Théorie de l'information

2. LA MONDIALISATION : LES FAITS - Il y a souvent confusion entre : ➢ L’augmentation forte des interdépendances économiques, au niveau de la planète due : à la forte diminution des coûts de transport, proches de zéro pour l’information, ou le transport maritime, à la quasi suppression des barrières douanières, à la prise en compte des contraintes géographiques (climat, etc.), à la prise de conscience de ces interdépendances. ➢ les formes socio-politiques de régulation :

Les Sciences de L’information et le Communication Alex MUCCHIELLI Professeur à l’Université Montpellier III Les Fondamentaux, Sciences Humaines Hachette Livre 2006 ; 4ème édition Paris Dans cet ouvrage l’auteur décrit l'approche communicationnelle des phénomènes à travers l'explication des processus propres à toute communication. Il passe en revue les différents domaines de la communication et présente les problématiques et les enjeux liés au développement de toute information et communication

richesses. II- L’entreprise chez les néo classiques ( courant de pensée XIXème qui a introduit les maths en science économique) A) L’entreprise, une boîte noire * Les NC développent une vision abstraite de l’entreprise, simplifiée. la théorie du producteur. * Chez le NC, l’entre est un seul individu : le producteur. Celui-ci va être rationnel. Il poursuit un obj unique : la maximisation du profit. Il évolue dans un envrnmt particulier, que l’on pourrait qualifier d’hypothétique, basé

résulte qu’un même rapport contractuel peut être potentiellement soumis à de nombreuses dispositions légales qui peuvent se révéler incompatibles. Dans ce cas, il faut nécessairement les articuler. En outre, avec le développement des technologies de l’information et de la communication (en particulier l’internet) s’est posée la question de savoir comment accomplir valablement les formes prescrites, étroitement liées à la culture du papier (on songe à l’écrit, par exemple), par voie électronique. A peine

Économie de l'information L'économie de l'information a plusieurs sens : travaux de Marc Uri Porat en 1977 traitant de l'ampleur des nouvelles technologies dans les économies particulièrement et généralement dans le monde. Depuis, ses travaux ont été largement cités et désignés comme le premier emploi marquant du terme « économie de l’information ». Ainsi se construit la définition de ce concept autour de la Nouvelle économie[2] . • c'est une branche de la science économique qui explique l'importance

Chapitre 2 : Théories de la firme La théorie des coûts de transaction La théorie des droits de propriété La théorie de l’agence Ces théories ont été développées dans la lignée des néoclassiques qui considéraient la forme comme une entité ayant pour seule fonction la production Présentation de la théorie néoclassique et ses limites Dans la théorie néoclassique, les différentes caractéristiques sont les suivantes : • Une approche en terme de boîte noire : les auteurs de la

notations de crédit sur les décisions de la structure du capital. Il s’agit de faire l’incorporation des facteurs de la notation de crédit dans les deux théories rivales de décisions de financement ; à savoir : la théorie statique de Trade off, selon laquelle chaque firme converge graduellement vers le niveau cible de la dette à long terme, et la théorie de financement hiérarchique, selon laquelle les émission de la dette à long terme sont exactement égales au déficit de financement de la firme. La revue

- Attentes initiales - Travaux et recherches personnelles I - Théorie et pratique de la consultance 1 - Ethnopsycosociologie de l'intervention, de la consultance et des organisations 2 - Le processus de consultation et praxéologie 3 - Méthodes et outils II - Organisations apprenantes et théories de la complexité 1 - La Sociologie des organisations 2 - Travail sur différentes organisations III - Théories et pratiques de l'intelligence économique 1 - La qualité d'un système

1) Théorie des perspectives : La théorie de perspective, théorie économique développé par Daniel Kahneman et Amos Tversky en 1979. C’est une théorie qui remet en cause la théorie de l’utilité espéré et essaye d’expliquer les anomalies et les contradictions apparentes dans les comportements humain. Elle permet d’effectuer les calculs de l’utilité sur les changements de richesse, entre gains et pertes, et non sur la richesse finale comme c’est le cas dans le cadre de l’utilité espéré, Cette théorie

THEORIES DE L’APPRENTISSAGE COURS DE M. KONATE Cheick ASSISTANT DE RECHERCHE EN DIDACTIQUES DES DISCIPLINES INJS DE BAMAKO OBJECTIFS Montrer la diversité des théories de l’apprentissage; Mettre en relief les différences entre ces théories; Montrer la complémentarité de ces théories; Insister sur la nécessité de prendre plusieurs à la fois pour expliquer l’apprentissage; Mettre en relief les mécanismes de l’apprentissage; Montrer les implications de ces théories sur l’action