Testament Politique Richelieu

l'Ancien Régime (expression popularisée par Alexis de Tocqueville). AR → expression très vaste, pas seulement ancien régime politique, mais ancienne société: la Révolution est une révolution sociale, morale: la société de l'AR est inégalitaire: corporatiste, les ordres sociaux... On renverse tout cela pour instituer l'égalité: tout le monde est égal à tout le monde: même régime politique, mêmes lois... Ce bouleversement n'est pas forcément souhaité par le peuple: dans les cahiers de doléance, on ne demande

une pratique (une volonté : vouloir mettre en œuvre l'absolutisme) : la raison d'état, inspiration de Richelieu sur Machiavel lors des nombreuses révoltes sous Louis XIII : fermeté. Faire en sorte que les Français soient obéissants. Louis XIV hérite de cette culture, il renonce au dialogue avec les Français (exemple : les états généraux n'ont plus été convoqués depuis 1614). Un autoritarisme politique.  une expression :  la propagande, (statuts, portraits du roi, le château de Versailles...) celui

renaissance (1400->1500)  Révolution culturelle et scientifique Rupture(s)  Economique(s) - Urbanisation, commerce, artisanat, proto-industrialisation, « bourgeoisie » (proto-capitalisme pour certains historiens ; vs système féodal)  Politique(s) - Emergence des Etats modernes, centralisation (vs fragmentation au Moyen-Âge) administrative (absolutisme vs féodalisme).  Culturelles/Epistémologiques - Rupture de la Respublica cristiana, redécouverte des textes antiques. Ce

juridictions: – Juridiction contentieuse : appliquée lors de litiges. – Les échevins exercent une juridiction gracieuse càd qu'il n'y a pas de litige. C'est une juridiction qui fait des échevins l'équivalent de nos notaires : validation d'un testament,... Ils agissent par grâce. Ils sont témoins d'un acte conclu devant eux. 3° Église : Ce sont des juridictions très spécialisées. Elles sont faites pour les Claires et les affaires religieuses normalement. Mais en effet, les tribunaux d'église

structures du pouvoir A partir des années 1150 et 1500 : la royauté s’était affirmée comme suprême, supérieure à toutes les autres forces du royaume. Dès lors qu’elles se situent comme supérieures, il lui revient de prendre en charge la communauté politique (l’ensemble de ses sujets pour lesquelles elle œuvre). Le roi exprime sa supériorité dans ses actes attestant par le fait même que sa volonté de puissance n’est pas seulement théorique. Le roi, de plus en plus supérieur par le fait même qu’il est

d’être achevée, cette discussion qui fut une ligne de clivages entre droite et gauche, est toujours d’actualité. Au point qu’un homme politique président à la présidentielle de 2007, à écrit un ouvrage « au nom du tiers Etat », de même que V. Peillon à écrit un livre «  la révolution n’est pas terminé ». La révolution est ainsi encore dans les pensées des hommes politiques contemporain. CHAPITRE 1ER : LA CRISE DE L’ANCIEN RÉGIME OU COMMENT MEURT UNE MONARCHIE. Elle est multiforme et trouve ses

réflexion générale en Europe de l’Ouest. L’art.2 a pour conséquence pratique de l’ancien droit, du droit de la monarchie. La question qui se pose est de savoir si par delà l’aspect proprement juridique/technique si il n y avait pas une intention politique contre révolutionnaire car le résultat dans les faits est que l’ancien droit s’applique au détriment des réformes du CC. Berlier, surnommé par Napoléon « l’idéologue démocratique » car il est resté attaché à la Révolution ; Berlier sera l’un des

Introduction La canicule meurtrière de l’été 2003 a été l’occasion pour les journalistes et les hommes politiques de déplorer le déclin de la solidarité familiale. Néanmoins, ils n’en ont pas toujours précisé les contours, notamment ses manifestations désirables, ses bénéficiaires possibles et ses sanctions diverses. Cette imprécision ne permet pas à la population de savoir à coup sûr quelles pratiques sociales en relèvent certainement. Dans le même ordre d’idées, dans un arrêté présidentiel publié

la séparation entre l’Eglise et l’Etat. Il y a 2 grandes conséquences : les ecclésiastiques ne sont plus payés par l’Etat et les lois votées par le parlement n’ont plus à respecter les préceptes religieux. Désormais l’ordre religieux et l’ordre politique sont distincts. L’article 1 de la constitution de 1958 : « La France est une république indivisible, laïque, démocratique et sociale, elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. Elle

personnes «  immatérielles » se profilant derrière la succession des personnes physiques. Le roi aurait donc «  deux corps », un corps «  naturel » et « politique ». Un certains nombres de traditions sont venus symboliser cette continuité : * Celui qui accédait au trône n’assistait pas aux funérailles de son prédécesseur * Un corps politique qui demeure même si le corps physique meurt 3 conséquences : * Une absence de discontinuité entre deux règnes. Le sacre n’est plus l’acte constitutif