Terreur Et Pitié Dans Andromaque

Deram Margaux 1°Sa Commentaire de Français Andromaque, Racine Acte III scène 7 Andromaque, pièce en 5 actes publiée en 1667 et s’inscrivant dans les registres tragiques et pathétiques, est l’une des plus célèbres œuvre de Racine qui retrace la vie d’Andromaque, femme d’Hector, après la mort de son mari et la chute de Troie. Cette pièce met aussi en scène un conflit amoureux sans issue entre Pyrrhus, roi d’Epire, et la femme d’Hector. Pyrrhus, étant amoureux d’Andromaque, va menacer celle-ci

Andromaque, Jean Racine : ANDROMAQUE : Andromaque est une tragédie en cinq actes et en vers de Jean Racine écrite en 1667 et représentée pour la première fois au château du Louvre le 17 novembre 1667. Elle comporte 1648 alexandrins. L'argument de la pièce se résume en une phrase : Oreste aime Hermione, mais elle aime Pyrrhus, qui aime Andromaque, qui aime encore le souvenir de son mari, Hector, tué pendant la guerre de Troie. Les personnages : * Andromaque, veuve d'Hector, captive de Pyrrhus

fin de l’année suivante, il connaît son premier grand succès avec la pièce Andromaque en 1667. Les années suivantes, les succès s’enchaînent avec Bérénice en 1670, Bajazet en 1672, Mithridate en 1673 et Iphigénie en 1674. Il écrit Phèdre en 1677. Il écrit aussi des poésies comme « Louange de Port-Royal » ou « Ode ». Maintenant, nous allons vous présenter et comparer deux de ces plus grandes œuvres : Phèdre et Andromaque. Phèdre est une tragédie en cinq actes et en vers représentée pour la première

(c’est-à-dire un déictique qui renvoie à quelque chose de disponible dans la mémoire de l’interlocuteur) : « ce feu », répété plusieurs fois (351, 353, 355). L’évocation mémorielle laisse progressivement place à un tableau horrifique visant la terreur et la pitié du spectateur. La description progresse ainsi sur une suite de détails terrifiants actualisés par les indéfinis « L’un… l’autre » 369-371, « Là quelqu’un… Là quelqu’autre » 373-376, comme si l’imagination du public était invitée à se promener

d’une action dans une forme dramatique et non narrative comme dans la poésie épique, cette « action dramatique » comporte des péripéties qui se terminent par une situation souvent malheureuse, laquelle suscite chez le public les deux sentiments de pitié et de peur ou la catharsis. L’histoire de la tragédie commence à l’époque de l’antiquité Grecque,  ou à cette époque  des pièces de théâtres étaient données en l’honneur de Dionysos, grâce à des auteurs comme Sophocle, Eschyle, Euripide et Sénèque

grands   personnages   dont   l’histoire  est  empruntée  au  mythe  et  à  l’épopée.  Elle  doit,  d’après  la  Poétique  du  philosophe  grec  Aristote,  susciter  la   terreur   et   la   pitié.   La   tragédie   antique   connaît   son   apogée   au   Ve   siècle   avant   notre   ère,   avec   Eschyle,   Sophocle   et   Euripide  ;  elle  est  encore  présente

ou les situations représentées sous ses yeux. Parmi les principales émotions suscitées lors d’une tragédie, on compte la terreur et la pitié. Pour ce faire, il ne faut pas que les personnages soient extrêmement bons, parce que la punition d'un homme bien susciterait plutôt l'indignation que la pitié du spectateur; ni qu'ils soient méchants avec excès, parce qu'on n'a point pitié d'un scélérat. Il faut donc qu'ils aient une bonté médiocre, c'est-à-dire une vertu capable de faiblesse, et qu'ils tombent

elle ne veut pas et ne pense pas que la guerre aura lieu : « La guerre de Troie n’aura pas lieu, Cassandre ! » (scène 1, acte I). De plus, nous voyons dans la scène d’exposition qu’elle ne contre-attaque pas par rapport à ce que lui dit Cassandre. Andromaque est donc douce et sensible comme nous le voyons dans la scène 3 de l’acte I avec Hector, son mari qu’elle aime et admire. Dans cette scène, elle parait un peu naïve, notamment

d’assurer la cohésion de la cité. A cette époque le registre tragique se définit comme étant une œuvre lyrique et dramatique du théâtre grec dont le sujet était emprunté à la mythologie ou à l’histoire. La tragédie touche donc le public par la terreur et la pitié qu’elle fait naître qui vise à enseigner une vérité morale appelée la catharsis. En France, la tragédie et ses règles sont constamment changées : on observe différentes tragédies à d’autres époques : la tragédie du Moyen-Age avec la règle

se fonde essentiellement sur la lutte de l’homme contre son destin qui, lui, ne peut rien faire pour l’éviter. De plus le dénouement est souvent malheureux, comme la mort. Ainsi elle provoque de fortes émotions chez le spectateur, comme la terreur et la pitié. Nous allons montrer la tragédie classique plus en détails, ce qui l’illustre le mieux, et nous allons prouver en quoi la tragédie est toujours intéressante. Nous allons d’abord présenter les différentes caractéristiques de la tragédie classique