Terreur Et Pitié Dans Andromaque

fait sa grandeur. Le héros a conscience du pouvoir du destin. Exemple : Oreste : "Je me livre en aveugle au destin qui m'entraîne" (Andromaque).  L'action se situe dans le passé (mythologie, Antiquité, Bible) L'acte I est l'exposition, dans laquelle le nœud (problème, conflit) est présenté; les trois suivants font progresser l'action dramatique. Le dernier acte est en général celui de

Doit offrir à l'oreille et reculer des yeux » Cette phrase explique que l’acteur ne doit pas choquer le spectateur en jouant des scènes de violence et intimité physique. Quelques exceptions comme le suicide de Phèdre, ou la folie d'Oreste dans Andromaque, chez Racine ou celle de Dom Juan chez Molière sont restées célèbres. Toutes ces règles sont arbitraires et donc artificielles. Elles ont pour but la vraisemblance, c'est-à-dire de donner l’impression du vrai et non la réalité elle-même. Mais

dont l’origine remonte au théâtre grec antique. On l’oppose à la comédie au contraire de laquelle elle met en scène des personnages de rang élevé et se dénoue souvent par la mort d’un ou de plusieurs personnages. Elle a pour but d’inspirer « terreur et pitié ». 2 – Origine de la tragédie classique La tragédie apparaît à Athènes au Ve siècle av. J.-C.. Elle est représentée dans le cadre des fêtes de Dionysos (fin janvier et fin mars). Une autre hypothèse a également été formulée :

dramatique peut se servir de cette structure d’énonciation pour mettre en œuvre un moment de communication maximum avec le spectateur lorsque la parole au personnage inspire la terreur et la pitié qui sont les deux ressources de la tragédie comme par exemple le monologue d’Hermione dans Andromaque, c’est ce qui se passe dans Andromaque Acte V Scène1 mettant en marche le développement. Lors d’une stichomythie on assiste à un combat verbale entre 2 protagonistes (Agon) les répliques se transforment en

lui-même. Prenons l’exemple de Phèdre qui, espérant la mort d’Aricie, sa rivale, va être vouée à la mort, ou encore d’Hermione dans Andromaque, rongée par la jalousie et désirant la mort de Pyrrhus, qui va disparaître dans la folie. Mes pièces se closent toujours sur la victoire de la pureté et le mal reste toujours puni…. Bon nombre de mes œuvres, telles que Phèdre, ou Andromaque, ont révélé les faiblesses de l’amour, ainsi que le désordre que provoque la passion sur l’Homme. J’ai en pratiquant cela, respecter

ont chacune un point de vue inconciliable et utilisent un ton polémique; La tragédie La tragédie est une œuvre dramatique en vers qui représente des personnages héroïques dans des situations de conflit exceptionnelles, propre a exciter la terreur ou la pitié . La tragédie tente, elle aussi, de corriger les vices des hommes, ou plutôt leurs passions, de deux manières : d'abord en montrant les dégâts que peuvent provoquer les passions : dans les tragédies, les passionnés se font tuer, tuent ou

où, très tôt, il se lia avec Boileau et La Fontaine. 
Il fit représenter la Thébaïde (1664) par la troupe de Molière puis confia Alexandre (1665) aux comédiens de l'Hôtel de Bourgogne. Les dix années suivantes furent fécondes en chefs-d'œuvre : Andromaque (1667), qui fut un triomphe, Les Plaideurs (1668), son unique comédie, puis Britannicus (1669), Bérénice (1670), Bajazet (1672), Mithridate (1673), Iphigénie (1674) et enfin Phèdre (1677), qu'une cabale fit échouer sans affecter sa gloire. Cette

spirituel ? Développement I) L'intérêt psychologique : a) On voit se vivre les mécanismes de la passion : la jalousie, l'amour, la haine, la solitude… b) On éprouve des sensations fortes : la pitié, la terreur, l'honneur, l'abnégation de soi (Polyeucte), la fidélité (Andromaque), l'admiration, le dépassement de soi… c) On peut analyser : - les manifestations des passions, - les rapports entre le vouloir et le pouvoir, - les rapports entre la passion et la raison, - la relation

vais vous présenter une lecture analytique de l’acte I, scène 3 des vers 269 à 290 de Phèdre, de Jean Racine. Racine est un dramaturge français du 17ème siècle connu pour ses tragédies classiques telles que Andromaque, Britannicus, ou encore Iphigénie . Il appartient au classicisme. Ce mouvement fait apparaitre au théâtre la règle des trois unités élaborées par Boileau « Qu’en un jour, en un lieu, un seul fait accompli. Tienne

histoires légendaires des héros de l’Antiquité inspirent les dramaturges depuis des siècles. C’est vrai que l’histoire des Atrides, pleine de parricides, d’infanticides et d’incestes, marquée par la malédiction des dieux, est propre à susciter la terreur et la pitié chez le spectateur. Racine, dans cette