Thomas Hobbes Desir

individuelles) se placent sous l’autorité d’un souverain étatique, par le biais d’un traité, tout en reconnaissant leurs droit naturel a leurs propre conservation (droit a disposé d’eux même ?) Il revient sur la théorie du «  contrat sociale «  de Hobbes caractérisé comme matérialiste et prétendument athée. Pour Locke, le droit naturel de l’homme, qui n’est pas « qu’une machine se reproduisant elle-même » tous les hommes sont par nature libres et égaux, ils ont le droits de défendre : leurs vies

le but est de promouvoir les connaissances en s'opposant à la superstition, l'intolérance, et les abus de l'Eglise et de l'Etat. Les précurseurs sont les philosophes rationnalistes René Descartes et Baruch Spinoza,, les philosophes politiques Thomas Hobbes et John Locke et le penseur sceptiques en France Pierre Boyle. Les auteurs majeurs sont Montesquieu avec De l'esprit des lois (1748), Diderot et d'Alembert avec L'Encyclopédie ( 1782), Voltaire avec Candide et Rousseau avec Les Confessions. Les

Contrat social (ou de l'Émile), contrairement à l'homme de la nature, est un homme qui a porté à la perfection ses capacités naturelles au lieu de les pervertir. Toutes les théories du contrat social avant Rousseau, qu'elles soient absolutistes (Hobbes) ou libérales (Locke), reposent sur l'aliénation totale ou partielle de l'individu. Or, pour Rousseau, le problème est d'abord et avant tout de préserver la liberté. D'où l'énoncé de son problème : " Trouver une forme d'association par laquelle

sujets en tant qu'ils doivent obéissance au pouvoir, mais aussi sujets de Droit, ce qui implique un certain respect. Cela explique que l'on ait pu voir en Hobbes aussi bien le défenseur de la monarchie absolue que le précurseur des démocraties modernes. Tous les grands noms de la pensée politique (Locke, Rousseau, Kant, Hegel) s'inspireront de Hobbes. Le point de départ pourra être différent.

peut entreprendre des décisions seul. L’État se fonde sur la volonté générale, et donc de la volonté de tous. L’homme n’est pas à son état de nature, il vit dans une société. Je soutiens Hobbes que l'état de nature est un état de guerre de chacun contre chacun. L'homme est un loup pour l’autre homme. Hobbes décrit l'état de nature à l’aide d’un paradoxe. Il dit que c'est un état doublement égalitaire. Les hommes sont égaux non en ce qu'ils possèdent mais, car chacun peut revendiquer sur les autres

Augustin, Saint Thomas d’Aquin (13eme siècle) manifestent une certaine souplesse, donc si le pouvoir politique est divin, dieu a laissé aux hommes la liberté de l’exercice de ce pouvoir, malgré cette position de souplesse, cette doctrine recommande la soumission au monarque et donc une interdiction d’agir violemment contre ce pouvoir politique malgré le fait qu’il soit injuste. C’est une position assez conservatrice. A- L’ORIGINE CONTRACTUELLE DE L’ETAT : La position de Saint Thomas d’Aquin est plutôt

plus vite, d’autres sont plus souples, etc. Il y a donc, sinon des inégalités, du moins des différences naturelles entre nous : nous ne sommes pas tous identiques. Ces différences constituent-elles cependant des injustices ? Comme le fait remarquer Hobbes au chapitre 13 du Léviathan, on ne peut pas parler de justice ou d’injustice avant la loi, que cette dernière soit une loi positive ou une simple norme morale. Cette idée selon laquelle il n’est pas possible d’être injuste s’il n’y a pas de norme

débat mais ce n’est pas le sujet. Ces habitants subissent une dictature communiste qui leur a été imposée. Ils n’ont donc même pas eu recours à un choix ou une sélection pour être libres. On pourrait donc parler de pouvoir coercitif, comme le dis Hobbes, car le gouvernement a trouvé comme seule solution le pouvoir par la force. Ainsi, ces Coréens sont conditionnés et ne peuvent choisir d’être libres. Mais, prenons un exemple qui nous est plus familier : lorsque nous sommes enfants, nous ne sommes

est par nature un animal politique ». En se réunissant, l’homme accomplit simplement sa nature, ce pour quoi il est fait. Il est à noter l’opposition entre la théorie aristotélicienne de la société et la pensée de l’état de nature du contrat social (Hobbes, Rousseau). Pour Aristote, la nature de l’homme ne peut être pensée en dehors de son inscription dans la cité, en dehors de ses relations à autrui, au concitoyen. L’homme « solitaire » est un homme qui n’a pas réalisé sa nature, un homme inachevé

incitent à partager un même point de vue et à définir comme bon ou mauvais un acte en particulier. Par conséquent, les lois influent sur la morale puisqu’elles dictent explicitement les limites à ne pas dépasser. C’est cette pensée que nous expose Thomas Hobbes dans Léviathan dans la phrase « Les notions de péché, de mérite, de juste et d’injuste sont créés artificiellement par l’établissement de lois » ou encore dans la phrase « Cet état de guerre amoral (où le bien consiste à pouvoir survivre et la