Telle Que Dans Son Char Du Bellay

corps humain avec celle de l’univers tout entier Femme= microcosme qui correspond au macrocosme. Célébration en lien avec le lyrisme : elle témoigne de la passion du poète. L’écriture du blason est ici celle d’une déclaration. Joachim Du Bellay « Déjà la nuit en son parc… » in L’Olive, 1549-1550. La mise en place d’un cadre enchanteur dans les deux quatrains soulignent l’apparition de la femme aimée, divinisée ici. Cette « nouvelle aurore » est une déesse et sa beauté éclipse celle

participé à la Première Guerre mondiale en 1914 et celle-ci lui a révélé l'absurdité du monde. Il ira même jusqu'à la qualifier « d'abattoir international en folie »2. Il expose ainsi ce qui est pour lui la seule façon raisonnable de résister à une telle folie : la lâcheté. Il est hostile à toute forme d'héroïsme, celui-là même qui va de pair avec la guerre. Pour lui, la guerre ne fait que présenter le monde sous la forme d'un gant, mais un gant que l'on aurait retourné, et dont on verrait l'intérieur

1S1 SOMMAIRE Préface : page 2 La poésie antique : page 5 à 9 -Sappho -Ovide La poésie courtoise : page 10 à 14 -Charle d'orléans -Dante Alighieri Les poètes de la pléiade : page 15 à 17 -Pierre de Ronsard -Joachim de Bellay La poésie précieuse : page 18 à 23 -Malherbe -Claude Malleville La poésie pré-romantique : page 24 à 28 -Rousseau -Chénier La poésie romantique : page 29 à 34 -Victor Hugo -Lamartine La poésie symboliste : page 35 à 39 -Apollinaire

matière à approfondir. Aragon et Char peuvent ainsi permettre de dépasser l’opposition classique entre poésie pure supposant repli du poète dans sa tour d’ivoire et poésie engagée. Dans la mesure où la poésie engagée a déjà été abordée en classe de troisième, c’est par le biais des stratégies d’écriture que l’étude pourrait être conduite, chez Aragon avec la question d’un lyrisme historique relu comme résistance à travers une responsabilité éthique de la forme, chez Char en soulignant l’évolution des

fait référence au memento mori: l'évocation de l'éphémère de la vie. Il décrit aussi sa condition physique lamentable, expliquée par sa mort proche. De plus, j'ai aussi sélectionné "Le chant du désespéré" publié en 1558 dans le recueil de Joachim du Bellay Les Regrets. Dans cet extrait, le poète décrit l'absence de bonheur dans sa vie. Il énumère les malheurs qu'il subit et exprime clairement son impatience pour succomber. Ces deux poèmes à deux perceptions de la mort contraires évoquent bien le mal

poète est créateur, tout d’abord, car il réinvente le langage mais également parce qu’il est créateur de sens. Étant donné que la poésie répond à des règles différentes que celles applicables au langage commun, son sens en est tout autant bousculé. De telle sorte, qu’ensuite il semble que les formes restrictives soient créatrices de sens. Enfin, il se pourrait que la signification à l’intérieur du poème soit ou cachée ou bien tout simplement absente, infirmant par la même occasion la citation. Le poète

La ballade des pendus Frères humains qui après nous vivez, N'ayez les cuers contre nous endurcis, Car, se pitié de nous povres avez, Dieu en aura plus tost de vous mercis. Vous nous voiez cy attachez cinq, six: Quant de la char, que trop avons nourrie, Elle est pieça devoree et pourrie, Et nous, les os, devenons cendre et pouldre. De nostre mal personne ne s'en rie; Mais priez Dieu que tous nous veuille absouldre! Se vous clamons, freres, pas n'en devez

raison, la poésie préfère l’irrationnel, qu’elle seule peut explorer, car l’état poétique est voisin de l’état mystique. (Pensez aux origines sacrées de la poésie) Dans cette perspective, le poète est un « voyant ». La Pléiade XVI° (Ronsard, du Bellay) voyait dans le poète un devin, et Hugo, Baudelaire et Rimbaud développeront sous diverses formes au XIX° cette idée d’un poète mage, prophète, qui entrevoit plus loin que les simples mortels et pénètre les mystères de l’univers et de la nature humaine

il excuse le peuple sans attaquer directement le système social qui l’opprime car selon Zola, le prolétariat (gens les plus pauvres) n’est pas responsable de sa situation. Il est donc plutot fataliste que révolutionnaire car il décrit la situation telle qu’elle est et on verra bien si les choses s’améliorent. - Commentaire des arbres généalogiques: (Feuilles en mains) Zola voulait montrer la vérité des lois de l’hérédité, l’influence de la société sur certains défauts et l’histoire du second

Charles Baudelaire-p5 A Vénus de Joachim Du Bellay-p6 J’aime une amie entièrement parfaite de Marguerite de Navarre-p7 Beauté des femmes … de Paul Verlaine -p7 A Cassandre de Pierre de Ronsard-p8 Sonnet pour un cheval de Winston Perez -p8 Je veux mourir pour tes beautés, Maîtresse de Pierre de Ronsard -p9 -L’amour p12 à p16 : Cet amour de Jacques Prévert -p12 Le tendre et dangereux visage de l’amour de Jacques Prévert -p13 Lettera amorosa de René Char-p13 Les yeux brillants de Michel Butor