Théologie chrétienne

à l’étude et approfondie des langues anciennes comme : le latin, grec et hébreu. A l'encontre des préceptes(enseignement) chrétiens, Rabelais suit des études de médecine à la faculté de Montpellier et devient médecin en 1532 à Lyon. Il publie alors Pantagruel, sous le pseudonyme d’Alcofribas Nasier, 1 ans après , Pantagruel est condamné par la Sorbonne, faculté de théologie de Paris. Sa réputation de médecin lui vaut la protection de l’évêque de Paris, Jean Du Bellay, futur cardinal. Il décide donc

richesse. Il a écrit "éloge de la folie" ou il critiquait des prêtres qui ne respectaient pas les voeux de chasteté. Pour les humanistes, il fallait corriger l'attitude du clergé et se consacrer sur la Bible. Cependant, les humanistes sont restés chrétiens. B) La naissance d'une nouvelle religion, le protestantisme : Luther, qui était un moine allemand a rompu avec l'église catholique.Il critiquait le trafic des indulgences. En 1517, Martin Luther va proposer une réforme du christianisme, le protestantisme

était apparue dans sa nudité. » c’est ce que dit Lucien Febvre concernant Luther, historien français né en 1878 et mort en 1956, dans son ouvrage Un destin, Martin Luther. Luther est né en 1485, il est ordonné prêtre en 1507. Il fait des études de théologie et devient docteur en 1512. Il est constamment angoissé par le Salut et critique l’Eglise concernant le profit qu’ils en font en vendant des Indulgences aux fidèles qui souhaitent alors racheter leurs pêchers. Cette critique de l’Eglise lui vaut

INTRODUCTION 1ère PARTIE : COMMENT L’EGLISE CONTRÔLAIT LA VIE INTELLECTUELLE : ENTRE DOGME ET DEVELOPPEMENT I) Le monopole du savoir 1) La théologie : reine des sciences 2) Une hégémonie dans toutes les sphères de l’enseignement : l’inexistence de la science laïque 3) Un savoir dogmatique II) L’omniprésence de l’Eglise 1) L’inquisition : la justice de Dieu 2) Des relations houleuses III) En faveur du développement des Sciences 2ème PARTIE : L’EFFRITEMENT DU POUVOIR

le protestantisme, le judaïsme, et depuis peu, le bouddhisme. La religion catholique (consulter “ LES CHRÉTIENS ”) est encore la religion la plus importante. Historiquement, la France a été, dès le 4ème siècle, le 1er royaume catholique. On appelle donc, parfois, la France " fille aînée de l'Église " (catholique). L'Eglise catholique garde une certaine influence (il y a un syndicat chrétien, des journaux, des radios catholiques…), et elle reste propriétaire de nombreux bâtiments et de terrains

des querelles théologiques divisent les fidèles et affaiblissent la cohésion de l'empire. En effet, vers 320, un prêtre d'Alexandrie nommé Arius se mis à prêcher une doctrine Hétérodoxe, qui remettait en cause l'un des fondements de la religion chrétienne, à savoir l'union indivisible de trois personnes en une seule : la Trinité (le Père, le Fils et l’Esprit Saint). L'empereur Constantin 1er craignant un schisme au sein de la nouvelle religion dominante, qui pouvait détruire l'unité de l'empire,

qu'il pose à Esaïe reste d'actualité : « Qui enverrai-je, et qui marchera pour nous? » (Esaïe 6,8). Comme chrétiens, nous sommes ambassadeurs pour Christ (2 Corinthiens 5,20 ; les versets 16 à 21 méritent un détour). Nous avons cette dignité et cette autorité de représenter Christ. Le succès n'est pas notre problème : nous devons simplement transmettre le message que nous avons reçu. Tout chrétien est concerné, pour aller dans le monde entier, y compris chez lui (Matthieu 28,19). Il n'y a pas de quoi

monde musulman ne sont pas restés inactifs ; ils contribuent à la réflexion générale qui place le savoir théologique sur le terrain : de la réconciliation, de l’entente, d’approchement avec les sciences en général. La théologie islamique -au même titre que la théologie judéo-chrétienne trouve dans les thèmes scientifiques que propose la révélation, un apport considérable pour les sciences d’observations et les sciences fondamentales.  Un apport qui se justifie plus, par des vérités concordantes et

de son autorité. LA ROYAUTÉ Le titre de roi est l'un des plus anciens que l'on puisse imaginer en terme de pensée politique. Il y avait des rois en Mésopotamie, en Grèce, dans la Bible. Le terme n'est pas inventé par l'Europe médiévale et chrétienne. C'est à partir du titre de roi que se construit un pouvoir politique indépendant de l'Église. Ce qui n'a pas triomphé en Europe, c'est l'empire malgré les 8 siècles de Rome. L'Europe a crée de empires jusqu'au XXe siècle inclus. Mais la caractéristique

Démocratie et désincorporation Edouard Delruelle p. 190-205 Texte | Notes | Citation | Auteur Texte intégral Sig 1Dans Les Deux Corps du roi (1957), Ernst Kantorowicz soutient que la nal er matrice idéologique de l’État moderne se situe dans la « théologie politique »ce médiévale, et plus précisément dans l’idée que le royaume est un corps doc um mystique dont le corps du roi est la tête, un collectif où le pouvoir est ent incorporé, au sens fort. L’État a un corps, le pouvoir a un corps. Cette thèse