Théologie chrétienne

seulement! Le plus remarquable est l’émergence d’”inquisiteurs de métier” formés à l’Université, plus juristes que théologiens, véritables letrados: 21 licenciés et 18 docteurs! Les qualificateurs (calificadores)[7] furent choisis dans la faculté de théologie de l’Université, avec une participation croissante des jésuites après 1590. Le personnel est pléthorique: procureurs (fiscales) et assesseurs, juges et receveurs des biens confisqués, notaires du secret, algaciles et alcaides des prisons, etc. Il

l’existence d’un homme appelé JÉSUS, divinisé après sa mort par des disciples qui lui attribuèrent sa résurrection. Ce Jésus n’est donc qu’un homme ordinaire progressivement divinisé par une communauté de croyants, totalement différent du Christ des chrétiens, sans aucune implication surnaturelle. Son slogan serait « d’un homme à un Dieu » La solution mythique, qui nie toute existence d’un homme appelé JÉSUS et ne s’intéresse qu’au mythe qu’il représente, au sens de l’expression symbolique d’une croyance

droite qui correspond dans le jugement dernier à la place des justes. ~ Quand il répond à D.J. le pauvre fait un don ce qui permet à D.J. de lui rendre grâce ironiquement: acrimonie (rancœur) du personnage. ~ Réponse de D.J. : il pervertit la théologie de la charité. Il remercie de façon exagérée « bien obligé, mon ami »=> c'est une provocation puisqu'il entend remplacer l'aumône par de belles paroles. Or selon la coutume, le pauvre attend l'aumône. Comme D.J. ne suit pas le code sacré, il va provoquer

cas des croyances religieuses : croire en un Dieu en effet, c'est accepter en sa créance des articles de foi qui non seulement semblent ne pas pouvoir être démontrés, mais qui vont à l'encontre de la logique même de la démonstration. Ainsi, être chrétien, c'est croire en la sainte Trinité ; or, comment un être pourrait-il être à la fois triple et un ? C'est aussi croire que le Christ était à la fois homme et fils de Dieu : cela semble contradictoire, cela semble absurde. Aussi bien dans son fondement

par les lois de la gravitation universelle de Newton et un « grand horloger », «  le Créateur », régissant toute cette mécanique.] - Critique de la philosophie scolastique (qui réconcilie l'enseignement et la philosophie d'Aristote avec la théologie chrétienne) avec la « forme substantielle » des choses : Voltaire applique ici ironiquement cette théorie à des « puces de Sirius » et des « colimaçons ». - Critique de l’anthropocentrisme : L’homme ne conçoit que ce qui est à sa mesure, il manque

LA REPONSE DE L’HOMME La question centrale du sens en morale. Et notamment la question du sens ultime pour l’être humain. Que vient faire l’espérance chrétienne, que viennent faire les vertus eschatologique en morale ? Si notre conception de l’être humain est nourrie de l’eschatologie, après la mort il y a la résurrection, c’est capital au niveau de l’anthropologie, de l’historicité et donc aussi de notre conception de la vérité. Rapport important entre sens et vérité, rapport nourri de l’immanent

romaines, il faut en tirer une doctrine, des suggestions pour les besoins pratiques de la société présentes ». Les bartoliste vont adaptés au droit romain pour les problèmes pratiques de leurs époques. Ils vont utiliser la méthode du raisonnement de la théologie et de la philosophie : la dialectique. Cela consiste à poser une question et ensuite de développer une première thèse qui apporte des éléments, que l’on abandonne en soutenant une antithèse qui contient la conclusion finale de la réponse à la question

romans de Rabelais; ce sont des géants: leur appétit de savoir est donc énorme. Le texte 3 est une caricature de l'enseignement de la sorbonne que critique Rabelais. La Sorbonne est l'université de Paris, elle est réputée pour l'enseignement de la Théologie (sciences étudiant le domaine religieux) Elle est particulièrement puissante à cette époque car son autorité religieuse lui permet de condamner à mort un écrivain ou un éditeur soupçonné d'hérésie, ou de faire brûler des livres. Pour Rabelais, les

les langues anciennes. Rôle de grands penseurs comme Érasme ou Thomas More. La « bataille » se livre entre ces représentants des idées nouvelles et l’Église représentée par la Sorbonne. Taxée d’ignorance, celle-ci n suivant les lois divines que le chrétien montre sa foi. En 1515, le pape Léon X autorise une nouvelle vente d'indulgences13. Celle-ci n'obtient pas un très grand succès. Luther appose les 95 thèses, contre les indulgences Il s'engage à défendre ses propositions d'ordre théologique ou

cas des croyances religieuses : croire en un Dieu en effet, c'est accepter en sa créance des articles de foi qui non seulement semblent ne pas pouvoir être démontrés, mais qui vont à l'encontre de la logique même de la démonstration. Ainsi, être chrétien, c'est croire en la sainte Trinité ; or, comment un être pourrait-il être à la fois triple et un ? C'est aussi croire que le Christ était à la fois homme et fils de Dieu : cela semble contradictoire, cela semble absurde. Aussi bien dans son fondement