Taux marginal de substitution

consacré à la consommation de bien 1, à l’utilité que lui procure le dernier € consacré à la consommation du bien 2. Sa satisfaction est optimale lorsque l’utilité marginal du bien 1, pondérée par son prix, est égale à l’utilité marginale du bien 2, pondérée par son prix. Le taux d'échange pour lequel il est indifférent est égal au taux d'échange entre les bien établi par le marché, c’est-à-dire au rapport des prix. p1 ∆x2 ∂ U ( x1 , x 2 ) / ∂ x1 TMS 2 / 1 ( x1 , x 2 ) = − = =− ∆ x1 ∂ U ( x1 , x

supplémentaire se traduit par une augmentation plus que proportionnelle du niveau de la demande. L'effet multiplicateur est d'autant plus grand que la propension marginale à consommer est forte (c'est à dire que les ménages consacrent la consommation une fraction importante de leur supplément de revenus - et que la propension marginale à importer est faible).Dans la théorie de Keynes, la propension à consommer est la part moyenne du rrevenu disponible d'un ménage qui est consacrée à la consommation

(CM) : coût total par unité produite CM = CT/Q = (CF + CV)/Q = CF/Q + CV/Q = CFM + CVM Coût marginal (Cm) : variation du coût total suite à la production d’une unité supplémentaire (Q = 1) Cm = CT/Q = CT 4. Rendements d’échelle : constants : CM constant si Q varie croissants : CM  si Q  ( économies d’échelle) décroissants : CM  si Q  ( déséconomies d’échelle) 5. Substitution entre facteurs si le coût d’un facteur augmente relativement aux autres, l’entreprise aura tendance

Moyenne : Taux de croissance par habitant -----1.3 1.4 3.7 2.2 1.9 Nombre de pays 16 16 16 - Ce découpage se concerne 16 pays actuellement développés, soit la majorité des pays européens, ainsi USA, Canada et l’Australie. Ses données montrent le taux de croissance moyen par tête est de 1,9% par an sur environ un siècle. On constate maximisation (accélération) brutale de la croissance entre 1950 et 1970. En effet le lendemain de seconde guerre mondiale, le taux de croissance

et Economie du long terme Xavier Ragot ragot@pse.ens.fr ENSAE. Année 2005/2006 Contents 1 Introduction 2 Les 2.1 2.2 2.3 2.4 1 régularités de la croissance La production par tête croît constamment . . . . . . . . . . Les taux de croissance peuvent différer nettement entre pays. Les parts du capital et du travail sont stables . . . . . . . . Le rendement du capital est constant, le salaire réel s’accroît. . . . . 5 5 6 6 7 3 Croissance et accumulation du

appelé plus-value par Marx, qui va être accaparé par les capitalistes. Baisse tendanciel des taux de profits, rapport entre la plus-value est les capitaux engagés, on va produire avec de + en + de capital et moins de salarié, donc baisse de production et de plus-value  amène la fin du capitalisme (Il porte les germes de sa propre fin.) Les crises du capitalisme résultent de la baisse tendancielle du taux de profits : elle explique les crises, car ce sont des crises de surproduction ou de sous-consommation

employeurs qui offrent des emplois, l’offre de travail émane des ouvriers. L’Etat intervient souvent au niveau du marché pour fixer un salaire minimum (SMIG ou SMAG au Maroc). 2°) l’intérêt : C’est la rémunération du capital monétaire emprunté. Le taux de l’intérêt est déterminé au niveau du marché du capital, où les banques et les organismes financiers sont les principaux offreurs, ou prêteurs ; ces derniers constituent des intermédiaires financiers. 3°) Le profit : il est considérer comme la rémunération

partir du point B, la productivité marginale du travail est nulle ou proche de zéro. Si l’on considère une baisse de la quantité de travail utilisée sur la ferme de A vers B, la production totale restera quasi constante.Parce que la ferme familiale dispose de beaucoup plus de travail que de terre, le travail est en surplus. • Le salaire de partage Mais pourquoi dans le secteur traditionnel sont embaucher des travailleurs dont la productivité marginale est nulle? asymétrie organisationnelle

MÉTHODES, MESURES EN MACROÉCONOMIE 1. Quelques faits macroéconomiques Tableau Croissance économique, chômage et inflation dans l’Union Européenne, 1960-2004 (en %) 1960-2000 (moyenne) 1992-2000 (moyenne) 2001 2002 2003 2004 Taux de croissance Taux de chômage Taux d’inflation 3.1 5.8 5.4 2.3 9.0 2.0 1.7 7.3 2.3 1.1 7.8 2.6 1.5 8.1 2.2 2.1 8.1 1.9 Macroéconomie Macroéconomie LE CIRCUIT ECONOMIQUE: RDM M Investissement X Créances et dettes avec l’étranger entreprises

LES MATRICES D’ANALYSE STRATEGIQUES 1.1. La matrice BCG 1 Taux de Croissance du Marché 20% 10% 0% 10 1 0,1 Part de Marche Relative Il s'agit d'un outil matriciel conçu à la fin des années 60 pour gérer le portefeuille d'activités et/ou de produits de l'entreprise. Il peut également être utilisé pour l'analyse d'un portefeuille