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sentiment de culpabilité lié à une situation s'étant produite dans le passé comme, par exemple, la fois où vous avez menti à vos parents et que vous vous êtes ensuite sentis coupables. Or, le sentiment de culpabilité est énormément présent dans Le liseur, écrit par l'auteur allemand Bernhard Schlink en 1995 et dont le réalisateur anglais Stephen Daldry a par la suite, en 2008, tiré un film. Le roman de Schlink raconte l'histoire d'un jeune garçon de 15 ans appelé Michaël qui tombe malade en pleine

CARNET DE LECTURE DU LISEUR DE BERNHARD SCHLINK Consignes Pour ce dernier carnet de lecture, vous devrez répondre en 500 mots à une seule de ces deux questions, en la développant à la manière de l’essai, c’est-à-dire en adoptant une perspective subjective qui peut s’ancrer dans votre expérience et se nourrir de votre culture. Indiquez le nombre de mots total que compte votre carnet à la fin de votre travail. Vous rédigerez ce travail à l’ordinateur, à double interligne, et le remettrez

exception, sont des erreurs redressées. On comprend que le liseur ne regarde pas à une lettre, et que, par un fort préjugé, il croit toujours l'avoir lue, même quand il n'a pas pu la lire. Descartes disait bien que c'est notre amour de la vérité qui nous trompe principalement. Cette vue va à pardonner l'erreur, et il est vrai que toute erreur est humaine et belle. Dans ce texte, le philosophe Alain aborde clairement le thème de la vérité. A travers cet extrait, il défend la thèse que

La représentation de l’analphabétisme en littérature et au cinéma Certains auteurs s’inspirent aussi souvent de l’ analphabétisme pour le mettre comme thème principal de leur oeuvre. C’est le cas de l’écrivain Bernhard Schlink et du cinéaste Claude Chabrol qui, dans leur oeuvre, respectivement “Le liseur” et “La cérémonie” mettent en place des personnages féminins torturés par le fameux handicap.. Après un passage en revue des deux œuvres et de leurs auteurs, nous verrons les similitudes

aborde le thème de la vérité. A travers cet extrait le philosophe défend la thèse que tout homme qui pense commence toujours par se tromper. Dans un premier temps Alain nous dit qu'une première esquisse est toujours nécessaire pour atteindre une idée vraie. Tout les hommes se trompent dans un premier temps, c'est à lui que revient le devoir et l'obligation de se corriger afin d'être pardonné. Puis dans un seconde temps Alain nous parle de préjugés en employant l'exemple du liseur, cet exemple

texte, le philosophe Alain aborde clairement le thème de la vérité. A travers cet extrait, il défend la thèse suivante : "tout homme qui pense commence par se tromper". Dans un premier temps, Alain nous démontre qu'une première esquisse est toujours nécessaire pour atteindre l'idée vraie. Tout homme se trompe en premier lieu, c'est à lui seul de se corriger afin de trouver la vérité. Dans un second temps, Alain parle de préjugés avec l'exemple du liseur. Il s'agit en effet d'une précipitation qui méprise

travail propre est de revenir, de ne point s'obstiner, de cor-riger selon l'objet la première esquisse ... . Toutes nos erreurs sont des jugements té-méraires, et toutes nos vérités, sans exception, sont des erreurs redressées. On com-prend que le liseur ne regarde pas à une lettre, et que, par un fort préjugé, il croit tou-jours l'avoir lue, même quand il n'a pas pu la lire. Descartes disait bien que c'est notre amour de la vérité qui nous trompe principalement, par cette précipitation, par cet élan

son travail propre est de revenir, de ne point s'obstiner, de corriger selon l'objet la première esquisse ... . Toutes nos erreurs sont des jugements téméraires, et toutes nos vérités, sans exception, sont des erreurs redressées. On comprend que le liseur ne regarde pas à une lettre, et que, par un fort préjugé, il croit toujours l'avoir lue, même quand il n'a pas pu la lire. Descartes disait bien que c'est notre amour de la vérité qui nous trompe principalement, par cette précipitation, par cet élan

[pic] Bernhard Schlink revisite le roman Le liseur ; il raconte et décrit tous les éléments qui ont fait le succès de son livre. Marion, une des nombreuses lectrices du best-seller, raconte ses impressions et émotions. Je m’appelle Bernhard Schlink. Je suis né en 1944 à Bielefeld en Allemagne. J'ai grandi à Heidelberg, dans une famille typiquement allemande et protestante. Mon père était pasteur et professeur d'université, il enseignait la «théologie systématique et œcuménique». Ma mère, qui

Fiche de lecture : Le liseur de Bernard SCHLINK 1) Biographie de l’auteur : Bernard Schlink, écrivain allemand, est né en 1944 à Bielefeld en Allemagne. Il a grandi à Heidelberg et Berlin entouré de son père pasteur et professeur d’université, de sa mère originaire de Suisse et ancienne étudiante de son père ainsi que de son frère et ses deux sœurs. Il fait des études de droit à Berlin. Il enseignera à l’Université Yeshiva de New York, puis à Bonn et à Francfort. Il siège actuellement depuis