Thémis

Aphrodite à la couronne d’or, la Déesse vénérée qui a pour apanage tous les hauts lieux de Chypre, l’île marine où le souffle puissant de l’humide Zéphyr la porta, sur les vagues de la mer mugissante, dans la molle écume : les Heures (filles de Zeus et de Thémis, Eunomia, Dikè et Eiréné qui ont pouvoir sur les saisons) au diadème d’or l’accueillent avec joie, et lui donnent des vêtements immortels. » Catherine Aguillon Terminales – Lycée Claudel 31 août 2012 Page 2 6. Bibliographie : Dictionnaire

abandonnée sur un rocher pour être livrée à un monstre. La fille, or (amalgame entre mythologie ?). Vénus, disent poètes, plaignant à bientôt Zéphyr contrainte et grecque forcée, et estromaine donc abandonnée en les haut d’unserocher, mais Thémis de ce que(personnification Cupidon, son fils, restait toujours enfant, la déesse consultée qu'il ne au bas de la du vent de l'ouest) par un coup de répondit vent l’emporte grandirait point tant qu'elle n'en aurait pas d'autre. Alors

et judiciaire), présence de conseillers. Organisation d'une cour d'où la présence d'aèdes. Le monarque a le pouvoir civil et militaire, il se doit d'être justice et doit faire respecter le droit. Homère : Thémis ( fille de la terre et du ciel étoilé), épouse de Zeus. Diké : Fille de Thémis = l'acte juste, la sentence. Notions du roi : sceptre, adopte les règles de droit et a l'autorité de droit : c'est donc un roi législateur et juge. (roi d'origine divine mais pas le droit de la dicter)

c’est CETTE humanité qui nous pousse a faire le mal. Il vient alors de la société, il est extérieur à nous. La société (ou civilisation) a même créer la Justice. Depuis toujours l’ordre et la morale doit être respecter. Dans la mythologie grecque, Thémis, déesse de la Justice demande a ce que : “l’homme doit rester à sa place”. On peut alors dire que le mal était tellement courant qu’il était normal de le punir. C’est ce qui nous distingue des animaux, il n’existe pas chez eux une loi ou un obstacle

administratif général, Dalloz, 6ème éd., 2010 M. Lombard, G. Dumont, Droit administratif, Hyper cours Dalloz, 8ème éd., 2009 J. Morand Deviller, Cours de droit administratif, Montchrestien, 10ème éd. 2007 D. Truchet, Droit administratif, PUF, coll. Thémis, 2ème éd., 2009 A. Van Lang, G. Gondouin, V. Inserguet-Brisset, Dictionnaire de droit administratif, Sirey, 5ème éd. 2008 J. Waline, Droit administratif, Dalloz, coll. Précis, 22ème éd., 2008

épisode montre aussi la découverte par Ulysse et ses compagnons d’un monde à part et profondément étranger au leur. Dès le vers 106 Ulysse définit le pays des Cyclopes comme un pays de « hors-la-loi », c’est à dire d’êtres qui ne respectent pas la « thémis », la loi divine, la règle établie. C’est seulement ensuite que le mode de vie des Cyclopes est précisé : « ceux-ci, faisant confiance aux Immortels, / ne plantent pas de plantes de leurs mains ni ne labourent ; / tout pousse sans labour et sans semailles

est le symbole de la justice ; le fondement de l'idée de justice est l'équilibre des parties en présence. Les illustrations mythiques ou symboliques de la justice ne manquent pas. La mythologie grecque personnifie la justice par deux personnages : Thémis et sa fille Dikè (également fille de Zeus) sont respectivement déesses de la Justice et de la Loi. La figure d'Orphée est elle aussi en rapport avec la justice : grâce à sa lyre, Orphée peut descendre aux enfers ; il connaît la règle d'harmonie du

suffrages de ceux-ci par le vote pour être investis du pouvoir légitime. Ainsi, en régime parlementaire, la majorité désigne « Un parti ou coalition de partis détenant [le plus 1 M. DUVERGER, « Institutions Politiques et Droit Constitutionnel », T1. PUF, Thémis 4è éd 1978, Paris, p.82. 2 Charles DJREKPO, « vote et démocratie en Afrique » in « Processus démocratique en Afrique : impact et perspectives », Actes du Colloque international, Cotonou, 11-14 avril 1994, ULB/CERI, 1994, p.90. 3 L. M. IBRIGA, «

bienveillant et le nomme : « Cœur hardi , porteur de bouclier sauveur des cités, coiffé d'airain, Aux mains robustes, infatigable, fort par la lance, rempart de l'Olympe, Père de la Victoire (ἡ νίκη, ης), heureuse conclusion des guerres, auxiliaire de Thémis ; Maître absolu de l'adversaire, guide des hommes les plus justes. » Arès est aussi le dieu vengeur. En tant que tel, son nom est utilisé dans les serments solennels. II-Attributs et culte Ses attributs étaient la lance (ἡ λόγχη, ης), le casque

Créon «  Tu as osé violer ces lois ? » et les termes de cette dernière dans sa tirade. Les premiers échanges entre Créon et Antigone permettent dès lors de mettre en exergue la position particulière de celui-ci, souverain, créateur de droit positif (thémis), de lois humaines et responsable de l’autorité. Il apparait également comme l’incarnation du légal et du positivisme juridique. Positivisme juridique qui est une doctrine affirmant que ne peut être considéré comme du droit que la règle juridique