Théorie aristotélicienne de la causalité

représentations d’un Dieu « pantocrator » désormais dénommé du titre impérial de « Dominus », « Seigneur ». - Un siècle plus tard, de 415 à 427, Augustin, l’ancien Haut Fonctionnaire devenu l’évêque d’Hippone, rédige « la Cité de Dieu » en faisant la théorie de ce nouveau système de légitimation du pouvoir politique : dans la cité des hommes, le pouvoir n’est légitime que s’il se fonde dans la cité de Dieu elle-même, et c’est à l’Église d’assurer cette légitimation, faute de quoi, le pouvoir s’effondre

platonicienne de la hiérarchie des genres de vies, l’idéal contemplatif occupe la première place (ensuite l’idéal politique ou vie active et en dernier l’idéal chrématistique). L’activité théorique est conçue, comme le dira Aristote comme une fin en soi. La théorie (la vision de l’esprit) n’est pas le moyen d’une fin extérieure, elle est à elle-même sa propre fin. La philosophie, dit Aristote, est une activité libérale. Sa vocation n’est pas d’être utilemais de satisfaire les exigences propres de l’esprit. Elle

à non pas à se libérer du travail, mais de l’activité politique. Pour Marx la société idéale réalise la délivrance de ces deux contraintes, du travail et le l’activité politique, pour une vie consacrée à des buts plus élevés. Ses « prédictions », théorie d’une société sans classes, sans Etat et sans travail interviennent dans la négation de la tradition comme inadaptée à la société contemporaine, mais grâce à l’appréhension de cette société au moyen de concepts traditionnels. De manière constante

à non pas à se libérer du travail, mais de l’activité politique. Pour Marx la société idéale réalise la délivrance de ces deux contraintes, du travail et le l’activité politique, pour une vie consacrée à des buts plus élevés. Ses « prédictions », théorie d’une société sans classes, sans Etat et sans travail interviennent dans la négation de la tradition comme inadaptée à la société contemporaine, mais grâce à l’appréhension de cette société au moyen de concepts traditionnels. De manière constante

écoles différentes lesquelles sont subdivisés en multitudes de sous écoles elles mêmes non d'accord entre elles. La première de ces écoles est l'école du droit naturel. La seconde est celle du positivisme juridique. Section 1 : La théorie du droit naturel La théorie du droit naturel repose sur un postulat simple mais duquel il faut tiré une série de conséquences. La création du droit n'est pas une œuvre humaine, elle échappe à la volonté de l'homme. Le droit dans son contenue à été élaboré par

La métaphysique + 5.3.1 Être et devenir + 5.3.2 La volonté de dénigrement + 5.3.3 Les critères idéalistes de la connaissance + 5.3.4 Critique de la raison + 5.3.5 Théorie du langage o 5.4 L'erreur originelle * 6 Culture et législation o 6.1 Critique de la culture moderne + 6.1.1 Critique de la philosophie universitaire + 6.1.2 Critique des philistins de la

1 Critique de la possibilité de la métaphysique 5.2 L'utilité sociale de la vérité 5.3 La métaphysique 5.3.1 Être et devenir 5.3.2 La volonté de dénigrement 5.3.3 Les critères idéalistes de la connaissance 5.3.4 Critique de la raison 5.3.5 Théorie du langage 5.4 L'erreur originelle 6 Culture et législation 6.1 Critique de la culture moderne 6.1.1 Critique de la philosophie universitaire 6.1.2 Critique des philistins de la culture 6.1.3 Critique de la démocratie 6.2 Le processus de la

humaines et sociales 6 Disciplines scientifiques 7 Raisonnement scientifique 7.1 Type formel pur 7.2 Type empirico-formel 7.3 Type herméneutique 7.4 Scientificité 8 Scientifique et méthode scientifique 8.1 Expérimentation 8.2 Observation 8.3 Théorie et modèle 8.4 Simulation 8.5 Publication et littérature scientifique 9 Épistémologie : le discours sur la science 9.1 Épistémologie ou philosophie des sciences ? 9.2 Science au service de l'humanité : le progrès 9.3 Interrogations de l'épistémologie

+ ou – hiérarchisées : taxinomie ou taxonomie (notion de classes, 140 sous classes et sur-classes) Comment catégorise t-on ? Sur quelles bases regroupe-t-on différents éléments ? Selon 2 approches : • 1) Approche « classique » ou « aristotélicienne »: les catégories « logiques » - Regroupements sur la base de propriétés communes. - Les catégories ont des frontières délimitées.  Pour qu'un élément appartiennent à la catégorie, il faut qu'il possède ses propriétés ( ces conditions

scientifique de l'homme et de la réalité. La science et le roman réaliste partagent une base épistémologique commune. C'est d'abord l'exactitude de l'observation, ensuite l'objectivité de la description, totalité de l'investiguation en vue de proposer une théorie et une explication générale du monde. La science pour cela classe et décrit (naturalistes) => naissance de la photographie. a) Balzac des espèces zoologiques aux espèces sociologiques L'avant propos de la comédie humaine : texte qui propose tout