Theorie General Des Obligations Le Contrat

Droit des obligations 12/09/13 Bibliographie : Recueil des grands arrêts Dalloz Manuel droit des obligations : Précis Dalloz, Les obligations ; Hubert et Saveaux, Mme Fenouille Revues juridiques : Revue des contrats**** Le contrat est un accord de volonté qui crée des obligations. INTRODUCTION I. LA NOTION D’OBLIGATION Qu’est-ce qu’une obligation ? Sens étroit : l’obligation relève du monde de la finance, des marchés financiers. Actions sont des parts de capital d’une

Annee 2014-2015 Les obligations contractuelles en droit international privé Travaux pratiques – Enoncé 1.2 (B) Rue de l’Industrie, 62 1000 Bruxelles Tél. : 0032.2.741.25.25 Bruxelles, le 10 décembre 2014 Cher Monsieur Poutikov, Concerne : Poutikov/ De Givré Votre dernier courrier a retenu toute mon attention et je vous remercie. Je vous prie de trouver ci-dessous mon analyse complète quant à la stratégie à adopter concernant votre litige avec Monsieur De Givré au cas où ce dernier décidait

volonté est lié au droit des contrats, qui est en pleine réforme depuis 2004. Cette réforme fait actuellement l’objet de 5 dossiers qui semblent avoir de nombreuses difficultés pour arriver à un accord unanime sur la question. Le principe d’autonomie de la volonté est sans doute l’un des principes les plus importants de notre droit. En effet, nous pouvons constater qu’il est souvent invoqué lors de procès notamment lors de conflit entre parties portant sur un contrat. Ce principe n’est pas nouveau

WEEK 6 1ERE PARTIE: LA THEORIE DES RISQUES Lorsque dans un contrat synallagmatique, l’une des parties est empêchée d’exécuter par la force majeure, l’autre partie est-elle ou non tenue d’exécuter sa propre obligation ? La théorie des risques permet de répondre à cette question. Ainsi, on emploie la théorie des risques en droit des obligations lorsque le débiteur d'une obligation se voit dans l'impossibilité de l'exécuter à la suite d’une force majeure. Cette théorie prévoit deux situations :

doit pas être vu comme étant isolé des autres normes de droit positif qui figurent dans ledroit primaire de l’Union européenne. Il convient en effet de prendre en considération une économie de marché ouverte où la concurrence est libre, une telle obligation étant clairement assignée à la politique économique de l’Union et des États membres 5 . De même, le marché intérieur doit comprendre un système garantissant que la concurrence n’est pas faussée 6 . Il faut également tenir compte

Introduction Le contrat est défini à l'article 1101 du Code Civil : il s'agit d'une convention génératrice d'obligation. Un contrat est donc une convention. Ces deux termes sous-entendent un accord de volonté humaine qui va générer des obligations. Mais le contrat a une particularité : il est destiné à créer des obligations alors que la convention est une notion plus large. En effet, la convention peut poursuivre d'autres finalités : une convention peut modifier une obligation. Par exemple : dans

rappel des def fondamentales obligation et contrat I. l'obligation obligation: lien de droit en vertu duquel une pers et tenu envers une autre pers de donner faire ou ne pas faire qqch. Caractéristique lien contraignant entre les personnes (=lien de confiance) ac une finalité eco (= obtenir un avantages) classification selon l'objet: - obligation de donner - obligation de faire - obligation de ne pas faire - obligation en nature - obligation pécuniaire selon la nature

forment une sorte de microsome ». Il voyait ainsi, le contrat comme étant une collaboration, c’est l’image d’une société où le travail commun permet la réalisation des buts individuels. Cet auteur a beaucoup influencé le droit des obligations, mais plus précisément, son travail a enrichis la réflexion sur ce que l’on doit attendre de l’exécution d’un contrat. Cette phase est en effet régis par un principe, celui de la force obligatoire du contrat qui tire lui-même son inspiration du droit romain à

du juge imprègnent le droit contemporain des contrats : la bonne foi. Les projet Landoi ou Gandolfi consacrent c erôle croissant de la bonne foi. Le projet Catala envisage également d’élargir le rôle de la bonne foi, actuellement limité à l’exécution du contrat à son processus de formation, innovant par rapport à la jurisprudence. Le projet Térré va plus loin encore, l’érigeant en norme général de comportement des parties au contrat : «  les contrats se forment et s’exécutent de bonne foi », et le

Commentaire d’arrêt La théorie de l’opposabilité du contrat permet au contrat d’être opposable aux tiers mais aussi d’être opposé par les tiers aux contractants. Cela implique notamment des conséquences quant au régime de responsabilité applicable en cas de manquement à une obligation contractuelle comme l’illustre l’arrêt à commenter de l’Assemblée plénière de la Cour de cassation du 6 octobre 2006. En l’espèce, les consorts X ont donné à bail un immeuble commercial à la société Myr’Ho qui a