Théorie de la mesure

Abraham Moles Théorie de l'information et sémantique In: Les Cahiers de la publicité. N°5, pp. 15-36. Citer ce document / Cite this document : Moles Abraham. Théorie de l'information et sémantique. In: Les Cahiers de la publicité. N°5, pp. 15-36. doi : 10.3406/colan.1963.4795 http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/colan_1268-7251_1963_num_5_1_4795 théorie de et l'Information sémantique Docteur es lettres et docteur is sciences, profes seur-assistant à la Faculté

............................................................................................. C-8 3.1 Les dimensions épistémologiques de la recherche .........................................................................C-8 3.2 La portée des théories .....................................................................................................................C-9 3.3 Le tout ensemble: les composantes du savoir:. ..........................................................................

La théorie des anticipations rationnelles Se plaçant dans le courant néoclassique, J. F. Muth, en 1961, mais surtout Robert Lucas, en 1972, et Thomas Sargent, en 1981, ont élaboré la théorie en évoluant des anticipations adaptatives aux anticipations rationnelles. 1. DES ANTICIPATIONS ADAPTATIVES AUX ANTICIPATIONS RATIONNELLES Les anticipations adaptatives signifient qu’une valeur anticipée d’une variable dépend des valeurs observées dans le passé : si les prix ont augmenté de 1 % par mois depuis

environnement plus au moins concurrentiel, un cadre socio culturel et réglementaire spécifique, une filière techno économique. L’entreprise donc constitue le moteur de développement économique et social du pays dans la mesure où elle contribue à la richesse du (PIB)2.A travers la théorie financière nous avons déduit que les objectifs de l’entreprise sont multiples dont on trouve : La pérennité, la continuité, l’accroissement du chiffre d’affaires, l’augmentation des parts de marché, la minimisation des

Le principe de : de L’autonomie de volonté La théorie de l’autonomie de la volonté représente le fondement de la force obligatoire du contrat dans la mesure où l’on considère que l’homme est libre. L’obligation qu’il assume à la suite d’un contrat ne peut venir que de lui-même. La loi ne fait donc que garantir l’exécution de l’obligation contractuelle et en assure la sanction. Quand on dit que la volonté est autonome, cela signifie que l’on considère que la volonté humaine tire d’elle-même

socio-économique-juridique-politique Cf : la politique et théorie du marché et de la rétribution (cf : l’Ethique à Nicomaque) théorie de l’échange et de différentes formes de justice. Grammaire intransitive : on ne dira pas que x mérite telle ou telle chose mais qu’il a du mérite ou qu’il est méritant (tend vers une théorie des valeurs morales : axiologie, jugement moral, avoir de la valeur au sens absolu) Le mérite au sens strictement moral « se mesure non pas à ce qu’il rapporte mais à ce qu’il coûte »

ci-jointe vise à constituer une base de départ. Elle n'est évidemment pas exhaustive. Il est suggéré à chacun de la compléter au fur et à mesure de ses lectures, en cas de rencontre d'un nouveau terme inconnu ou d'une notion à préciser mise à jour 05/01/2005 Patrice VIAL LEXIQUE relatif à quelques concepts rencontrés en économie page 1 Concept ou théorie Initiateur ou école Signification A accélérateur (effet d') Aftalion constat selon lequel l'investissement amplifie arithmétiquement

institutions économiques et l’organisation de la sphère sociale. Le libre echange est un système où il y a pas d’entraves à la circulation de biens, des personnes et des capitaux entre les pays. Par contre, le protectionnisme consiste dans un ensamble de mesures mises en place par un certain pays et visant a entraver ses rapports èconomiques avec l’étrangèr, comme impots sur les importations, taxes, restrictions sur les quantitès des biens produits à l’étrangèr qui peuvent franchir les frontiers nationales

politique Ÿ . Ce texte traite essentiellement de certains des problèmes méthodologiques qui se font jour dans l'établissement de la  science positive Ÿ que Keynes appelait de ses voeux - en particulier du problème de savoir en quoi une hypothèse ou une théorie peut ou non se trouver acceptée à titre expérimental au sein du  corps du savoir systématisé concernant ce qui est - Ÿ. La confusion déplorée par Keynes sévit néanmoins encore si largement, et représente encore un tel obstacle à la reconnaissance

certaine contradiction concernant la théorie de la valeur. Au XIXème siècle, la recherche de l’origine de la valeur des biens et services redevient une question centrale et fait l’objet d’un affrontement chez les économistes. Cependant, sur quoi repose la théorie de la valeur dans les différents courants économiques du XIXème siècle ? Après avoir analysé la théorie de la valeur-travail, qui caractérise le courant classique, nous nous intéresserons à la théorie de la valeur-utilité chère aux néoclassiques