Taux marginal de substitution

soutenue pendant les Trente Glorieuses et même jusqu’aux années quatre-vingt, a permis de soutenir la croissance économique. Ensuite les politiques de rigueur, salariales, monétaires et budgétaires, ont favorisé la désinflation et l’augmentation du taux de marge des entreprises. Le chômage croissant a encouragé la constitution d’une épargne de précaution au détriment des dépenses de consommation. De nombreuses écoles de pensée économique se sont affrontées sur la nécessité ou non d’instaurer des politiques

consommation est mesurable * L'utilité marginale, ou utilité de la dernière unité consommée, décroît lorsque la quantité consommée augmente. Ex : Supposons qu'il existe sur le marché que deux produits A et B. Cherchant à maximiser son utilité totale, le consommateur peut comparer l'utilité d'un euro supplémentaire de dépense dans la consommation du produit A et dans celle du produit B. Si on appelle : UmA = l'utilité marginale de A UmB = l'utilité marginale de B PA = le prix de A PB = le prix

ne soient pas constants? 8 60 Croissants B Décroissants A 11 0 3 L Fig. 6.2  La productivité marginale (Pm) : variation de la production totale suite à l’ajout d’une unité de facteur variable. Reflète la contribution du travailleur additionnel à la production totale. Q/L 112 Pente = 0 D Pm = f’(L) Pm = ΔQ / ΔL 60 B La productivité marginale pour un point quelconque correspond à la pente de la tangente à ce point sur la courbe de production totale C Pm

égale a la différence entre le prix et les couts marginal des ressources doivent être prélever au fur et a mesure de l’épuisement des ressource. Elle doivent ensuite être réinvesti pour produire du capital substitue au ressources épuisées. Elles doivent enfin croitre de période en période d’un taux égal au taux d’actualisation. Il n’y a aucun avantage a reporter une période sur l’autre l’utilisation de la ressource car il n’est indifférent de placer au taux (r ) les bénéfices provenant de la rente d’une

facteurs de productions sont parfaitement concurrentiels. Mais on a réduit tout au seul facteur de travail, on aura un marché. Sur le marché du travail, ce facteur de travail est parfaitement homogène, il existe une parfaite mobilité entre ces 2 secteurs. Taux salaire unique = W. Salaire monétaire = w. H5) Les marchés des produits sont parfaitement concurrentiels. pi = prix secteur i. Une entreprise recherche son profit maximal, ici chaque secteur maximise son profit Max ∏ = pi Xi – w Li Li =

un fort mouvement antimondialiste. Les principaux problèmes d'économie internationales auxquels fait face le monde d'aujourd'hui sont : -accroissement du protectionnisme dans les pays industriels -volatilité excessive et les déséquilibres des taux de change -accroissement de la concurrence internationale spécialement en provenance d'Asie => perte d'emploi -chômage structurelle élevé => croissance lente -fréquentes crises financière dans les pays en développement -énorme pauvreté et élargissement

néoclassique), un principe général d’évolution de la productivité dans toute activité, dont voici l’énoncé : pour un état des techniques donné, si l’on emploie une quantité croissante d’un facteur, tous les autres facteurs étant fixes, la productivité marginale de ce facteur finit nécessairement par décroître. Elle sera ensuite approfondie par David Ricardo, qui s'en est attribué la paternité. Ricardo démontrera, au XVIème siècle l’assujettissement de la croissance économique et de l’économie de marché

entreprises qui participent au marché en se concentrant en particulier sur le taux de rendement obtenu sur les capitaux qu’elles sont parvenues à mobiliser. De ce point de vue, une analyse statique, visant à évaluer le “profitabilité” d’une entreprise pour une période particulière n’est pas suffisante et il faudrait étudier également son évolution au cours du temps, en particulier en phase de récession économique, pour déterminer si le taux de rendement sur les capitaux réagit à ces épisodes macro-économiques

suivie et fait l'objet de nombreuses prévisions, rarement atteintes, étant donné le caractère capricieux de l'activité économique et de ses cycles. • la croissance est une préoccupation majeure des économistes : la croissance économique, mesurée par le taux d'augmentation du produit intérieur brut (PIB), agrégat comptable, représente l'instrument de référence principal aussi bien pour la gestion de toutes les économies que pour les politiques de développement et de progrès de nos sociétés • depuis toujours

risque et le signe de la dérivée seconde de la fonction d’utilité. Ils montrent que : l’utilité marginale de l’individu averse au risque est décroissante. C’est dire que plus il s’enrichit, moins une unité monétaire supplémentaire lui procure un supplément appréciable d’utilité. La dérivée seconde de la fonction d’utilité est négative, ce qui traduit la concavité de cette fonction : l’utilité marginale de l’individu neutre au risque est constante. Plus il s’enrichit, une unité monétaire supplémentaire