Theophile Gautier Sonnet

effectué par le poète sur le vers. Banville jouera un rôle important également en donnant à la rime la place centrale de la création poétique dans son Petit Traité de poésie française. Néanmoins, le mouvement parnassien s’appuie avant tout sur Théophile Gautier, associé à la doctrine de « l’art pour l’art », bâtissant une poésie n’ayant d’autre finalité qu’elle-même. Le nom « Parnasse » adopté dès 1866 avec la publication de la première œuvre poétique collective, fait allusion au mont Parnasse,

orientales sont remarquables par son exotisme beaucoup de ces poètes traitent du sujets des légendes orientales. Ils sont remarquables par leur exotisme lié à la tradition mais aussi par le refus de l’engagement social. L’art pour l’art • Théophile Gautier Lui, souhaite fonder une poésie qui se caractérise par le culte de la beauté et de la forme. Dans la préface d’un roman mademoiselle Maupin « Il n’y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien ; tout ce qui est utile est laid » Il

Sujet type bac : Classes de 1ère ES2 Objet d’étude : La Poésie Corpus : Texte A : Victor Hugo, « Fonction du poète », Les Rayons et les ombres, 1840 * Texte B : Théophile Gautier, « Le pin des landes » Emaux et Camées, 1852 * Texte C : Charles Baudelaire, « L’albatros », Les Fleurs du mal, 1857 * Texte D : Arthur Rimbaud, « Ma Bohème », Poésies, 1870 Question : A l’appui des textes du corpus vous expliquerez quelle image leurs auteurs donnent du poète et de la création poétique. Ce corpus

collectifs intituler le « Parnasse contemporain » en 1866, 1871 et 1876 ; une œuvre réalisée par une quarantaine de poètes de l’époque. Ces ouvrages on permit la structuration d’un groupe et d’une esthétique s’opposant aux principes du romantisme. Théophile Gauthier (1811-1872) en est le précurseur, c’est un poète, peintre, romancier et célèbre critique d’Art Français, il a notamment écrit en 1835 « Mademoiselle de Maupin », « Emaux et Carmées » en 1852 (poèmes parnassiens) ainsi que « La nature chez

Le Parnasse Définition C’est entre 1860 et 1866 que se constitue le groupe des poètes parnassiens. Réagissant contre le romantisme sentimental et confidentiel symbolisé par Musset, ils entourent de respect Théophile Gautier, devenu le champion de l’art pour l’art et reconnaissent pour maître Leconte de Lisle. Le mouvement est d’abord lié au sort de revues éphimères : la Revue fantaisiste (1861) de Catulle Mendès et la Revue du progrès (1863-1864) de Xavier de Ricard. De la fision de ces deux

modernité : Au milieu du XIXème siècle, quand Baudelaire surgit sur la "scène littéraire" deux grands mouvements se partagent l'espace d'expression poétique : le Romantisme et le Parnasse. Lamartine, Vigny et surtout Hugo pour le premier, Gautier, Banville, Leconte de Lisle et Hérédia pour le second occupent la place. Comme tout artiste, Baudelaire a à faire le deuil de ses attirances pour trouver sa propre voix. Baudelaire est "romantique" par tempérament, par admiration

en absorber les problèmes de la société et les traduire ensuite sous certaines formes, notamment la poésie pour que chacun prennent conscience du monde. 1)La poésie est avant tout un art qui ne doit pas être utile et qui doit resté beau. Théophile Gautier, chef de file de « L’Art pour l’art », refuse l’idée d’une œuvre « utile », au nom de la beauté qui doit rester « gratuite », c’est-à-dire ne « servir à rien ». Ainsi, la poésie est avant tout un art qui ne doit pas être utile et dont son seul

barroco » qui désigne une pierre irrégulière. Aussi le baroque se traduit-il par l'absence de mesure, la multiplication des effets, la liberté et la virtuosité de l'invention. exemples : Les Tragiques d'Agrippa d'Aubigné;Oeuvres poétiques de Théophile de Viau La Pléiade Le mot Pléiade, a été employé d'abord vers 1563 par les Protestants pour tourner en dérision l'arrogance des jeunes disciples de l'humaniste Jean Dorat constitués en Brigade. Ronsard se plut en effet, en 1553, à élire sept

3 recueils : -1er en 1866  de Théophile Gautier, « Emaux et Camées » -2ème en 1871  de Charles Leconte de Lisle, « Poèmes antiques, Poèmes barbares » -3ème en 1876  de Théodore Banville, « Les stalactiques, les Princesses » Influence forte de Victor Hugo sur le parnasse, puis Baudelaire « récupéré » par les Parnassiens pour son travail sur les vers, et rôle important de Banville. Mais le mouvement parnassien s’appuie avant tout sur Théophile Gautier, associé à « L’art pour l’art. »

l’imagination car celle-ci engendre une dispense de travail. En effet, le mouvement a pour mots d’ordre le travail poétique. Cela oblige à une certaine retenue et un travail assidu, qui aboutira ainsi à la beauté et au sens de l’équilibre. L’utilisation du sonnet tend à cette excellence. C’est en revenant à une forme classique et typique du XVIe siècle, que les parnassiens visent à une perfection de la forme. C’est pour servir ces deux règles qui sont le principe de l’impersonnalité et le travail assidu que