Thèse De Protagoras

mythologique des sept filles d'Atlas changées en 7 constellations. Cela symbolise l'ambition de renouer avec l'apotheose des poetes de l'Antiquite. Le registre lyrique domine la creation litteraire, elle correspond a la pensee humaniste issue de Protagoras selon laquelle «  l'homme est la mesure de toute chose ». Elle se traduit par une predominace du theme de l'amour, soit sous la forme de la celebration soit sous celle de l'eloge. Le poete est « enthousiaste » anime par la fureur creatrice.

l’opinion considère que la vé- rité est aussi diverse que celle des opinions. Dans l’Antiquité déjà, Protagoras soutenait : « telle la chose t’apparaît, telle elle est ». Autrement dit : « À cha- cun sa vérité. » La vérité est ce qui se tient dans la multitude émiettée des avis, aussi contradictoires soient-ils. Elle devient l’objet d’innombrables dis- cussions, d’interminables disputes et controverses. Protagoras avait d’ailleurs72 PARTIE I – QU’EST-CE QUE LA VÉRITÉ ? QUELLES FACULTÉS SONT À L’ŒUVRE ? donné

que mal une existence où il faudra à nouveau travailler demain ? La situation humaine est particulièrement désespérante, à vrai dire, en ceci que l'homme a d'autant plus de besoins, qu'il a moins de moyens pour les satisfaire. Comme le remarquait Protagoras en effet, l'animal est doté de qualités innées : pinces et crocs lui servent d'outils, poils ou écailles de vêtements, lors même que l'instinct le dispense des ennuis de l'apprentissage ; tout au contraire, l'homme naît nu, sans organes naturels

angoisse. Le crime commis, qui dépasse sa compréhension, le terrifie. Cela dit (c'est le bûcheron qui parle) :  . C'est la première réplique du film : "Rien... j'y comprends rien...". Faut-il cependant s'y fier? Je défendrai, en fin de note, la thèse que c'est le personnage du bûcheron qui est, peut-on dire pour la bonne cause?... le plus manipulateur. Il aurait en réalité "tout compris". Nous verrons comment. . Il s'agit en réalité d'un sordide fait divers que l'on peut ainsi résumer : un voleur

carrière de l'ambitieux est donc difficile ; et l'on se console par être admiré sans être compris. Mais quelle était pourtant la manière de Socrate ? Héroïque à sa manière. Cela consiste à penser toujours d'après l'idée de l'autre, en développant la thèse de l'autre, de bonne foi, en vue de comprendre en quoi elle est vraie. Encore se pressait-il trop quelquefois de la montrer absurde ; c'est une découverte qu'il faut laisser faire à l'autre. Toujours est-il que par ces précautions de bonne foi, sans

son rapport avec le  changement. Anaximandre propose donc une synthèse : l’Air qui n’est pas aussi matériel  que l’eau mais permet d’expliquer la motricité.   5      L’Ecole de Milet nous montre que la pensée philosophique est dialectique (thèse,  antithèse, synthèse).      H ÉRACLITE ET  PARMÉNIDE ,  L’ ÉBAUCHE D ’ UNE RUPTURE   Héraclite dit « l’obscur » du fait de la complexité parfois hermétique de son propos, est un  philosophe profondément touché par la réalité mouvante qui l’entoure

pour ainsi dire extérieur ; et si les préceptes du maître s'opposent au développement naturel de nos facultés ou de nos organes au point de les venir contrarier, il n'en résultera qu'un être au corps malade et à la pensée pervertie. Voilà donc la thèse de Rousseau, dans ce texte tiré de l'Émile, lequel est précisément un traité d'éducation : éduquer, c'est mettre d'accord ces trois sortes de maîtres et les faire tendre « aux mêmes fins ». Telle est la seule manière d'amener l'enfant par la suite

la nature car il n’y en a pas. Les principes de l’action ne sont pas dictés par le futur ou passé mais par le présent d’où l’importance des conventions, des institutions. Exemple de Keynes : il faut vivre dans le présent. Exemple : le sophiste Protagoras écrira une constitution extrêmement démocratique. III) Les cycles liés à la nature et à l’artifice. Il y a 3 cycles : - Cycle de l’Antiquité : au départ on a une pensée de l’artifice qui vient remettre en cause les idées reçues, imposer

pour ainsi dire extérieur ; et si les préceptes du maître s'opposent au développement naturel de nos facultés ou de nos organes au point de les venir contrarier, il n'en résultera qu'un être au corps malade et à la pensée pervertie. Voilà donc la thèse de Rousseau, dans ce texte tiré de l'Émile, lequel est précisément un traité d'éducation : éduquer, c'est mettre d'accord ces trois sortes de maîtres et les faire tendre « aux mêmes fins ». Telle est la seule manière d'amener l'enfant par la suite

comprendre, alors?Que l'on songe par exemple à la colossale « Histoire des animaux » jugée illisible, et qui n'est plus lue. Nous y trouvons une foule d'exemples singuliers, d'anecdotes, d'analyses concrètes relatives aux innombrables animaux. C'est une thèse reconnue qu'Aristote a laissé à ses disciples le soin de rédiger les passages portant sur les singularités animales. Nous sommes face à ce texte aussi démunis que face à un catalogue dont les articles ne nous intéressent plus. À quoi bon le lire encore