Thèmes La Parure

critique d'art mais surtout de recueils poétiques tels Les Fleurs du mal (1857) et les poèmes en prose du Spleen de Paris (1864).  | - Le dandysme : c'est un culte de soi-même, un désir de distinction fondé sur l'originalité personnelle. Il soigne sa parure, sa parole, il pratique la transgression. Il ne se repose pas sur le travail ou les privilèges de la naissance. Le dandy ne crée pas son œuvre, son œuvre est la vie même. Pour Baudelaire il est le dernier éclat de l'héroïsme dans une période de décadence

| |« Horla » de Maupassant. | | | Documents complémentaires : - La Genèse, 2-3 (Le Jardin d’Eden ) Lectures cursives • « La Parure » de Guy de Maupassant • « La Main » de Guy de Maupassant | Séance 1 (dominante oral) |

Cours d’expression et de culture générale PROGRESSION POUR UNE CLASSE DE BTS 1ÈRE ANNÉE Colette Hinzelin, Lycée hôtelier Guillaume Tirel 75014 Paris Le travail s’effectue sur des thèmes choisis par l’enseignant permettant de construire des repères, tant du point de vue des apprentissages de la technique des deux exercices de l’examen (synthèse et écriture personnelle) que de l’approche des questions de culture générale recoupant des faits de société contemporains. SEQUENCE 1 : 1ère APPROCHE

rocaille. B) proposition d’aménagement d’un grand salon rocaille Pour débuter, comme c’est le cas depuis le XVIIe siècle, les murs se voient habillés de lambris. Cependant sous Louis XV le cadre architectural disparaît totalement sous cette parure de bois. Les lambris seront composés de 3 parties, bas lambris, lambris d’étage et lambris d’attique ils sont dit à la « française ». Les lambris d’attique recevront des toiles d’un artiste, par exemple Natoire s’adaptant aux formes alambiquées des

ainsi que cinq autres artistes dont Girodet peignent chacun un panneau pour orner le salon de l’hôtel particulier de M. Gaudin à Paris, rue du Mont-Blanc, et dont l’architecture intérieure a été confiée à Charles Percier. L’ensemble représente des thèmes mythologiques gracieux, voire érotiques, où les fleurs sont un élément décoratif dominant. Gérard peint cette Flore qui, immatérielle et diaphane, marche à la surface du globe terrestre, entourée d'une multitude de fleurs aux tons pastels et nacrés

serait un manipulateur, or eux-mêmes pratiquent l’art de la séduction en toute liberté. Dans le Gorgias (dialogue de Platon traitant de « l’art de bien parler », mettant en scène Socrate, Gorgias et deux de ses élèves, Polos et Calliclès), un des thèmes abordés est la question de la justice : influencer les gens, les manipuler, est injuste, car c’est choisir de satisfaire son besoin de supériorité et de puissance sur les autres, et de les écraser. Exemple : Lors de la discussion entre Socrate

Sud, le nomarque est représenté assis devant un amoncellement de victuaille et une table d’offrandes faisant face à plusieurs registres de porteurs d’offrandes. Porteurs qui lui présentent de la nourriture, des fleurs, du bétail, du mobilier, des parures. Au registre inférieur, des bœufs sont sacrifiés en son honneur. Au dessus de lui, des formules d’offrandes énumèrent ces denrées tandis qu’un menu en fait le décompte. Le défunt bénéficie aussi du culte rendu par son fils ainé, Nakht, et par des

Fuyant les yeux, fuyant les doigts, | De silence et d'ombre couverte, Une fleur vit au fond des bois.Un papillon blanc qui voltige, Un coup d'œil au hasard jeté, Vous fait surprendre sur sa tige La fleur dans sa simplicité. Belle de sa parure agreste S'épanouissant au ciel bleu, Et versant son parfum modeste Pour la solitude et pour Dieu. Sans toucher à son pur calice Qu'agite un frisson de pudeur, Vous respirez avec délice Son âme dans sa fraîche odeur. Et tulipes au port

sa carrière par une thèse sur Valladolid au Siècle d’Or[1]. Il s’est par la suite intéressé à différents aspects de l’histoire de l’Espagne moderne. Une liste exhaustive de ses travaux serait fort longue, mais on peut au moins citer les principaux thèmes qui l’ont intéressé au cours de sa carrière : l’Inquisition[2], la conquête de l’Amérique[3], les relations diplomatiques[4]. Il a en outre réalisé une synthèse encore largement utilisée aujourd’hui sur l’histoire des Espagnols[5]. L’Homme

», v. 13). Une destinataire unique (« mignonne », vv. 1, 8 et 13), que l’on essaie de persuader (« si vous me croyez », v. 13). IV. Thème(s) du texte. ● Thème dominant : La brièveté de la vie humaine. ● Thèmes secondaires : - émerveillement devant la beauté de la nature ; - révolte devant le caractère éphémère de la vie ; - invitation à profiter des joies de la vie. V. Intertextualité. ● Sources : L’ode