Theologie Morale Fondamentale

des êtres mortels, que notre vie présente aura certainement une fin, et cela, dans un délai extrêmement court, du moins si on le compare à la durée de l’univers. En dépit de la fragilité de notre être, notre conscience et la plupart des traditions morales et religieuses nous commandent de respecter notre prochain de manière inconditionnelle. Il existe des conduites absolument inacceptables à l'égard de tout individu, quel que soit son âge, son état de santé physique ou mentale, son sexe, sa religion

puis-je connaître ? » : Je ne peux avoir de connaissance quand faisant l'expérience par les sens « Que dois-je faire ? » : PB moral « Que suis-je en droit d’espérer ? » : PB de la Philosophie de l'Histoire Ces questions seront le socle de toutes ses pensées. Une des plus importantes étant de montrer l'aspect perfectible de l'homme à travers la raison et la morale. En effet de par sa nature charnelle, l'homme est historiquement esclave de ses instincts et de ses pulsions. Cependant, Kant croit

polarisation du temps: la pensée d'Auguste Comte, sociologue français mi 19ième qui l'instigateur du positivisme. Dans un cours de philosophie positive, il explique que l'ordre est le principe qui explique le développement de l'histoire dont la loi fondamentale s'appuie sur des stades de la civilisation. Il décrit un stade qu'il compare à l'enfance: le stade théologique ou on essaie d'expliquer le monde par une référence transcendante. Puis la jeunesse, qui est la période qui est le stade métaphysique

l’éthique (l’éthique est traditionnellement considérée comme l’une des branches de la philosophie. A la source, l’éthique est l’étude des comportements humains dont le but est de définir ce qu’est une action « droite »… Aujourd’hui, l’éthique signifie la morale, individuelle mais aussi collective, l’éthique d’un groupe, le code éthique d’une profession, l’éthique d’une société…) Qu’est-ce qui est vrai, qu’est ce que l’Être en tant qu’Être sont des questionnements qui ouvrent à d’autres, que puis-je savoir

exagère certainement. Mais l’incroyance affecte surtout des catégories de personnes en vue. On distingue sommairement deux sortes de « libertins », de ces esprits qui prétendent faire preuve d’indépendance en secouant le joug de la religion et de la morale chrétiennes. Les uns sont des érudits, gens de lettres qui fréquentent les bibliothèques et les cercles savants, comme Gabriel Naudé ou La Mothe Le Vayer : l’esprit critique de ces grands connaisseurs de l’histoire et de la philosophie s’exerce contre

immédiats. Ce que ceux-ci ont pu dire ou faire est nécessairement bon et digne de respect. Les lacunes du Coran sont ainsi comblées par les textes de la Sunna, qui obtiennent une valeur universelle, puisque l'exemple du Prophète constitue un idéal moral et social valable pour tous les croyants. Tous les fidèles auront le souci constant d'imiter, d'une manière scrupuleuse, la vie même du Prophète, jusque dus ses moindres détails, puisque c'est manifestement la voie, le chemin qui conduit à la perfection

Domaines dans lesquelles la question de la vérité se pose: polotique, théologie, morale, connaissance : pour cette dernière c'est l'idée selon laquelle nous n'aurions pas de connaissance directe des choses mais seulement des représentations. => Le relativisme = thèse selon laquelle la vérité est multiple. C'est par le biais de son aspect moral qu'on peut critiquer le relativisme : tout est-il acceptable ? Si les normes morales varient selon les stés et le temps, cad s'il n'existe pas de règles

siècle en Italie. Machiavel est fréquemment décrit comme le penseur qui sépare radicalement la morale de la politique, ouvrant ainsi la voie à la politique moderne. A travers une lecture minutieuse du "Prince", il ressort que la pensée de Machiavel, plus complexe, parvient, en redéfinissant le statut des faits, et en s'appuyant sur les exemples anciens et modernes, à une nouvelle manière d'articuler morale et politique autour de la notion de "virtù". Selon Machiavel, "Le Prince a toujours raison tant

l’expérience. L’observation est fondamentale, et doit précéder toute forme d’affirmation ou de jugement. Les philosophes des Lumières rejettent également ce qui relève uniquement de la tradition et des principes d’autorité. Ce principe en matière de religion par exemple suffisait à établir la vérité des Ecritures et dogmes, en imposant que l’esprit s’y soumit sans examen ni jugement personnel. La toute puissance de la tradition et de l’autorité s’étendait sur la morale, la pensé, la politique. Le nouvel

preoccupations et s'assigne comme tache l'epanouissement de ses qualites intellectuelles et morales. b)Un mouvement. L'humanisme n'est pas un mouvement organise autour d'un chef, d'une revue, d'une doctrine. C'est un vaste courant de la culture europeenne qui emerge avec le cuattrocento italien ( XV eme ) qui se developpe jusqu'à la fin du XVI eme siecle. Il prolonge un mouvement intellectuel et moral commence avec la redecouverte de la culture antique par le grand poete italien Petrarque