Tholos

usage d'exprimer la forme de la coupole à l'extérieur en la couvrant d'un dôme de charpente. L'usage s'établit en outre d'ouvrir la coupole à son faîte et de recouvrir l'ouverture d'une lanterne en forme de tempietto (petit temple grec de forme ronde (tholos)). La Madonna di San Biagio à Montepulciano intègre ces éléments * la voûte en pendentifs introduite par Brunelleschi au portique de l'hopital des Innocents. Elle est constituée par la réunion de quatre pendentifs, ce qui lui lui donne la forme

notre ère, on a trouvé une voûte de ce type[D 2]. On retrouve la même disposition à Thèbes, dans le temple d’Amon-Rê[D 3]. Toutefois la plus belle voûte antique de ce type est probablement celle du trésor d'Atrée[D 4], une impressionnante tombe à tholos située à Mycènes, en Grèce et construite autour de 1250 av. J.-C. Elle est formée d'une pièce semi-souterraine à plan circulaire avec une couverture à section ogivale. Avec une hauteur intérieure de 13,5 m et un diamètre de 14,5 m[5], elle a été le

carrée, supportant un arc tétrapyle (4 arcs séparés par 4 piliers décorés) surmonté d’une construction circulaire, une tholos (mot grec signifiant rotonde) : – socle (chasse, scènes de combat, lutte contre les Amazones) ; – pilier quadrifons ; – frise (soleil, tritons et griffons sur les faces est, sud et ouest, dragons et absence de soleil sur la face nord) ; – tholos contenant la statue du grand-père Augustus et du père Caius. On y retrouve des éléments architecturaux déjà identifiés dans

représentants affichent une taille et une force physique supérieures à la moyenne, sans doute grâce à une meilleure alimentation[13]. Elle se distingue par son goût pour les objets de luxe et par l'importance accordée aux monuments funéraires : la tombe à tholos dite « d'Égisthe » a nécessité l'équivalent du travail de 20 hommes pendant 240 jours, puis une phase de maçonnerie d'une année entière[14]. La cité est gouvernée par un monarque appelé « wa-na-ka » dans la langue mycénienne des tablettes en linéaire

Propylées : entrée monumentale à façade hexastyle dorique, adaptation à la topographie. NB : les frises du style ionique sont continues, contrairement aux doriques. * Apparition à la fin de la période classique d’un nouveau style de temple : le tholos (temple circulaire), couvert par une coupole, de style dorique externe et corinthien interne, plus fantaisiste. * Apparition du style corinthien : chapiteau décoré de feuilles d’arcanthes. Architecture civile * Construction de théâtres :

438), dorique, est assez représentatif de cette tendance à l'idéalisation qui accompagne les recherches réalistes de l'époque. Dans ce cadre, il y a fort à citer également le temple de Zeus à Olympie (468-456), le théâtre d'Epidaure (IVe s) et le Tholos de Delphes (IVe s). La sculpture et peinture évoluent vers un art expressionniste, voire passionné. Voir Discobole de Myron (Ve s), statue de Poséidon de Milos (contraposto) et Polyclète, copie romaine de Doryphore. 3. La période hellénistique

simplicité, plus de mémoire facile, qu’investir. A. Les lois de figuration Une première manière d’obtenir cette lisibilité est le recours aux figures géométriques simples. Nous les retrouvons partout dans l’histoire de l’architecture. Cylindre de la tholos, triangle des frontons classiques, cube de la Piccola Cuba de Palerme ou des temples indojavanais, demi-sphère des coupoles romaines et byzantines, ellipse des temples indiens, pylône des sanctuaires égyptiens et assyriens, polygones réguliers servant

ensemble très original, gigantesque, à flanc de colline fait d’une série de terrasses et de rampes sur 6 niveaux. Idée de mise en scène, de théâtralité : l’édifice est incorporé à l’environnement. Mêle les formes rectilignes et courbes (en haut, la tholos reprise aux grecs). Théâtre inclus dans l’ensemble du temple qui joue un rôle symbolique dans la divinisation des personnages politiques (déjà vrai à l’époque hellénistique). _ Le Panthéon : sous Hadrien, +2ème s, règne pacifique. Se compose d’un

l’âge du Bronze. Par contraste, les régions centrales et la zone méditerranéenne resteront étrangères à ce phénomène. Un autre phénomène marquant du début du Chalcolithique : le développement d'un nouveau type de monuments funéraires en forme de tholos et les « grottes artificielles ». Ces dernières ne se retrouvent que dans les zones les plus développées à l'époque comme le sud de la péninsule (de l'estuaire du Tage à la province d'Almería) et dans le sud-est de la France. Vers - 2.600, les premières

grosses poutres à embouts métalliques. La chambre funéraire n’est accessible que par le puits vertical au fond duquel elle est construite, et cette disposition n’autorise pas le grandiose cérémonial qui caractérisera plus tard les tombes royales à tholos : une fois le corps déposé sur le sol, on construit la couverture par-dessus, on remplit le puits de terre, puis on élève un tumulus sur lequel est placée une stèle. L’enceinte funéraire qui entoure et isole les tombes est la seule concession faite