Théorie du choix rationnel

Auteur de la fiche lecture : Sylvie Chollot Etablissement : lycée Mounier Grenoble Académie : Grenoble Relecteur(s) : Maguy PEREA Mots-clés : sciences de l’organisation, théories et modèles, stratégie, outils de management, individu et groupe, culture et identité. Date de publication sur le site : Date de révision : 04 mars 2004 LES ORGANISATIONS, état des savoirs 1999 412 pages ouvrage collectif éditions sciences humaines 23 euros consultation du sommaire et commande possible

Malmendier (2006). Elle étudie les interactions internes à l’entreprise entre individus rationnels et irrationnels. Véronique Bessière 41 une confiance excessive dans ses propres compétences, capacités ou connaissances. Les premiers résultats empiriques, que nous développerons dans cette synthèse, confirment la présence marquée de ce biais chez les dirigeants d’entreprises et ses effets sur leurs choix, en particulier, en matière de politique d’investissement et de financement. Ce biais,

existence d’effets externes et de biens publiques → légitimité de l’Etat pour palier les déficiences du marché . Mais : les choix publiques ne peuvent se réduire des préférences individuelles ( th. d’impossibilité d’Arrow) Donc Etat obligé de choisir arbitrairement des bénéficiaires : quel comportement de l’Etat ? → Nouvelle économie publique : dite Eco du choix publique. Les interventions publiques sont déterminées sur un marché politique (offre émane des bureaucrates et des politiciens

hypothético-déductive : on part d’une théorie pour essayer d’expliquer le monde, et non de la description du monde pour essayer d’en déduire une théorie (ce qui correspond à une démarche inductive, allant du particulier au général). Le néophyte est souvent surpris, en ouvrant un ouvrage d’économie, d’y découvrir de nombreuses formules mathématiques et des raisonnements qui lui semblent bien loin de la réalité.  • L’exemple de la rationalité du comportement : Toutes les théories libérales reposent sur l’hypothèse

orientation progressive 2. réduire l'échec en première année de faculté (50% de taux d'échec), préparer les lycéens pour qu'il s'oriente correctement 3. rendre réversible les choix d'orientation, système de passerelle. -> volonté d'amener les lycéens à construire sont parcours et qu'il à la droit à l'erreur. Ces choix ne sont pas déterminés. A l'université MESR met en place le "plan réussite en Licence", l'objectif étant de réduire le taux d'échec en première année et aussi de favoriser l'orientation

individuels sont-ils parfaitement rationnels ? Après un bref détour par la notion fondamentale de rationalité parfaite, les auteurs soulignent les principaux biais comportementaux mis en évidence dans la littérature financière, soit dans les études expérimentales en laboratoire, soit dans les analyses empiriques portant sur la composition des portefeuilles d’investisseurs individuels. Face aux biais observés, la dernière partie de l’article présente une théorie alternative des choix risqués qui est ensuite

la théorie représentationniste et computationnelle des outils : 10 1- Théorie positiviste : 10 2- Les hésitations cognitiviste d’HERBERT Simon: 11 II- La théorie constitutionnelle : 12 Chapitre II : Processus et théories de l'appropriation 13 I - les étapes de l'appropriation 15 1- phase La de pré-appropriation 16 2- La phase d’appropriation originelle : 16 3- La phase de réappropriation : 16 II- les théories de l'appropriation 17 1- La théorie de la conception à l’usage 17 2- La théorie de la

ateur est_ Dissertation 2 : Le consommateur est-il rationnel ? La tradition aristotélicienne définit la rationalité comme l’adaptation des moyens aux fins, celles-ci étant cohérentes avec elles-mêmes. 1. La rationalité « optimisatrice »du consommateur : hypothèses et conséquences . La tradition libérale utilitariste, de A. Smith à J.S. Mill, suppose un agent économique qui maximise ses plaisirs et minimise ses peines; cette pensée a souvent privilégié le consommateur comme

politiques ? 9) Le recrutement du personnel politique est il démocratique ? 10) Peut-on s’engager en politique en dehors des partis ? 11) Quelles sont les limites d’un sondage d’opinion ? 12) L’abstention électorale en France. 13) L’électeur est il rationnel ? 14) Les partis politiques contemporains : ressemblances et distinctions. 15) Comportement électoral et variables lourdes. 16) Comment penser les mouvements sociaux ? 1) QU’EST CE QUE LA DEMARCHE SOCIOLOGIQUE ? La démarche sociologique : la sociologie

accorde une place exagérée aux stratégies et aux intérêts de pouvoir. Il est clair qu'à réduire la connaissance scientifique à une question de stratégies et d'intérêts de pouvoir, on réduirait également sa rationalité à la micro rationalité de la théorie des jeux et de l'art de la guerre. Encore s'agirait-il là d'une forme de rationalité. Quoi que mal informée, la critique de Bourdieu est ainsi modérée comparée à celle, plus informée mais malhonnête (ou fruit d'une incompréhension profonde), des