Théorie de la connaissance

Méthodologie Les types de recherches Classement selon… . l’intention . La visée (ou le but) . Les prélèvements la nature le pourcentage le lieu le contact l’influence le temps d’étude L’intention De la connaissance à l’utilité Recherche fondamentale ; Newton et la gravité, recherche sur les troubles alimentaires Recherches appliquées ; Ingénierie, programmes d’intervention La visée De l’objectif au profond Décrire ; Classifier ; Expliquer En général ; cause-effet

bureaucratie professionnelle * La structure divisionnalisée * L’adhocratie III. Théorie des organisations * L’entreprise, un groupement humain * George Elton MAYO : * Kurt LEWIN : la dynamique de groupe * A. MASLOW et F. HERTZBERG : la motivation dans le travail * La théorie des besoins d’A. MASLOW * La théorie bi-factorielle de F. HERTZBERG * Douglas MAC GREGOR : théorie X et Y ------------------------------------------------- CHAPITRE 2 STRUCTURES ET MODES

Esquisse d’une théorie de la pratique Pierre BOURDIEU Édition du Seuil (2000), 165 p. Cet ouvrage s’adresse aux théoriciens autant qu’aux praticiens, et a donc un caractère double : théorique et pratique, ce qui rend difficile la réflexion plus approfondie de chacun des deux aspects. Il découle d’une réflexion menée dans un univers familier et consiste en une « expérimentation épistémologique ». La démarche est inverse de celle de l’ethnologue, c’est « l’effet d’objectivation » que

ce sens l’intersubjectivité . En quoi sommes- nous autorisés à présupposer que ce qui est universellement valable est objectif si l’on entend par là ce que le mot indique, à savoir l’adéquation de l’énoncé à l’objet auquel il renvoie ? – Car la théorie scientifique n’est pas comme l’œuvre d’art une métamorphose du réel obéissant essentiellement à des règles de cohérence interne. Elle prétend rendre intelligible le réel tel qu’il est donné dans l’expérience. Qu’en est-il de cette prétention ? Faut-il

« concept problématique », c'est-à-dire que la chose en soi est un concept pensable ; ce concept est même indispensable pour assigner une valeur à notre connaissance et pour déterminer l'objet de la connaissance sensible, mais par l'usage de ce concept rien de son essence n'est vraiment connu. La chose en soi est une limitation de la connaissance et c'est ainsi qu'elle agit sur nos représentations, de manière négative. La chose en soi est ce que l'intuition sensible ne peut atteindre. Tout objet ne

Terre voulaient, veulent et voudront toujours découvrir de nouvelles choses qu’on avait jamais découvertes et acquises seulement pour faire avancer nos connaissances et nos savoirs. Toutefois, avec les textes religieux et l’avancement scientifique dans ce monde peut-on affirmer que la connaissance est nécessairement rationnelle? Une connaissance est ce qui est d’acquis présentement et ce qu’on dit en soi-même de vrai. Par le terme nécessairement, on entend que c’est obligatoirement et inévitablement

•Instrumentalisme : •Les théories scientifiques sont des instruments donc sont ni vraies ni fausses. Elles sont juste utiles ou inutiles. Utiles à des fins pratiques et/ou ordonner la réalité perçue. (On ne peut pas dire par exemple que les électrons existent.) •En un autre sens, toute théorie scientifique est fausse ou révisable. Le progrès de la connaissance humaine est infini. Appelé vrai une théorie serait arrêter la connaissance humaine. •Idéalisme : Toute connaissance se fait grâce à la

pensée par l’usage qu’elle fait de la logique qui constitue son instrument favori. Aux questions : * Quelle est la nature de la pensée à l’œuvre dans les sciences ? * Comment peut-on distinguer entre théories scientifiques et pseudo-scientifiques ? * Quels buts la pensée et les théories scientifiques s’assignent-elles ? À partir d’études réalisées sur la psychologie des scientifiques, Holton établit une liste de caractéristiques saillantes de la pensée scientifique publique actuelle. En

L’homme peut percevoir le monde grâce à ses cinq sens : le gout, la vue, l’odorat, le toucher et l’ouïe. se demander si l'on peut faire confiance à nos sens, c'est avant tout s'interroger sur la fiabilité et la valeur des sens dans l'entreprise de la connaissance. En quoi devons nous nous méfier de nos sens pour connaître? Ne sommes nous pas contraints de nous en remettre à eux pour connaître comme pour agir, s'il est vrai que l'on ne peut pas s'en passer? Ainsi, après avoir considéré le fait que nous pouvons

Le mythe face à l’absence de réponse va essayer d’y remédier. Il peut être perçu de différentes façons selon la manière dont on le raconte. Multiplicité des niveaux de lectures, édifice à plusieurs étages : Métaphysique Ontologie Théorie de la connaissance/épistémologie Morale Histoire Le mythe de la caverne : 1. L'histoire : Peut-être racontée pour elle même 2. La morale : Lecture superficielle : "Nul n'est prophète dans son pays", "Mieux vaut se tromper tous ensemble qu'avoir raison