Théorie des groupes

Contextualisation……………………………………………………………..2 III. Une conception restrictive du crime et du criminel…………………………3 IV. La théorie des opportunités différentielles : une théorie du paradigme étiologique ? ………………………………………………………………...7 V. La théorie des opportunités différentielles : une théorie fusionnelle…………9 VI. Quelques critiques………………………………………………………….11 VII. Vers une possible application de la théorie des opportunités différentielles sur la politique de la délinquance juvénile………………

«   Les patrons intérêt à faire produire le plus possible au taux le moins élevé ; les ouvriers bénéficient de l’augmentation quantitative de la production et les consommateurs de la diminution des prix de vente ».1.1.2. Un modèle rationnel  La théorie de Taylor, l’OST (l’Organisation Scientifique du Travail) s’appuie sur quatre principe d’organisation : * Division horizontale du travail * Division verticale du travail * Système du salaire au rendement * Système de

PREJUGES EXPLORATION DU SITE WWW.PREJUGES-STEREOTYPES.NET I-DEFINITIONS 1.1 Personnellement, je pense qu’un stéréotype est une représentation caricaturale figée, idée reçue, une opinion toute faite acceptée et véhiculée sans réflexion, concernant un groupe humain ou une classe social. Nous définissons ainsi les allemands comme des gens disciplinés, les espagnoles comme des gens très hospitaliers, et les africain comme des personnes qui ne sont jamais à l’heure. Quant au préjugé, c’est une opinion

redistribution. En effet, selon elle, les différentes théories contemporaines tendent à effectuer une séparation entre la reconnaissance de la différence et la redistribution dans une perspective de justice sociale. Pour l’auteure, une réelle théorie de la justice doit incorporer ces deux éléments. Effectivement, l’auteure « tient pour acquis que, de nos jours, la justice implique à la fois la redistribution et la reconnaissance». Pour développer une théorie de la justice qui articule les deux paradigmes

CHAPITRE I ORGANISATION ET THEORIE DES ORGANISATIONS Section I : La notion d’organisation Para 1 : Le passage d’une action collective à l’organisation Une action collective suppose la constitution d’un groupe de personnes qui ont un objectif commun et doivent l’atteindre (ex : plusieurs occupant d’une maison décide de refaire le toit d’une maison) Une organisation est donc un groupe de personne qui ont un objectif commun, mais quand celui ci veut agir

SOCIO-ANTHROPOLOGIE DU DEVELOPPEMENT THEORIES, IDEOLOGIES ET NORMATIVITE Dans le cadre du TD de Monsieur Bazenguissa A partir des articles suivants : – Norman Long, « Du paradigme perdu au paradigme... retrouvé ? Pour une sociologie du développement orientée vers les acteurs. », Bulletin de l'APAD, 7 | 1994 – Thomas Bierschenk et Jean-Pierre Olivier de Sardan, « ECRIS : Enquête Collective Rapide d'Identification des conflits et des groupes Stratégiques... », Bulletin de l'APAD, 7 | 1994 – Jean-Philippe

permet d’identifier certains schémas de bases (profil type) et donc d’expliquer les différences individuelles, il recommandait déjà à cet époque l’adoption de test psychologique afin d’améliorer la sélection des employés. Il défend l’intérêt des théories d’apprentissage dans le développement des méthodes de formation. Il préconise l’étude du comportement humain afin de déterminer les techniques de motivations les plus efficaces. Il fait le lien entre le management scientifique et la psychologie industrielle

LES THEORIES DU MANAGEMENT Sources : - BARABEL M. et MEIER O., Manageor – Les meilleures pratiques du management, Dunod, Paris, 2006, p. 11 et s. - TILLOY I. Polycopiés de cours Section 1 : Les théories traditionnelles du management 1. L’école classique Les auteurs de « l'école classique du management » ont en commun la volonté d'énoncer des règles rationnelles[1] et générales de conduite des organisations. Les éléments de réponse qu'ils ont apportés font encore référence

L’APPROCHE ORGANISATIONNELLE DE L’ENTREPRISE I. Les théories traditionnelles de l’organisation : l’école classique. 3 Auteurs : F.W TAYLOR (1859-1915) M .WEBER (1864-1927) H. FAYOL (1841-1925) A. TAYLOR et le Taylorisme 1) Contexte économique et culturel. 2nd révolution industrielle développement de la grande industrie principalement orientée vers la production de masse, de biens standardisés. 2nd révolution industrielle développement de l’électricité et du moteur à explosion

| Vocabulaire | Auto-organisation, connexion. Complexité et connaissances | Domaines influencés | Informatique, systèmes d’information. « Télé-entreprise » | L’organisation vu comme une culture Image essentiel | Un groupe sociale qui secrète des valeurs communes et crée des liens d’appartenance | Auteurs | Durkheim (XIXe siècle) Le toyotisme (1960) Iribarne (1988) | Métaphore | Anthropologie/sociologie | Vocabulaire | Culture d’entreprise