...................................3 B - MAIS UNE BONNE APPRÉCIATION DES RISQUES S’IMPOSE POUR NE PAS ALIMENTER DES PROCESSUS PERVERS ............................................................................................5 C - L’ENDETTEMENT NE DOIT PAS ACCENTUER LA TENDANCE AU DUALISME DE LA SOCIÉTÉ .....................

roulement, celui de la rentabilité, du risque, du montage financier. Tous ces éléments relativement simples, combinés, donnent une personnalité au projet et le rendent unique. La mise en avant de cette personnalité permet d’accroître les chances de succès, avec une meilleure réalisation des objectifs. C’est le cas avec la recherche de solutions de financements adaptées à chaque projet et à sa capacité effective de remboursement, ainsi qu’à son niveau de risque atteint. 4 Un premier chapitre

TABLE DES MATIÈRES Hypothèses et conventions Informations et données supplémentaires Préface Avant-propos Résumé analytique Chapitre 1. Perspectives et enjeux mondiaux Évolution récente D’où viennent les problèmes dans la zone euro? Perspectives Risques Enjeux Dossier spécial : les marchés des produits de base Bibliographie Chapitre 2. Perspectives nationales et régionales Europe : crise, récession et contagion États-Unis et Canada : amorce d’une reprise Asie : ralentissement de la croissance Amérique

pour l’automobile et de 5,2 % pour l’habitation. Le nombre de contrats de téléphonie a atteint 232 526 (+ 41,7 %). Banque de détail Avec un PNB de 3 280 millions d’euros (+ 8 %), des frais de fonctionnement de 2 175 millions (+ 2 %) et un coût du risque de 267 millions (470 en 2009), le résultat d’exploitation de la banque de détail s’est inscrit à 838 millions d’euros. Réseau > Développement du réseau 2 117 points de vente En 2010, le CIC a maintenu un rythme élevé d’ouvertures de points

3 caractéristiques. Elle doit être : * dissuasive : depuis une loi du 22 octobre 2010 en France, le plafond des sanctions qui peut être prononcé par l'AMF a été placé à 100 millions d'euros. * effective : Celui qui contrevient à la règle risque d'être sanctionné. * proportionnée à la gravité de la faute. Les MF sont les terrains d'actions de la mondialisation et du jeu des spéculateurs. Un MF est le lieu où vont s'échanger d'un côté des flux financiers (FF), et de l'autre, des biens

conventions ix Informations et données supplémentaires xi Préface xii Avant-propos xiii Résumé analytique xv Chapitre 1. Évolution récente et perspectives 1 Perspectives de la demande et de l’activité 1 La perspective du secteur extérieur 12 Risques de détérioration 14 Action des pouvoirs publics 20 Dossier spécial. Produits de base : cours et prévisions 26 Encadré 1.1. Offre de crédit et croissance économique 33 Encadré 1.2. Chine : les dépenses évoluent-elles au détriment des produits de

Évaluation des connaissances .......................................................................... p. 215 Réponses .......................................................................................................... p. 215 CHAPITRE 4 : LA TARIFICATION DES SERVICES LOCAUX 1 - Règle d’équilibre financier .............................................................................. p. 219 2 - Égalité des usagers devant le service public ................................................ p. 221

reçus au titre du « Plan de relance de l’investissement public 2009-2010 » sera de 35,16 millions d’euros. Hors CEA et CNES, les établissements publics industriels et commerciaux devront contribuer par une économie de 2,64 millions d’euros. Une tarification à l’usage dans les très grandes infrastructures de recherche va être instituée, qui devrait se traduire par un apport de 6 millions d’euros. L’Agence nationale de la recherche verra ses dépenses d’intervention réduites de 38 millions d’euros ;

se saisit d’une des questions qui pourraient compter parmi les plus essentielles des prochaines décennies. Une des plus complexes aussi, qui oblige la réflexion à se projeter vers des horizons de temps, des degrés d’incertitude et des échelles de risque qu’elle n’a pas l’habitude d’explorer. Question préalable au débat économique : la communauté internationale a-t-elle eu raison de se mobiliser dès 1992 et de lancer une négociation sur la réduction des gaz à effet de serre qui a abouti au Protocole