Terreur Révolution Française

1795. Ils veulent protéger les acquis de la Révolution, dont ils sont les premiers bénéficiaires, mais l’expérience de la Terreur les a rendus pessimistes sur la nature humaine. C’est pourquoi les principes de 1789, réaffirmés, n’ont plus l’éclat des idéaux de naguère. Il s’agit de contenir la démocratie, synonyme de dictature. Comme d’autres avant eux, mais forts de l’expérience d’un passé récent et sanglant, les Thermidoriens veulent « finir » la Révolution. La nouvelle Déclaration comporte un deuxième

commun - concours de l’E.N.S. 2006 Série lettres et art Sujet : terminer la Révolution (note : 16/20) Que Marat dise « la machine de l’Etat ne fonctionne bien qu’avec des soubresauts », ou que Le Père Duchesne vocifère, appelant la « vindicte perpétuelle », la Révolution apparaît comme une étape transitoire à tous : roi, bourgeois, peuple, « démocrates » comme aristocrates. Tous veulent « terminer » la Révolution. Mais, « terminer » signifie aussi bien « clore » pour des monarchiens, qu’ « achever »

révolutionnaires lui eussent, volontiers, offert la présidence de la République, mais il se rallie à la solution orléaniste, intronise Louis-Philippe au balcon de l’Hôtel de Ville, reçoit de nouveau le commandement de la garde nationale lors de la Révolution de juillet, en 1830. Louis-Philippe pour se débarrasser de lui, l’amène à démissionner de son commandement à la fin de décembre 1830. Déçu par ce qu’il avait salué comme « la meilleure des républiques » il se retire dans sa propriété de la Grange-Bléneau

sa plume une aventure picaresque. La même année, il est chargé à Londres de récupérer des documents secrets détenus par le chevalier d’Éon. À partir du mois de juin, il se lance dans une nouvelle aventure et se fait l’avocat d’une intervention française dans la guerre d'indépendance des États-Unis d'Amérique. Il entame alors une correspondance enflammée avec le comte de Vergennes, où il défend la cause des Insurgés. Dès le mois de septembre 1775, Beaumarchais joue un rôle politique en tant qu’intermédiaire

Diversité des attitudes 3. Fragilité des repères politiques Paru en 1874, Quatrevingt-treize a pour toile de fond les années les plus terribles de la Révolution française : la Terreur. Hugo est le fils d’un général Bonapartiste et d’une vendéenne. Entre autre du fait de son ascendance familiale, il écrit un roman sur la terreur car il est touché par la répression. Mai 1793 en Bretagne insurgée : le marquis de Lantenac, futur fédérateur des luttes vendéennes, revenu clandestinement

La révolution Française Rappel historique En 1789 : la France = un pays ac une population partagé inégalement 1- 2% = la noblesse (env. 400.000 personnes) 2- 1% = le clergé (env. 120.000 personnes) 3- 97% = le Tiers-états = regroupe les travailleurs journaliers des campagnes + les paysans propriétaires de fermes + artisans + bourgeois des villes Le Roi Louis XVI = pouvoir législatif + pouvoir judiciaire + pouvoir exécutif En gros : Le roi = à la fois le chef militaire, le justicier et

proclamation de la République jusqu’à la fin de la Révolution (1792 - 1799) 1. La Convention Nationale, l‘apparition de la première République en France (1792-1795) 2. Le Directoire, période de grande fragilité politique achevée par le coup d’état du 18 Brumaire par Napoléon de Bonaparte « Vous êtes appelés à faire l’Histoire » écrit Barère, l’un des députés des Etats Généraux, dans Le Point du Jour qui est l’un des premier journal de la Révolution. Il s’adresse à ses collègues députés des Etats

Les cultes civiques Dans son ouvrage, La Révolution française, Albert Soboul affirme que « l’ambiguïté la plus remarquable de la Révolution française réside certainement dans ses relations avec la religion catholique ». D’une part, elle fut l’une des périodes les plus antichrétienne de notre histoire, avec notamment la laïcisation de l’état civil. Mais de l’autre, elle a suscité la création de cultes civiques parfois comparés au culte traditionnel. Tocqueville affirme ainsi qu’une « sorte de

appartenait au roi et à l’Assemble National (devenue plus tarde Assemble Constituante avec le Serment de Jeu de Paume). C’était comme cela que la monarchie absolue à cédé la place à « La monarchie Constitutionnelle ». Le roi Louis XVI n’acceptait pas la révolution et en 1792 la situation s’est aggravée avec la déclaration de guerre à l’Autriche. Le 10 août 1792, les sans-culottes des sections parisiennes passent à l'action, et marchent sur les Tuileries, qui sont prises le 10 août 1792. Le roi se réfugie

fille. Mais, en quelques années, sa femme, sa fille et son fils décédèrent en lui laissant un héritage important. Beaumarchais fut à nouveau soupçonné d'avoir détourné sa fortune .Les drames dont il était l’auteur et qui sont joués à la Comédie-Française (Eugénie en 1767 et Les Deux Amis en 1770) lui valut une certaine notoriété. De 1730 à 1773, Beaumarchais enchaîna les procès et les affaires scandaleuses (avec le comte de la Blache, l'affaire Goëzman). Il parvint ainsi à renouveler le genre des