Temoignages Des Poilus

position : le but est d’épuiser l’ennemi. 6. Sur le front Ouest, la bataille de Verdun dure dix mois en 1916, démarre par une attaque généralisée allemande et se termine par une victoire française. Elle voit mourir près de 300 000 hommes. Les témoignages des combattants (lettres, carnets), les photographies montrent la violence des combats quotidiens. Les troupes s'enterrent dans des tranchées, dans lesquelles la vie est particulièrement pénible (manque d’hygiène et de nourriture, problème de santé

est un monument historique important car il est encore bien conservé malgré les multiples changements de camps dont il a fait l'objet et il est un témoignage authentique du passé. Par exemple, il nous apprend plein de choses sur la guerre de position . Aujourd'hui les tranchées ont disparu, et c'est donc le fort qui illustre le champ de bataille des poilus. Tous ces éléments m'ont fait vraiment réfléchir et c'est pour cette raison que j'ai aimé visité ce fort . Ville détruite de Fleury : La ville

tableaux paysagers pendant les années de guerre afin de continuer à exercer son art…Traumatisé par les deux guerres, Otto Dix s'éteint à Singen après un infarctus en 1969, laissant un lourd témoignage des horreurs humaines derrière lui. 2) Une troupe d’assaut avance sous le gaz Ici, sont présentés des poilus qui tentent d’avancer vers, ou, sur le no man’s land ? On peut le voir grâce aux barbelés que les soldats essaient de dégager. Ces hommes portent des masques à gaz qui les font ressembler

meurent dans la boue, les rats sont partout; les coulées de boue envahissent régulièrement les aménagements. Les soldats subissent la pluie, le froid ; ils manquent de nourriture ; ils ne peuvent se laver, se raser, d’où le nom des soldats français, les Poilus. Les puces, poux et rats prolifèrent. On risque de se faire tuer à tout instant ; les cadavres restent dans les tranchées les jours de combat (faute de temps pour les évacuer) et pourrissent. On entend le râle des blessés. La mort est constamment

: amoncellement de corps déchiquetés et éviscérés surplombé par un cadavre aux yeux vides, à la bouche ouverte d'où jaillit un vers et à la peau parsemée de pustules qui évoquent les conditions d'hygiène abominables dans lesquelles ont vécu les poilus dans les tranchées (maladies, épidémies). Ce cadavre tend une main, tentative désespérée d'obtenir de l'aide dans un univers d'où l'humanité a disparu, son appel à l'aide reste suspendu dans le vide. Au dessus de cet amas de viscères et de corps

artistique utilisées (ligne, couleurs, lumière …) : -couleurs sombres et froides : du rouge, des marrons des noirs : elles sont associées à la mort et à la destruction. Elles symbolisent la pluie, la boue et le sang dont parlent tous les témoignages des poilus. -lumière est faible, à l’arrière du plan du triptyque et est le produit du feu et d’explosions sur le panneau central .A droite, même les nuages sont enflammés. -lignes : lignes géométriques simples mais contradictoires : ligne horizontales

Montrer la dépersonnalisation : le soldat est pris pour de la chair à canon et il le sait Témoigner de l'horreur Autoportrait, témoigner de la fraternité toujours présente Impuissance de l'homme face à la force du feu, des armes Connaissances Les poilus et les « Boches » attendent le combat dans les tranchées où les conditions de vie sont épouvantables : hygiène Nourriture Poux Vermine Boue … Brutalisation des masses Importance du groupe pour l'entraide et la survie 10Millions de morts causant

landais, un jeune soldat symbolisant une victime innocente. Il fallait laisser la plaie cicatriser, mais l'inspecteur a préféré enlever les pansements. De plus, à travers ce récit, on apprend du vocabulaire datant de la Première Guerre mondiale comme « poilus », « gueules cassées », ou encore : « barda », « linceul »... Conclusion : J'ai saigné de Blaise Cendrars est une autobiographie qui s'apparente à un documentaire sur la Première Guerre mondiale. C'est aussi un œuvre engagée car le narrateur

le sentiment d’embourbement dans lequel se trouvent les soldats, la menace sourde de la mort partout présente, et un espoir diffus de voir le bout du tunnel et la fin des combats. Ainsi, l’observateur du dessin est plongé au coeur d’une tranchée de poilus (soldats français) : le point de vue est celui d’un homme assis au fond de la tranchée, et qui fait face au goulot déployé par celle-ci dans la terre. Le point de fuite permet de donner un effet de perspective vertigineux, le boyau semblant se poursuivre

composée spécialement pour le film. Différents épisodes de fraternisation qui ont eu lieu à plusieurs endroits du front à Noël 1914 sont rassemblés dans ce film. A l’exception de la cantatrice présente sur le front, tous sont prouvés par différents témoignages et preuves historique. Les fraternisations, l’envoi de sapins, la partie de football, les échanges de chocolats et de victuailles, les chants (dont celui interprété par un ténor allemand et reconnu par un écossais) la messe de Noël sur le No Man’s