Théorie de la connaissance

Histoire des sciences L'histoire des sciences est l’étude de l'évolution de la connaissance scientifique. La science, en tant que corpus de connaissances mais également comme manière d'aborder et de comprendre le monde, s'est constituée de façon progressive depuis quelques millénaires. C'est en effet aux époques protohistoriques qu'ont commencé à se développer les spéculations intellectuelles visant à élucider les mystères de l'univers. L'histoire des sciences en tant que discipline étudie le mouvement

appelée la théorie de la « cohorte ». Selon cette théorie, nous segmentons le flot de paroles que nous entendons de manière à y entendre des sons. Grâce aux 40.000 à 50.000 mots que nous possédons dans notre vocabulaire (les experts peuvent en compter jusqu’à 100.000), nous projetons sur le discours de notre interlocuteur un ensemble de ces mots supposés se rapprocher le plus possible de ce que nous entendons. Pour mieux traiter son discours, nous nous appuyons également sur notre connaissance de la langue

L’apprentissage est un ensemble de mécanismes menant à l'acquisition de savoir-faire, de savoirs ou de connaissances. L'acteur de l'apprentissage est appelé apprenant. On peut opposer l'apprentissage à l'enseignement dont le but est de dispenser des connaissances et savoirs, l'acteur de l'enseignement étant l'enseignant. L'imitation est l'un des modes d'apprentissage fréquemment observé dans le monde animal. Ici un dauphin imite des postures humaines, ce qui demande des capacités cognitives

Les corps de petite masse sont attirés par les corps de masses plus importantes (loi de Newton). La connaissance scientifique exige un effort intellectuel, constituée de théorie, elle est une connaissance rigoureuse vérifiable par la démonstration et par l’expérience. Les théories ont des connaissances rigoureuses vérifiables par la démonstration de l’expérience. Les théories ont des connaissances médiate et abstraite, c’est-à-dire constituée de concepts capables d’expliquer le réel. La science est

L’homme est-il totalement responsable de tous ses sentiments, de ses actions, et de ses pensées ? La théorie de l’Inconscient nous vient de Freud, dans son texte Les Trois Blessures Narcissiques de L’Humanité on découvre que l’homme par orgueil ou mené par une philosophie rationaliste pensait se connaitre lui-même, mais ce n’est pas le cas. Son texte nous expose trois faits, d’abord la Théorie de Copernic, la réfutation du géocentrisme, les hommes ont alors la preuve que la terre n’est pas le centre

ou à l’encontre d’une proposition. Il faut donc apporter des connaissances scientifiques. En économie, cela commence par la référence à des auteurs : « sans auteurs pas de hauteur » Pourquoi faut-il s’appuyer sur des auteurs ? Les grands économistes ont réfléchi avant nous sur le type de problème qui nous est posé. Ils ont inventé des concepts, proposé une théorie pour l’appréhender, en donner une bonne description. Leur théorie a été critiquée, amendée. Par exemple, Ricardo pose la question

les apports de la théorie du capital humain. Le capital humain est l'ensemble des aptitudes, talents, qualifications et expériences accumulées par un individu et qui détermine en partie sa capacité à travailler ou à produire pour lui-même ou pour les autres. Tout d'abord nous allons présenter les apports de la théorie du capital humain sous trois point de vue, ensuite nous évoquerons les limites de cette théorie. 1)Les apports de la théorie du capital humain La théorie du capital humain

des jugements, de bien juger. Connaissance naturelle par opposition à la foi. Réel : ensemble de choses qui sont, c’est-à-dire qui ont une existence objective et constatable. Par opposition à l’apparence, être véritable des choses. La réalité n’est ni vrai ni fausse. Vérité : adéquation entre l’intelligence qui conçoit, entre l’esprit et la réalité. Propriété du langage et non du réel. Le mensonge l’oppose sur le plan moral, l’erreur sur le plan de la connaissance et la fausseté entre les termes

choses de la nature n’existent qu’immédiatement / L’homme existe de façon médiat Les choses physiques n’ont pas d’esprit, l’homme pense, essaie de se connaître. L’intermédiaire entre l’homme et lui-même est la pensée. - Conscience de soi … En théorie : L’idée que l’on se fait de soi n’est qu’une tentative, l’homme cherche à savoir ce qu’est l’être humain en général. L’homme recherche ce qu’est son essence : Ce que l’on est, on le tire de soi-même et de l’extérieur. - Conscience de soi … En pratique

époque. Quine naît dans un contexte de conflits et d’interrogations, en effet, le début du siècle est marqué par des débats entre le naturalisme et ses critiques. On dit du naturalisme que c’est un ensemble de thèses et d’arguments sur le type de connaissance qui convient aux activités proprement humaines et sur la nature de ces activités. Nous verrons par la suite que ces conflits ont eus beaucoup d’influence sur la principale thèse que Quine exposera. Le naturalisme fait partie de la philosophie de