Téléologie

française en 1968 chez Dunod. 33 Cf. en particulier : N. Georgescu-Rögen : "The entropy law and the economic process". 1971. 34 Argument développé dans : J.-L. Le Moigne : "L'économique entre énergétique et pragmatique : évolution, rationalité et téléologie", in Economie Appliquée, tome L, 1997, n° 3. 32 31 p.161 pas demandé ! Il reste que cette conception du temps entropique a permis d'accumuler un capital d'expériences modélisatrices dont on n'a pas fini de tirer parti et qui constitue un

n’y aurait jamais qu’un seul cogito à la fois. Or, bien que les reflets des reflets aillent en principe à l’infini, la vision fait que les noires issues des deux regards s’ajustent l’une à l’autre, et qu’on ait, non plus deux consciences avec leur téléologie propre, mais deux regards l’un dans l’autre, seuls au monde. Elle esquisse ce que le désir accomplit quand il expulse deux « pensées » vers cette ligne de feu entre elles, cette brûlante surface, où elles cherchent un accomplissement qui soit le

non adaptationniste L’organisme comme un tout, pas une somme des traits : biologie et vie, corps. Enaction comme lien perception-action ; co-construction du vivant et de son monde : couplage structural. Réseau de schèmes. Valeur et téléologie intrinsèque (Jonas) : Insistance tardive (2002, voir dernier extrait d’article) mais essentielle. Von Foerster (1974). Notes pour une épistémologie des objets vivants. In E. Morin, M; Piattelli-Palmarini, L'Unité de l'Homme. Un des inspirateurs

Flandre, Angleterre). En 1461 (mort de Charles VII), 8 maisons (guerre de cent ans 1337-1453 a entraîné l’émergence de nouvelles maisons avec l’affaiblissement des autres). En 1483, 4 maisons. La loi du monopole n’est pas linéaire, il n’y pas de téléologie (lire l’histoire à rebours) : ce n’est pas parce qu’une structure a gagné qu’elle devait nécessairement gagner. Ce processus aurait pu se passer autrement, aucune loi ne s’est imposée. La réduction du nombre de maison puis l’établissement d’un

Cette situation, apparemment problématique, recèle des conséquences finalement fécondes… En premier lieu, le biais concernant la causalité n’est sans doute qu’apparent. Rickert (1997, p.130-131) le récuse fermement: on ne peut opposer causalité et téléologie comme deux démarches différentes car « le principe méthodique de la sélection de l’essentiel en histoire est dépendant de valeurs, même dans la recherche des causes, dans la mesure où seules entrent en considération les causes spécifiquement significatives

: On examine l'objet ou le système immergé dans son environnement en tenant compte de toutes les interactions possibles de l'objet examiné avec son milieu. L'axiomatique de l'analyse systémique pourrait être schématisée comme suit . Axiome de téléologie (du grec " télos " = fins, finalités à c'est le discours sur les finalités), ce qui, dans le langage systémique signifie que l'observateur cherche, en permanence et avant toute action, à considérer les buts recherchés par l'organisation et l'évolution

religion est immanente aux hommes. Immanence (Dieu immortel) // Révélation, transcendance ------------------------------------------------- * * Action suppose liberté (liberté de la décision prise) * * Téléologie (≠ théologie (religion)) : examine les conséquences Utilitarisme : * But suprême auquel sont soumis toues les buts des actions particulières (la fin justifie les moyens) « = Souverain bien = Bonheur » (Aristote) * Plus grand bien au plus

sont donc les contraintes spécifiques à chaque champ scientifique. La cause finale, c’est la raison d’être de la chose. Selon Aristote : « Tout art, tout investigation, et pareillement, toute action et tout choix, tendent vers quelque fin »7. La téléologie - de telos, le but, et logos, l’étude - est l’étude des causes finales. Celle-ci est considérée par Aristote comme la cause principale, alors qu’en science elle disparaît. Rappelons que finalisme en science a été critiqué dès l'antiquité par Épicure

un intérêt immédiat pour les beauté naturelle manifeste par là la bonne disposition morale de son esprit, et s'ajoute alors à son sentiment de beauté un sentiment d'admiration devant une nature manifeste ainsi comme une finalité sans fin (cf. la téléologie). Cet intérêt intellectuel qui se rapporte au jugement du beau détermine l'activité symbolique de l'esprit, « en quelque sorte une langue rapprochant la nature de nous et paraissant posséder une signification supérieure ». Certaines formes naturelles

de but ou de projet. Ce finalisme se retrouve dans la biologie moderne en particulier chez Jacques Monod dans Le hasard et la nécessité. « Dans leur structure et dans leurs performances, les êtres vivants poursuivent et réalisent un projet ». La téléologie est le discours sur la finalité des choses et des êtres, avec cette idée que les organes sont tellement bien adaptés à leur fonction qu’on ne peut comprendre la vie qu’en termes de but ou de projet. Pour J. Monod, ce qui différencie le vivant des