Taux marginal de substitution

est croissante mais avec un taux décroissant. - L’utilité marginale c’est la dernière unité (consommé, produite ou échangé), elle peut être définie comme l’augmentation de la satisfaction éprouvée par le consommateur a la suite de la consommation d’une unité supplémentaire de bien ou service La satisfaction apportée par la consommation d’une unité supplémentaire est normalement décroissante. Sauf comportement pathologique. Utilité Utilité totale marginale Les préférences :

Utilité totale et utilité marginale des biens On admet que : - le consommateur se limite à l’achet d’un seul bien x (d’où : u=f(x)) - le consommateur est capable de chiffrer précisément l’utilité procurée Quantité de bien X | Utilité totale | Utilité marginale | 0 | / | / | 1 | 10 | 10 | 2 | 25 | 15 | 3 | 35 | 10 | 4 | 42 | 7 | 5 | 45 | 3 | 6 | 45 | 0 | 7 | 43 | -2 | 8 | 40 | -3 | 9 | 30 | -10 | 10 | 15 | -15 | Première phase : utilité marginale positive Consommation

quantité infinitésimale) afin de conserver constant le niveau d’utilité associé au panier de bien donné. Cette définition correspond à l'écriture mathématique suivante : dx TMS 2 / 1 ( x1 , x 2 ) = − 2 dx1 Afin de calculer la valeur du taux marginal de substitution du bien 2 au bien 1, on utilise alors l’égalité suivante, qui est vraie en tout point d’une courbe d’indifférence : ′ dx U x TMS 2 / 1 ( x1 , x 2 ) = − 2 = 1 = 2 dx1 U ′ 2 x1 2 D’où TMS2/1(2, 2 ) = 0,5 ; TMS2/1(4 , 1) = 0,125 ; TMS2/1(1

du comportement du consommateur se doit d’être mesurée par l’utilité d’un bien. Le raisonnement porte sur l’utilité marginale c'est-à-dire la satisfaction que l’on obtient avec l’acquisition d’un autre bien du même type. On peut alors savoir quand se situe la saturation du produit ou quand l’acquisition d’une unité de produit en plus n’amènerait pas de satisfaction. L’utilité marginal est décroissante, c'est-à-dire que la satisfaction augmente mais de moins en moins à l’acquisition d’un même bien

Maximisation du profit et les offres individuelles * Le profit : π=RT-CTπ=PQ-CT où RT est la recette totale et CT le cout total ; P est le prix et Q la quantité. L’offre individuelle, c’est le coût marginal En concurrence pure et parfaite, comme tout le monde vend au prix du marché, le revenu marginal Rm=∆R∆Q correspond au prix du marché.Tant que Rm > Cm augmentation de la production = augmentation du profit. Si Rm<Cm, diminuer Q.Prix est droite horizontale (= RM = Rm) car entreprise est

fonction d'utilité Rappels mathématiques : fonctions concaves, convexes et quasi-concaves. Conditions sur la Hessienne et la Hessienne bordée. Section 3 : Résolution analytique du problème du consommateur 3.1. Résolution analytique du problème par substitution Le cas général dans R2 Les conditions du second ordre Exemple Le cas général dans Rn Les conditions du second ordre Exemple Définition de la fonction d'utilité indirecte 3.2. Résolution par la méthode de Kuhn et Tucker Les conditions nécessaires

rémunération déterminée selon le même principe. 3 grands courants vont fonder la pensée néo-classique : -l’école de Vienne & la théorie de l’utilité marginale. Les 3 auteurs mettent en place une théorie subjective de la valeur dans laquelle la valeur d’un bien est fondée par son aptitude à satisfaire les besoins des agents. C’est une théorie de l’utilité dite marginale. -l’école de Lausanne & la théorie de l’équilibre général. Walras & Pareto décrivent un schéma d’interdépendance général ou l’entrepreneur

détermination du meilleur choix pour le consommateur, du meilleur panier pour lui, est un problème d'optimisation sous contrainte, autrement dit celui de la détermination d'un "extremum lié". Ce problème peut être résolu par la méthode dite de substitution mais on lui préfère en général la méthode dite de Lagrange. La méthode de Lagrange (ou méthode du lagrangien ou encore méthode du multiplicateur de Lagrange, multiplicateur noté ) consiste à former à partir de la fonction objectif f(x,y) et

Le rendement des impôts augmente sans que le taux d’imposition augmente mécaniquement. Le choix est difficile en période de récession : les impôts baisse alors qu’il faudrait qu’ils augmenter les dépenses. Répartition des ressources : impôt, cotisation sociales, emprunt public. En pratique, les gouvernements sont de plus en plus limités dans le choix des ressources. Dans une période de récession ou près électorale, on ne peut pas augmenter les taux d’imposition. Dans ce cas, on a recours à une

illustrée par le graphique I où le point de production de l'économie est pi et où le point de consommation c correspond à un niveau d'utilité u. On remarquera, étant donné les conditions de départ, que le taux de transformation marginale de la production au point pL est égal au taux de substitution marginale en c. Le vecteur commerce pxc, de même que le vecteur commerce poco, reflète les conditions de l'échange de .v et de y sur les marchés internationaux lorsque les termes de l'échange restent constants