Théorie De Tinbergen

La théorie psychanalytique de la motivation psychanalyse englobe une théorie complexe de la motivation du comportement manifeste et des pensées on peut expliquer le comportement avec des principes mécaniques ( Freud ) Organisme  : « moteur » qui transforme l’énergie en travail (« appareil psychique ») Comportements  : produits de forces inconscientes Ex : pulsions, « instincts » il y a une structure

THEORIe des INSTITUTIONS INTERNATIONALES Partiel : le 15/01, 14h-17h. Examen écrit avec 4 questions obligatoires OU un sujet de dissertation PLAN I – L’analyse économique des institutions, au confluant de nbreux champs théoriques a) Définitions des institutions b) Approche en sciences économiques 1) l’institutionnalisme 2) la nouvelle économie institutionnelle 3) L’approche néoclassique des institutions (théorie de l’agence, théorie des jeux) 4) Les économistes dit hétérodoxes (l’école autrichienne

filières autonomes pour les sciences économiques avec un enseignement fondé sur la combinaison de conférences, de tutorat, de travaux dirigés et séminaires. A la différence de la France, les enseignements d’économie sont fortement orientés vers la théorie économique. Les Etats-Unis deviendront la référence après 1945. Marion Fourcade explique : « Le professionnalisme scientifique des économistes américains, c’est-à-dire le fait que l’économie est bel et bien une profession en prise constante sur la

milieu des années 90. Les enjeux de ce chapitre : Qu'est ce que le sous-développement ? Quelles sont les causes du sous-développement ? Comment sortir du sous-développement ? PARTIE 1 : Sous-développement et développement : concepts et théories A quelles caractéristiques on peut repérer le dvpt éco ? A partir de cela, comment peut-on repérer le sous-dvpt ? Comment on mesure le dvpt ? On commencera par rapprocher sous-dvpt et pauvreté mais nous verrons aussi que les pays sous-développés

d’inflation croissant. Partie 2 : Politique économique et politique monétaire Chapitre 1 : La politique économique Les bases de la politique économique moderne ont été construites par John Maynard Keynes. C’est l’économiste irlandais Ian Tinbergen qui en 1952 définit la politique économique avec ses objectifs et ses moyens. Cette politique économique s’est incarné dans la carré magique crée par Nicolas Kaldor. Aujourd’hui il est encore utilisé mais les objectifs on changé, la politique économique

est le suivant : La création monétaire est indispensable au financement de l’économie, mais elle doit toutefois être contrôlée, en raison des risques d’inflation causés par une création monétaire excessive. Ce raisonnement, qui se base sur la théorie quantitative de la monnaie (dont le principe est développé dans le livre de BTS 1re année, chapitre 2), a conduit les autorités à mettre en place des procédures de contrôle de la liquidité bancaire. Ce contrôle est dévolu à la Banque centrale européenne

d’actes stéréotypés). * Déclenchés de manière plus ou moins automatique par des stimuli et configurations schématiques efficaces en fonction de l’état organique interne de l’animal (motivation : sexuelle, agressive, alimentaire, parentale,…) TINBERGEN : * analyse du comportement de l’épinoche à l’aide de leurres. Mâle = ventre rouge (c’est ce qui déclenche l’agression territoriale) ; femelle = ventre gris. Les leurres dépourvus du signal « ventre rouge » ne sont pas attaqués alors que ceux

consommation, l'épargne, les investissements, l'inflations.... Ces grandeurs économiques influencent automatiquement les recettes mais aussi les dépenses. Cette analyse a été présentée par l'économiste suédois Gunnar Myrdal dans les années 30 avec la théorie des budgets cycliques. En période de croissance (T>G), les recettes augmentent et le budget devient excédentaire. En phase de récession (T<G), les revenus donc les recettes sont plus faibles tandis que les dépenses peuvent être supérieures aux

conjoncturelles : le policy mix a) Les modalités du policy mix = pol éco conjoncturelle combinant ls instruments de la pol budgétaire et ceux de la pol monétaire. - Le policy mix en régime de change fixes Au déb ds an 50 l’éco néerlandaits Jan Tinbergen démontre mathématiquement que le nbre d’instruments (dép pub, rec fiscales, tx d’int) doit ê = au nbre d’objectifs (stab ds prix, plein emploi..) L’éco Canadien Robert Mundell poursuit cette analyse en montrant qu’il faut également choisir parmi

politiques keynésienne pures (résorber les déséquilibres quand ils existent) et les politiques plutôt keynésianistes (plus flexibles). Il faut également souligner que les politiques économiques aujourd’hui semblent largement échapper à l’emprise d’une théorie en intégrant d’avantage de pragmatisme, celui-ci s’explique surtout par les résultats médiocres obtenus calqués sur un modèle théorique, c’est le cas par exemple de la politique de relance de 1980. Aujourd’hui l’Etat essaye de moduler un peu