Terreur nocturne

dramatique, réseau lexical de la nuit (« nuit » ; « aube » ; « chasses nocturnes »), description de scènes macabres (« […] dans ces cas là l’homme était ligoté et roué de coups tandis que, sous ses yeux, sa compagne était soumise, par ses contemporains, à de longues violences corporelles raffinés de tout genre. »)… Saggini est rejeté par tous : « au même instant le rideau de fer fut abaissé d’un seul coup », ce qui traduit la terreur des autres figurants de l’histoire. Comédie, la nouvelle peut provoquer

dormons-nous? 5 4. Qu’est-ce qu’un rêve 6 4.1. Bases neurophysiologiques des rêves 6 4.2. Typologies des rêves 7 4.2.1. Rêves diurnes ou rêves éveillés 7 4.2.2. Le rêve récurrent 8 4.2.3. Le cauchemar 8 4.2.4. Les cauchemars ou terreurs nocturnes chez les enfants 8 4.2.5. Le rêve sexuel 9 4.2.6. Les rêves lucides 9 4.2.7. Les rêves dans d’autres états de conscience 9 4.2.8. Les „faux réveils“ 10 4.3. Aspects psychologiques du rappel des rêves 10 4.3.1. L’aspect psychanalytique

collective : la culture individuelle caractérisant une construction personnel de ses connaisses, et la culture collective étant surtout un rappel des valeurs et des traditions passé, de l’histoire. 2- Nosferatu -Nosferatu, une symphonie de la terreur est un film muet allemand de 1922, réalisé par Friedrich Wilhelm Murnau. Il s'agit de la première adaptation cinématographique du roman Dracula de Bram Stoker. Il s'agit de l'un des premiers films d'horreur, genre dont il est un des pionniers et il

émotion intense. C / Le sommeil Insomnie précoces (perturbations graves des relations mère enfant, hyperactivité) Troubles de l’endormissement Terreurs ou angoisses nocturnes (parasomnies, angoisse nocturne, angoisse très profonde chez des enfants non secure) Réveils anxieux (réveil avec beaucoup d’angoisse) Agitations nocturnes Episodes de somnanbulisme Insomnies (perturbation au niveau de l’endormissement ou du réveil précoce) Conclusion : Beaucoup de manifestations somatiques

Une Nuit pleine de PassionLors de ma jeunesse, j’ai eu la chance de connaître mon arrière-grand-père. Ce fut un homme silencieux, mais qui inspirait de l’antipathie chez l’enfant que j’étais. La cicatrice sur son visage et son manque de tendresse envers le monde entier m’effrayaient. Mes parents insistaient que ses comportements étranges et sa froideur étaient dus à la Grande Guerre et qu’il n'est pas un homme dangereux. Ces mots ne me réconfortaient guère, et je continuais à éviter le regard du

du noir • Angoisses d'endormissement • Petits rituels • Réveil nocturnes Ils traduisent des conflits psychiques tout à fait normaux. Dans les premières années de vie, les enfants ont souvent, par exemple, des rituels du coucher. II - LES TROUBLES REACTIONNELS Surviennent à la suite d'un événement : • Séparations • Deuils • Agressions sexuelles Les réactions sont très variables : • Anxiété • Énurésie nocturne Ce sont des troubles qui ne durent pas. Ils relèvent d'une consultation

grinçait sur ses gonds ». Le bruit prend place dans le texte et la peur remonte très rapidement. Quand elle entend les gonds de la grille grincer, Pauline pense que c’est Horace qui rentre, « L’idée que Horace rentrait chassa à l’instant toute ma terreur », mais la découverte progressive de la vérité fait monter le suspense. Le fait que Pauline soit bloquée, « mes volets étaient clos » « je voulus ouvrir la porte du corridor, soit maladresse, soit précaution, le Malais l’avait fermée en se retirant :

été satisfaits.) Par contre lorsqu’il grandit, dormir fait disparaître, séparation avec les parents. Deux types de symptômes : - insomnie, phobie de l’endormissement, rituel,... - terreurs nocturnes, somnambulisme,... Le sens donné à des insomnies : inquiétudes de la mere/dépressions Les terreurs nocturnes sont des signes de complexe oedipien. 7-12 ans : le somnambulisme surtout chez les garçons. Les troubles alimentaires anorexie du nourrisson : signe grave de la relation maternelle

texte est avant tout le récit d’une peur d’enfant, rapportée par un narrateur omniscient : seule dans la nuit, Cosette est terrifiée par la nature sauvage qui l’environne, loin des habitations. Tout d’abord, elle se trouve isolée dans un paysage nocturne, glacial et lugubre. Il nous est décrit grâce à la présence de différents champs lexicaux, comme celui de l’obscurité : « de vastes nuages noirs », « Le bois était ténébreux », « il y avait des étendues lugubres. » ou bien celui de la brume : « des

enfants sont angoissés de part leur vécu. De plus, le moment du coucher et de la nuit n’est-il pas angoissant par lui-même ? En effet, que ce soit d’un point de vue religieux, mythologique ou psychologique, la croyance en la nuit comme synonyme de terreur, d’angoisse, de mort est quasi-universelle. « La nuit se situe du côté de l’intime, du désordre, de l’abandon »[1]. Plusieurs éléments qui ne favorisent pas le sommeil de l’enfant et qu’il me faut prendre en compte pour accompagner l’enfant de la