Théorie de la valeur

- LA THEORIE DE L’ARCHITECTURE. I-QU’EST-CE QUE LA THEORIE DE L’ARCHITECTURE La première association qui nous vient à l’esprit en évoquant le mot théorie c’est la pratique ; tandis que le mot théorie revêt un sens légèrement péjoratif ; ne dit –on pas ?Un tel est théoricien? La pratique elle, a l’avantage de l’efficacité de l’action, de la réalisation , cela, dans n’importe quel domaine; et plus spécifiquement en architecture. Mais pour pouvoir passer a l’action ne doit pas la réfléchir

de l’Angleterre. Avant, il avait écrit le théorie des sentiments moraux. Beaucoup oppose ces deux ouvrages or ils sont plus dans la continuité l’un de l’autre. En effet, dans son premier ouvre on trouve déjà le concept de la main invisible. On retrouve aussi l’idée de la division du travail. Il voit partout ses vertus au niveau des entreprises, des nations et international. A un niveau plus abstrait le concept à retenir de Smith est sa théorie de la valeur travail commandé. Adam Smith

marchandise par une utilité d’une chose. Cette utilité procure une valeur d’usage dont la proportion des différentes valeurs d’usage crée une valeur d’échange. Ce rapport change en temps et en lieu. Marx appuie sa théorie avec l’exemple du froment et du fer où i quarterons de froment = a kilogramme de fer. Il prouve donc que quelque chose de commun existe entre ses deux marchandises, pourtant si différentes. Cette similitude est la valeur, qui prend forme avec la matérialisation d’un travail humain. La

1 L’objet et les enjeux de la théorie économique La théorie économique a pour objectif de comprendre les mécanismes de fonctionnement d’une économie de marché et d’en tirer les leçons quant à l’opportunité de l’intervention étatique correspondante, ce qui présuppose l’étude de la viabilité d’une économie décentralisée (économie de marché), en l’examinant en détail (salariat, distribution du revenu, existence et cause des inégalités, de la pauvreté, de l’exploitation, quelles sont les actions optimales

Théorie de la valeur dans l’analyse néoclassique (le marginalisme) Introduction : C’est le tournant de la révolution industrielle et le triomphe du capitalisme. Une vague d’innovations notamment chimiques et électriques s’abat sur l’Europe et consacre le triomphe du scientisme. Mais c’est aussi sur le plan des idées économiques une période marquée par un renouvellement de grande ampleur. L’activité d’économiste se professionnalise et s’organise (création de nbses chaires d’éco po, formation

pour produire, échanger et consommer. II- MICRO ET MACRO ECONOMIE (La microéconomie va observer les comportements individuels des agents économiques, producteurs et consommateurs et analyser la façon dont ils s’ajustent sur les marchés. Cette théorie repose sur une formalisation mathématique. (La microéconomie analyse les phénomènes globaux. Elle s’intéresse aux agrégats économiques tels que la consommation, la demande, l’investissement ainsi qu’a des problèmes comme la croissance, l’emploi

étant de mettre en relation ces deux auteurs notamment en montrant que Marx a pris comme point de départ la théorie classique- la valeur et de la répartition de Ricardo- pour fonder sa théorie. Nous verrons que l’analyse de Marx présente des points communs avec celle de Ricardo. Néanmoins, Marx ne se contentera pas uniquement de reprendre Ricardo mais réalisera le prolongement de cette théorie en y apportant un certains nombre de modifications. C’est pourquoi nous pouvons nous demander si Marx n’est

des problèmes économiques et l'on essaie de trouver des solutions. Début de la théorisation…début de tentative d’expliquer les phénomènes… Théories encore très simple Ex : Expliquer le phénomène de l’inflation, origine de la monnaie, richesse d’un pays Ce sont les premiers à proposer des politiques économiques à la monarchie qui découlent de leurs théories économiques. Leurs politiques économiques sont très appliquées. Ils sont beaucoup impliqués dans le commerce, proches du pouvoir politique…

définit à partir de l'adhésion à certaines conceptions théoriques, et non à partir d'un découpage chronologique. Mais ils ne s'accordent pas sur le critère constituant la pierre de touche de l'économie classique : chez Marx il s'agit de la théorie de la valeur-travail, alors que Keynes attribue ce rôle à la loi des débouchés. Des frontières incertaines Une telle diversité de définitions ne contribue pas à clarifier la question des contours de l'économie classique, ni celle de la place qu'elle

des entreprises et administrations (mesurée avec le PIB = somme des valeurs ajoutées [valeur créée lors du processus de production] par les entreprises et les administrations) ex: entreprise A→1$ B →2$ Consommateur => éco internationale = 2$ L'entreprise crée de la valeur en combinant L et K (détruit en + d'1an) mais détruit des produits nécessaires à la production → consommation intermédiaire (détruit en – d'1an) VA = pQ – CI (Valeur Ajoutée = prix du Produit – Consommation Intermédiaire) ∏(bénéfice