Thèse Oedipe Roi

de « l’art tyrannique » (il faut détourner sujet etc…). Cette fable se présente comme une superposition et les forces en présence vont par trois chez Lafontaine : chat, belette, petit lapin ; Cérès, hirondelle, anguille… Dans la dédicace : Roi d’Angleterre, Roi de France, Ambassadeur… Fabuliste, lecteur, athéniens… Mise en abîme par superposition de destinateur/destinataire. On ne discerne pas qui piège et qui est piégé. L’orateur veut forcer les cœurs alors que l’ambassadeur doit négocier. Lien

et poursuivis jusqu’à sa mort, constituent pour les biographes un témoignage précieux. L'année suivante, Gide entame une collaboration régulière avec La Revue Blanche. Enfin, en 1901, il parvient à faire monter une de ses pièces. Mais la première du Roi Caudaule (écrit en 1899) est un désastre. La pièce est éreintée par la critique. Gide prend alors le parti de snober le grand public et le théâtre. De l’Immoraliste à la Porte étroite [modifier] En 1902, L'Immoraliste obtient plus de succès mais l’auteur

saveur nous transmettent un savoir. -II- Instruire le lecteur 1) Espace et temps vagues -temps indéterminé époque où l’on allé cherché de l’eau dans un puit, on a affaire à un village, à une forêt. -mention d’un roi, période mythique. -lieu flou : village, maison, le palais, la forêt, la fontaine. Le cadre vague donne à cette histoire un aspect universel. 2) Des majuscules systématiques Les noms communs comme les noms propres ont des

philosophique à travers une odyssée intellectuelle parsemée d’épreuves ! Selon Hegel, la conscience humaine fonctionne conformément à un modèle logique dialectique. La réalisation de la conscience passe par les trois étapes de développement que sont la thèse, l’antithèse et la synthèse. Au début, la conscience n’est pas encore consciente d’elle-même et se confond avec la simple pensée. Ensuite, la « morsure du réel » pousse la conscience à sortir d’elle-même ce qui lui permet sa prise de conscience. Enfin

rigide ? N’y a-t-il pas un déterminisme que l’on pourrait penser en termes plus souples, par exemple, comme une influence ? I- LE DETERMINISME CONTRE LA LIBERTE A- LE DETERMINISME NATUREL/ UNIVERSEL 1) Définitions et synonymes C’est une thèse qui stipule qu’il n’y a pas d’événement sans cause, et que, dans les mêmes conditions, les mêmes causes produisent les mêmes effets ; synonyme : principe de causalité Par suite, tout ce qui arrive n’aurait pu être autre qu’il n’est ; synonyme, ici

mener la passion : elle va aller jusqu’à accuser Hyppolite qui va entrainer la malédiction de Thésée, et la mort d’Hyppolite. Il n’y aurait pas de malédiction de Phèdre si elle ne cherchait pas à continuer à être vertueuse. Jamais elle n’aurait laissé accuser Hyppolite si elle ne savait pas qu’Hyppolite en aimait une autre. C’est parce qu’elle se sent coupable qu’elle finira par s’accuser devant Thésée. Même lorsqu’elle avoue son amour à Hyppolite, elle lui dit « crois tu qu’innocente à mes yeux

été habitués antérieurement. PLAN DU COURS Chapitre I/ Cerner la notion de mythe littéraire 1/ Approche transdisciplinaire du mythe littéraire 1.1. Mythe et sacré [Les cosmogonies – Prométhée – Perséphone – Daphné] 1.2. Mythe et sciences humaines [Œdipe – L’Age d’or] 1.3. Mythe et arts [Apollon et Dionysos – Orphée] 2/ Approche définitionnelle du mythe littéraire 2.1. La littérature et le mythe, des antagonistes ? 2.2. Les analogies entre mythe et littérature 2.3. Bilan : vers la notion de mythe littéraire

moyens persuasion :• Questions rhétoriques : 'n'as t'il pas fallut, pouvez vous, cela n'est-il pas...?'• Implication affective, sensible (marques enthousiasme : 'admirable, merveilleux')Comme DJ, il cherche à convaincre : • Au début dévalorisation thèse DJ ('la belle croyance et les beaux articles de foi que voici, étranges folies, bien – sages')• Des maximesc. Un univers de réflexion propre :• Puise ses ex dans nature 'Ce que je vois', sûrement autour d'eux dans la sc. (forêt)• Tire réflexion non

déjà vu la réalité, l'amant dans le placard ? Voir la réalité, s'en faire une idée vraie, est une injonction qui nous est faite dès le plus jeune âge et qui porte notre culture depuis ses origines grecques. Mais comme on dit : « la vérité blesse ». Œdipe ne se crève-t-il pas les yeux pour ne plus voir les crimes qu'il a commis ? La vérité exigeait-elle le sacrifice du bonheur procuré par l'illusion. Faut-il placer plus haut que tout la valeur que représente la vérité ou bien faut-il reconnaître une

la fiction) et les événements historiques (qui nous paraissent les seuls réels). La chronologie figurant sur la chronique de Paros, une inscription du IIIe siècle av. J.-C., fait se succéder dans une même continuité le règne de Cécrops, le premier roi légendaire d'Athènes, puis le déluge de Deucalion, la guerre de Troie, etc. et des événements historiques comme la bataille de Platées, en indiquant leurs dates dans le comput athénien. Les premiers historiens, les logographes, qui écrivent dès la fin