Théorie Classique Lutte Contre Le Chomage

l'économie politique, John Maynard Keynes est le seul, avec Marx, à avoir donné son nom à un corps de doctrine. Et, malgré les furieux assauts des libéraux, le keynésianisme reste une pensée vivante, cinquante ans après la mort de l'auteur de la Théorie générale. Intellectuel brillant, homme de culture, mais aussi d'action, Keynes était habité de l'esprit de responsabilité : pour lui l'économie n'avait d'autre finalité que le service de l'homme. De quoi irriter profondément tous ceux qui ne jurent

de compréhension de la réalité économique. L’analyse économique la plus courante, appelée « économie standard » ou « main stream », est basée sur la problématique de l’équilibre général, problème au fondement de la théorie néoclassique. La théorie néoclassique est une théorie micro-économique adoptant sur le plan de la méthode le principe de l’individualisme méthodologique. Le courant néoclassique est un courant dont le pouvoir explicatif est relativement important, il n’avait pas de courant

Grands courants de la pensée économique Pensée économique qui est annexe et qui influence d’autres pensées aux IVème siècles avant JC. Aristote le développe avec de très lourdes conséquences sur la théorie de l’époque car il va condamner les taux d’intérêts, les prêts salariés et le commerce. XVIème siècle, la pensée économique va se développer et l’on quitte le domaine de la famille pour se consacrer aux pays. Les précurseurs 1 Le mercantilisme La richesse des nations est l’enrichissement

prix : théorie classique - a - Le marché Définition : le marché est le lieu de confrontation entre l'offre et la demande, qui permet de fixer un prix. Il existe différents types de marchés : – Le marché des B&S, qui se subdivise en marchés de biens particuliers (Ex : le marché de l'automobile) – Le marché du travail met en relation l'offre (par les individus) et la demande (par les entreprises) de travail – Le marché des changes : marché où l'on échange les différentes devises les unes contre les autres

économiste qui est supposé fonder prioritairement le lien social, à la condition de laisser les individus poursuivre le plus librement possible leurs intérêts particuliers. Toutefois, fonder le lien social sur les relations de marché comme le propose la théorie économique naissante autour de l’idée d’une main invisible n’a jamais été une position consensuelle chez les économistes ; ainsi, de nombreux courants de pensée ont critiqué ce fondement libéral de l’analyse économique, parmi lesquels les plus connus

d’Aquin (XIII°) ou chez Nicolas Oresme (XIV°, savant Français). Entre le XVI° et le XVIII°, les mercantilistes préconisent l’abondance de métaux précieux, l’intervention de l’Etat et l’essort de la population ; mais ils ne constituent pas encore une théorie économique unifiée. Au XVIII°, les Physiocrates vont proposer une analyse structurée de l’économie et peuvent être considéré comme à l’origine du premier courant de l’économie politique. I°/ Aux origines de l’Economie politique, les incontournables

Contraintes : Ressources (rares) < Besoins (illimités) 2 Méthode de la science économique La science économique consiste à décrire, quantifier et expliquer pour construiredes théories en aval. Elle se place au niveau individuel ou collectif (micro/macro) pour des théories et des modéles. 2.1 Economie quantitative et statistiques L’économie décrit la réalité qui constitue son domaine d’étude. 1. Les outils : 1. Calculs algébriques, 2. Statistiques, 3. Comptabilité

macroéconomiques. C’est davantage par les questions qu’elle se pose que se définit le champ de la macroéconomie. La question du chômage est une question typique des problématiques macroéconomiques. Le chômage est en France un phénomène à la fois ancien et relativement récent. Jusqu’au premier choc pétrolier en 1973, il était presque inexistant. On constate une dérive à la hausse du chômage jusqu’en 1997 puis une importante redescente jusqu’en 2001. Seule la forte croissance économique des années 86-90 a

CHOMAGE ET INFLATION Chapitre 01 : LE CHOMAGE A. Définition et mesure du chômage 1. Les mesures du stock de chômeurs 2. La mesure du chômage à travers les flux B. Evolution du chômage 1. Le chômage des jeunes 2. Le chômage des seniors C. Les explications du chômage 1. Le chômage classique 2. Le chômage keynésien 3. Le chômage lié aux structures économiques et sociales a. Le chômage naturel b. Le chômage frictionnel c. Le chômage technologique d. Le chômage de segmentation e. Le

considéré qu’il était le seul néoclassique et que ses prédécesseurs étaient des classiques. L’objectif du modèle macroéconomique néoclassique est de montrer que l’économie tend naturellement vers le plein emploi mais le plein emploi des ressources, le plein emploi des capacités de production et donc tend vers une absence de chômage. La conclusion en matière de politique économique est que s’il n’y a pas de chômage, l’Etat ne doit en aucun cas intervenir dans l’économie. I La conception générale