Téléologie

Saint-Etienne, collection droit, 2001 • BOSC (J.), Essai sur les éléments constitutifs du délit civil, Thèse Montpellier, 1900-1901 • JOSSERAND (L.), De l’abus des droits, 1905 • JOSSERAND (L.), De l’esprit des droits et de leur relativité - Essai de téléologie juridique tome 1, Théorie dite de l’abus des droits, 1ère éd., Dalloz, 1927 • LEMEE (J.), Essai sur la théorie de l’abus de droit, thèse Paris, 1977 • PORCHEROT (E.), De l’abus du droit, Thèse Dijon, 1901-1902 • RIPERT (G.), La règle morale dans

de rigoriste[->215]. Enfin, dans la Critique de la faculté de juger[->216], il exposa une théorie esthétique[->217] qui est le fondement de la réflexion esthétique moderne. La troisième Critique est aussi une réflexion sur la nature[->218] et la téléologie[->219]. Il existe de façon incontestable un « avant » et un « après » Kant dans ces trois domaines. La réflexion kantienne fut prise en compte, dès son élaboration, par l'idéalisme allemand[->220] (Fichte[->221], Schelling[->222], Hegel[->223]

arbre est forcé de se représenter un ciel pour l’y voir s’y tenir ». Cette évidence montre les limites du réductionnisme et la pertinence du globalisme. Un système est un tout, il ne peut être complètement perçu que par une approche holistique. 3. Téléologie : Les buts de l’organisation lui donnent son sens, orientent ses processus, définissent ses moyens. L’étude des finalités est donc indispensable pour comprendre une organisation. 2. Composition structurelle d’un système • Frontière ou limite

permettra de pénétrer toujours plus profondément dans l’univers fascinant de Le deuxième sexe. » À travers le privilège accordé à l’essai de 1949, dont une meilleure compréhension semble être le but ultime du présent volume, nous découvrons une forme de téléologie revendiquée d’emblée dans le court article de Thomas Stauder tenant lieu d’introduction : « […] on peut montrer que Simone de Beauvoir inspire encore aujourd’hui avec sa pensée la formation de la théorie féministe et qu’elle n’est pas devenue un

fortiori des grandes lois tendancielles, le processus de rationalisation chez Weber ou ce processus, dont Elias a développé un certain aspect, de monopolisation par l’Etat de la violence physique. Parce que je pense effectivement qu’il y a le danger de téléologie, parce qu’il y a aussi la tendance à transformer du descriptif en explicatif. Je pense aussi à la notion d’enfermement chez Foucault. Ce sont des notions qui me mettent un peu en état de malaise. Ayant dit cela, je dirai que la problématique d’Elias

Les deux courants humaniste et naturaliste s'opposent donc sur cette base mais pas seulement. En effet, Lagache nous décrit la psychologie naturaliste comme une psychologie abstraite et analytique recherchant des lois causales et exclut toute téléologie (étude des finalités) alors que la psychologie humaniste dont fait partie la psychologie clinique est alors décrite comme l'étude d'être humain et concret en situation, insistant sur la compréhension plutôt que l'explication ce qui l'oppose au caractère

expliquer soit l’ensemble de phénomènes naturel soir les processus vitaux. Chez Kant cette finalité principe suivant lesquels toutes les dispositions naturelles d’une créature destinée à se développer un jour complètement et conformément à une fin. La téléologie (télos- fin) de Kant se base sur ce principe les êtres vivants sont des être organisés conformément a une finalité qui ne peut que susciter notre admiration - développement finalisé un progrès indéfini la raison exige en effet que nous représentions

politique indéniable qui s‘articule autour de cette question : la souveraineté, c’est-à-dire la domination effective d’un homme ou d’un groupe d’individus et qui procède du droit, est-elle légitime ? Autrement dit, et pour amorcer le problème d‘une téléologie de cette maîtrise : si nous admettons que la fin dernière de l’homme est le bonheur, a-t-il effectivement besoin de maîtres pour la réaliser ? Répondre à ces questions supposera d’abord de juger, à l’aune d’une lecture attentive du Gorgias et de

façon suivante : il n’y a pas de mal, il n’y a que la perception d’un mal. Mais dans ce cas, on s’achemine vers une conception indifférenciée du monde et des existences : le monde, l’histoire, les événements subis ou commis n’ont aucun sens, toute téléologie s’efface. Pouvons-nous arrêter là notre réflexion, et à la limite considérer que le mal n’existe pas (puisque tout est affaire de perception) ? ceci nous conduirait à ne pas étudier le thème au programme : comment parler de ce qui n’existe pas

partie de la réalité. La réussite s’appuie sur d’autres caractéristiques. La compétence intègre tous les autres facteurs que le dispositif pédagogique doit prendre en compte : transformation de la forme du savoir, maîtrise émotionnelle, motivation, téléologie, synchronicités, inventions, … Elle fonctionne avec une certaine liberté d’autonomie par le fait de traiter le « bruit » et de faire ainsi preuve de créativité. Elle implique une évolution en termes de maturation ; celle-ci demande un « temps »