Thèse Du Protagoras De Platon

toutes les formes de raisonnement faux et infondé. • Doxa (grec) = opinion La doxa est toute forme d’opinion qui n’est pas fondée sur la légitimité de la raison et qui est, par là même, critiquable. Opinion : attention, très négatif depuis PLATON. En philosophie, ce terme désigne une croyance ou une prise de position non soumise à l’examen. En général, l’opinion (≠ savoir, connaissance) est un jugement non fondé rationnellement qui vient soit d’une insuffisance de savoir, soit d’un préjugé

lui parviennent. Il semble avoir distingué les sensations de la pensée. De toute manière, il eut le mérite de voir que le cerveau jouait en cela un rôle privilégié, puisqu’on admettait avant lui que le sensorium commune était le cœur. Hippocrate et Platon conserveront son importante découverte, mais Empédocle, Aristote et les stoïciens reviendront à l’idée ancienne. Les quatre éléments d’Empédocle. Dans son œuvre, on y retrouve la plupart des éléments qui fondaient les doctrines de ses prédécesseurs :

l’humanité, nous allons travailler sur un mythe grec antique, dont il existe plusieurs versions, le mythe de Prométhée (tel qu’il est repris dans le dialogue de Platon intitulé Protagoras). 1) Le mythe de Prométhée ou la technique comme naissance de l’humanité (texte 1) 9 RESUME Dans Protagoras de Platon, le sophiste Protagoras développe le mythe de Prométhée, qui permet d’expliquer l’apparition de la technique (et donc du travail) chez l’homme. Il raconte qu’aux origines des temps,

pour ainsi dire extérieur ; et si les préceptes du maître s'opposent au développement naturel de nos facultés ou de nos organes au point de les venir contrarier, il n'en résultera qu'un être au corps malade et à la pensée pervertie. Voilà donc la thèse de Rousseau, dans ce texte tiré de l'Émile, lequel est précisément un traité d'éducation : éduquer, c'est mettre d'accord ces trois sortes de maîtres et les faire tendre « aux mêmes fins ». Telle est la seule manière d'amener l'enfant par la suite

pour ainsi dire extérieur ; et si les préceptes du maître s'opposent au développement naturel de nos facultés ou de nos organes au point de les venir contrarier, il n'en résultera qu'un être au corps malade et à la pensée pervertie. Voilà donc la thèse de Rousseau, dans ce texte tiré de l'Émile, lequel est précisément un traité d'éducation : éduquer, c'est mettre d'accord ces trois sortes de maîtres et les faire tendre « aux mêmes fins ». Telle est la seule manière d'amener l'enfant par la suite

La politique I/Platon 1) La république: la cité idéale La question posée dans la Republique est la question de la justice càd de l’ordre, de l’efficacité et de la rationalité. Il s’agit de savoir à quels types de conduites individuelles ou politiques et religieuses l’homme doit se conformer pour que se réalisent l’ordre, la raison, la bonne correspondance entre l’organisation du cosmos, celle de la cité et la hiérarchie de l’âme. Le dialogue sur la justice a donc pour centre la constitution

Péloponnèse, mais les attaques contre les défauts et les dangers d’un régime démocratique sont longuement développées par Xénophon et Platon. Ces deux auteurs jugent peu prudent de laisser le peuple gouverner, en raison principalement de son ignorance de la chose politique. Xénophon, dans la République des Lacédémoniens incline à l’aristocratie, quand Platon, dans le Politique, souhaite un gouvernement idéal confié aux sages, la sophocratie. Toutefois, l’un comme l’autre condamnent fermement

ses lumières et ses erreurs, ses vices et ses vertus, le rend à la longue le tyran de lui-même, et de la nature. Rousseau, Discours sur l'origine et les fondements de l'Inégalité parmi les Hommes, Première Partie 2.2.1 ETUDE A LA LOUPE La thèse de Rousseau (à retenir) Pour Rousseau l'homme à « une qualité très spécifique », c'est qu'il est le seul à pouvoir « se perfectionner " . L'animal reste toute sa vie identique à lui-même et l'espèce à laquelle il appartient n’évolue pas non plus

La loi est faite par les faibles et le plus grand nombre.[…] Mais la nature elle-même nous prouve qu’en bonne justice celui qui vaut plus doit l’emporter sur celui qui vaut moins, le capable sur l’incapable. » Calliclès dans le Gorgias 483 c-d de Platon Points de vues et perspectives multiples sur la justice : risque de régression à l’infini dans la recherche du fondement. Convoque plusieurs domaines : conscience spontanée, juridique, métaphysique, scientifique. Le droit : désigne l’ensemble des

La loi est faite par les faibles et le plus grand nombre.[…] Mais la nature elle-même nous prouve qu’en bonne justice celui qui vaut plus doit l’emporter sur celui qui vaut moins, le capable sur l’incapable. » Calliclès dans le Gorgias 483 c-d de Platon Points de vues et perspectives multiples sur la justice : risque de régression à l’infini dans la recherche du fondement. Convoque plusieurs domaines : conscience spontanée, juridique, métaphysique, scientifique. Le droit : désigne l’ensemble des