Thomas Hobbes Langage

en élaborant un moral opportuniste « la fin justifie les moyens ». Il ne nie pas l’importance de la religion mais lui reproche par certaine de ses valeurs d’aller à l’encontre d’un Etat fort. 2° remise en question : « le Léviathan », 1651 de Thomas Hobbes (1588 – 1679) fait la présentation systématique de l’autorité et du pouvoir indépendamment de toutes réflexions religieuses. Il va déterminer nationalement l’organisation politique la plus apte pour empêcher les guerres civiles illégitimes, l’existence

morale et politique, co-substantielle, au sens de Max Weber, dans le savant et le politique, de la notion d'Etat. Les philosophes contractualistes que sont Thomas Hobbes, John Locke et Jean Jacques Rousseau, rendus célèbres par la théorisation de leur état de nature ont compris la notion d'ordre public. Ceci est notamment flagrant chez Hobbes dans Léviathan, où une force supérieure incarne le pouvoir, arrachant aux hommes leurs souverainetés, pour leur offrir la liberté garantie par le maintien de

Cela dit, on considère que c’est Thomas MUN (1571-1641) qui fut le premier d’entre eux parmi les anglais avec ses travaux dans les années 1620, tandis que l’ouvrage de James STEUART parut en 1767 et qui s’intitule : Principles of Political Oeconomy serait sans doute le dernier ouvrage de cette époque mercantiliste. En Angleterre, les auteurs le plus souvent mentionnée sont donc Thomas MUN mais aussi Josiah CHILD (1630-1699) et John LOCKE (1632-1704).  Thomas MUN : homme d’affaires qui fut membre

fondée sur une philosophie première (Platon/ Aristote). Trois principales définitions que les penseurs ont pu donner de la théorie politique. Ordre chronologie : Antiquité grecque Platon/ Aristote, l’Age classique qui début au 17ème siècle avec Hobbes, la modernité qui se caractérise par un autre rapport à la politique fin du 19ème siècle avec la sociologie qui naît, comme science autonome qui entend s’affranchir de tout rapport avec la philosophie. L’auteur principal est Max Weber, Emile Durkheim

y aura toujours un H pour se croire plus sage et plus capable pour gouverner+parole/pas parole. + grande différence : les abeilles ont un accord naturel pour leur système alors que le système n’est que convention pour l’H et donc superficiel. Pour Hobbes, le seul moyen d’ériger un pouvoir commun et de mettre les H dans la sécurité et qu’ils soient satisfaits est de rassembler toutes les forces sur un ou un groupe d’hommes qui soumettra les individus à sa volonté pour le bien commun. (élu par vote)

législateurs. Cette genèse de l'Etat permet de définir sa raison d'être : il n'existe pas pour lui-même, il n'existe que parce que les citoyens s'y soumettent volontairement, et donc dans l'intérêt des citoyens. Quel est cet intérêt ? Si l'on en croit Hobbes, mais aussi Locke ou Spinoza, l'Etat a pour fonction première d'éviter la guerre de tous contre tous, donc de créer la paix civile. C'est dans cette perspective que doivent se comprendre la création du droit, et les moyens de l'appliquer, c'est-à-dire

17/09/2012 17/09/2012 HISTOIRE DE LA PENSEE POLITIQUE Le concept d’Etat 1er concept : L’absolutisme (Machiavel, Hobbes, Bodin) 2ème concept : Le constitutionnalisme (Kant, Rousseau, Hamilton) La période des absolutistes (XVIème siècle) marque le début de la période qu’on pourrait appeler fondatrice de l’Etat moderne. Ensuite suit la période des constitutionnalistes qui connaît son apogée lorsque de nombreux états connaissent l’anarchie : guerres civiles … Absolutisme : * Eviter

temps que pour être libre il faut se laisser entrainer par ses désirs, dans le sens où personne ne nous en empêche. Dans une deuxième partie nous montrerons qu'il faut maîtriser certains désirs pour ne pas être aliéner par ceux – ci . (3eme partie : HOBBES …. !) Dans un premier temps, il est naturel de penser que pouvoir réaliser tous ses désirs, et donc avoir les moyens, la possibilité de faire tout ce que l'on veut, est synonyme de liberté. Ceci est la thèse que défend Calliclès. Selon lui, la

les abeilles. Ce « plus que » désigne l’activité proprement politique qui, chez lui, renvoie à la fois aux institutions et aux mœurs civiques, en un mot au « régime » (politeia). Sur ce point, il convenait de marquer la distinction avec Machiavel et Hobbes, penseurs modernes pour lesquels la belle harmonie de la communauté civique des Anciens a fait long feu – et pour lesquels, bien qu’il ne soit pas perçu comme méchant ou pervers, l’homme est d’un naturel agressif. La violence sociale ou politique

principes conseillent l’obéissance, tandis que d’autres nous indiquent le contraire. Ainsi les revendications du devoir et de l’obligation politiques doivent être confrontées à une conception des priorités adéquates. (Tr. C. Audard. Seuil éd.) Thomas HOBBES : Le Léviathan. Une convention où je m’engage à ne pas me défendre de la violence par la violence est toujours nulle. En effet, nul ne peut transmettre son droit de se protéger de la mort, des blessures et de l’emprisonnement, ou s’en dessaisir