Tête brûlée

des environs. À quinze ans, elle vint à Paris « chercher fortune ». Fantine était belle et resta pure le plus longtemps qu’elle put. C’était une jolie blonde avec de belles dents. Elle avait de l’or et des perles pour dot, mais son or était sur sa tête et ses perles étaient dans la bouche. Elle travailla pour vivre ; puis, toujours pour vivre, car le cœur a sa faim aussi, elle aima. Elle aima Tholomyès. (…) Texte 2 Tome 1, livre 5 chp*.* IX Fantine se retrouve mère célibataire. Elle quitte

1. Introduction : avant la lecture • La couverture et la cote 1. Les informations fournit par l’illustration sur la couverture représentent des squelettes, des têtes de morts, des fleurs, un papillon et en médaillon une tête d’enfant. Tout cela fait penser au cimetière et à la vie étrange d’un jeune garçon. 2. D’après la côte et l’illustration de la couverture, le livre se classe comme étant un roman fantastique. • L’auteur 3. Neil Gaiman a également écrit « Coraline », « odd et les géants

invisible qui attend que je m’endorme pour se jeter sur moi. J’ai peur, je suis triste. Le temps s’étire je m’évade dans des rêveries obscures et troublantes. 10° jour de mon calvaire. Le silence et les ténèbres qui m’entourent me font perdre la tête. Je vois à présent des ombres bouger dans l’obscurité. Chose impossible est pourtant réel. Ces cauchemars à qui ma folie donne vie me terrifient et à cela viennent s’ajouter des bruits confus, des chuchotement dont je ne parviens pas à trouver la source

pessimisme que nous donne Voltaire: en effet, Pythagore, alors qu'il est juste, raisonnable, alors qu'il soutient et gagne de bonnes causes, alors qu'il est l'image même du bon philosophe, est victime du sort et de la méchanceté humaine, puisqu'il est brûlé. Derrière cette fin tragique se profile l'idée que le bien n'est pas récompensé et que les hommes éclairés ne sont guère écoutés de leurs semblables. Y a t il seulement une Providence? II reste néanmoins une pointe d'optimisme dans ce conte: Voltaire

long du texte : « Le sentiment, plus prompt que l’éclair, vient emplir mon âme ; mais au lieu de m’éclairer, il me brûle et m’éblouit. », « Je sens tout et je ne vois rien. », « je suis emporté mais stupide. ». Ces antithèses, exprimant l’opposition de deux parties, traduisent en effet la dualité de Rousseau : ses émotions sont vives, tandis que ses idées « s’arrangent dans sa tête avec la plus incroyable difficulté ». Cette « dualité intérieure » est également traduite par l’expression «un tempérament

Il est pratiqué uniquement lorsque le risque d’incendie, d’explosion ou d’écrasement est imminent. - Principe. Le blessé est uniquement éloigné de la zone dangereuse. Le principe de base est de respecter le bloc tête-coujambes en évitant toute torsion ou flexion, en maintenant la tête en traction pendant toute la durée du geste. Il faut dégager la victime le plus rapidement possible. La victime doit être visible, facile à atteindre et aucune entrave ne doit l'immobiliser ou gêner son dégagement

habituellement la fonction de complément direct : Lisez ce roman que je viens de composer. SUBORDONNÉE RELATIVE 2 Choix du pronom relatif approprié GN remplacé par le pronom relatif qui GN sujet La forêt qui brûle est une perte totale. (la forêt brûle) que GN complément direct Les avions-citernes que les pompiers utilisent sont fabriqués au Québec. (les pompiers utilisent les avionsciternes) dont Groupe prépositionnel commençant par de (êtres humains et choses)

25 septembre 1970 à Locarno en Suisse. Il a lui-même été envoyé au front en 1916. Son livre « A l’Ouest rien de nouveau » est un roman pacifiste sur la Première Guerre Mondiale et a connu, dès sa parution en 1929, un succès mondial. Ce livre fut brulé lors des autodafés nazis dès 1933. Remarque s’exila en Suisse puis aux Etats-Unis. II L’histoire Paul Bäumer (le personnage principal du roman) est un jeune soldat Allemand de 19 ans qui raconte la vie difficile sur le front avec ses amis. Il décrit

qui se perdirent. Les deux hommes, tombés ensemble, entraînés sous les roues par la réaction de la vitesse, furent coupés, hachés, dans leur étreinte, dans cette effroyable embrassade, eux qui avaient si longtemps vécu en frères. On les retrouva sans tête, sans pieds, deux troncs sanglants qui se serraient encore, comme pour s'étouffer. Et la machine, libre de toute direction, roulait, roulait toujours. Enfin, la rétive, la fantasque, pouvait céder à la fougue de sa jeunesse, ainsi qu'une cavale indomptée

d'engourdissement que je ressens, ces questions que je me pose, cette panique qui me tord les boyaux, ce sang que je sens couler de ma bouche entrouverte et que je ne saurais rattraper me rappelle que je suis toujours éveillée. J'ai froid, je frissonne, ma tête me brûle, elle bouillonne. L'oxygène me manque, les sensations disparaissent. Alors c'est ça la mort? Cette perte de sensation, cet engourdissement comme un accompagnement vers l'au-delà? Même si je ne souffre pas en cet instant, je ne veux pas mourir pour