Théodore de Bèze

1561) crée une organisation militaire protestante et désigne les chefs de guerre3.A9ronnet286-15"16. La régente autorise le colloque de Poissy pour essayer de maintenir l'unité religieuse et éviter la guerre. Douze ministres protestants dont Théodore de Bèze exposent leur doctrine face à un parterre de clercs catholiques. Mais la confrontation se solde par un échec-11"12 après l'intervention du général des Jésuites Lainez qui explique qu'on ne peut discuter des vérités établies par l'Église catholique

roi à son peuple, lui permettant de contester l'autorité royale en cas de dérive vers la tyrannie (théorie forme des gouvernement de Aristote), puisque le gouvernement de la France a une nature mixte par l'intervention des États Généraux. -Théodore de Bèze: disciple de Calvin, publie en 1575 du droit des magistrats sur leurs sujets, qui affirme que « les magistrats ont été créés pour le peuple et non le peuple pour les magistrats ». Il en ressort une théorie de la souveraineté, selon laquelle tout

appellera bientôt les Monarchomaques, orchestrent 1 véritable campagne de presse vs les princes qui deviennent tyrans. On qualifie leurs écrits de « catilinaires de la Réforme ». On peut citer, à titre d’ex, le Devoir des Magistrats (1574), de Théodore De Bèze ou encore les Vindiciae contra Tyrannos (1579), attribuées à Du Plessis-Mornay. Ces txts violents expriment de manière systématique l'idée de résistance au pv. De +, il est clair que les huguenots interprètent l'écrit de La Boétie comme 1 arme

érudition solide et variée, une sûre et facile éloquence que faisaient pleinement physionomie, la valoir les agréments de sa belle dignité de sa personne, la richesse de sa mémoire, et qui donna lieu un jour à Théodore de en partant de Reims Bèze, « mettant « le pied à l'estrier, où il venoit de conférer avec lui, dédire: Si j'avois « telle élégance que monsieur le cardinal de Lorraine, « j'espérerois convertir et « rendre moitié

revalorisé la littérature française. A coté de cette évolution poétique, le théâtre, qui est encore à son début, voit naître avec Étienne Jodelle (1532-1573) le genre classique de la tragédie. L’époque a connu d’autres œuvres théâtrales écrites par Théodore de Bèze, Jean de la Taille, Jaques Grévin et Robert Garnier considérés par les critiques comme de faibles écrivains a part le dernier, qui a composé sept tragédies d’un mérite réel. On notera quand même la diversité des sujets traités dans ses tragédies

(appartient au peuple) * L’état aristocratique (appartient à une partie du peuple) La préférence de J. Bodin est la monarchie car la souveraineté est indivisible/irrévocable/nécessairement héréditaire. 42/ Les monarchomaques protestants : Th. De Bèze, François Hotman Ils étudient la souveraineté à travers un prisme religieux. Les monarchomaques ont au départ beaucoup de mal à imposer leur liberté religieuse, mais un évènement va les faire basculer dans l’opposition. Dans la nuit du 23 au 24 août

forme définitive fin XV. Expression d'une représentation des corps sociaux → représente société toute entière. Il faut recourir à cette assemblée pour choisir une nouvelle dynastie. On parle de résistance constitutionnelle. Successeur de Calvin, Théodore de Bèze (théologien, poète, dramaturge) → celui qui gouverne doit être choisi par le peuple → le Magistrat (sens romain : personne élue qui exerce une fonction publique). En qualifiant ainsi, idée d'abaisser son autorité. En cas de magistrature tyrannique

le monarque rompt le contrat passé entre lui et ses sujets sous le regard de Dieu alors la résistance est légitime, alors il est normal pour les sujets de se rebeller. On trouve cela très développé sous la plume par exemple d’un auteur comme Théodore de BEZE, il publie en 1575 au moment de très violent combat lors des guerres de religion, « Du droit des magistrats sur leurs sujets », il y affirme l’idée du contrat ainsi que la légitimité de la résistance. François HOTMAN, professeur de droit qui

vers une opposition radicale, comme le montre le développement des idées monarchomaques. C) Les monarchomaques Parmi les théoriciens protestants qui combattent la monarchie, deux se distinguent tout particulièrement, François Hotman et Théodore de Bèze. Hotman publie en 1573 un ouvrage intitulé « Franco Gallia ». L’auteur propose un retour aux usages anciens des francs et à leurs institutions politiques, en effet, Hotman rappelle avec insistance que les rois francs devaient leur couronne à

ou une société, s’inscrit dans la relation entre le monarque et ses sujets ou entre le peuple et ses représentants. Alors, chacun se dote d’un panel de droits et d’un autre de devoirs, dont il se doit respectivement de jouir et de respecter. (Théodore de Bèze). Pour montrer la nécessité de ce contrat, Hobbes utilise l’hypothèse de l’état de nature et de la condition de l’homme à cet état. Un premier axiome de réflexion s’impose à Hobbes : l’égalité naturelle entre les hommes qui s’explique par le