Théorie Des Bulles Spéculatives

des marchés financiers se serait transmise au système bancaire, puis au secteur réel qui, de toute manière, prospérait au-delà des potentialités de ses propres débouchés, c'est-à-dire au-delà du pouvoir d’achat des consommateurs. Au sens de cette théorie, les pays en développement font partie des consommateurs en voie de paupérisation rapide. En effet, ces pays ont vu leurs recettes d’exportation fondre pour certains produits, entraînant une contraction des importations en provenance des pays développés

DECLENCHEMENT DES CRISES DE CHANGE : ..................................... 15 4. LE MODELE DE PREMIERE GENERATION DE KRUGMAN : .............................................................. 16 5. LE MODELE DE DEUXIEME GENERATION RELATIF AUX ATTAQUES SPECULATIVES : .............................. 16 6. LA CONCILIATION DES DEUX 7. LE PHENOMENE DE LA CONTAGION : ....................................................................................... 18 8. LES CRISES DE CHANGE ET LES CRISES BANCAIRES :

options : Option : Economie et Finance Internationales (EFI) Option : Finance, Banque et Assurance (FBA) Option : Comptabilité, Management et Audit (CMA) IV- DOMAINES ET THEMATIQUES DE RECHERCHE DE LA FORMATION DOCTORALE Sciences économiques : Théorie du développement et valorisation des ressources ; développement régional ; économie sociale et solidaire ; économie marocaine ; relations économiques et commerciales internationales (du Maroc) ; économie et finance internationales ; finance, banque

sur le fait qu’il est presque impossible de déterminer réellement « la dette qui finance le fonctionnement du souverain de celle qui finance l’augmentation de la valeur du patrimoine de la collectivité ». Cela est lié au fait qu’il existe peu de théories, de données ou d’instruments de mesures pertinents. A son sens, il faut surtout s’intéresser au ratio de la dette rapportée aux revenus fiscaux ; le rapport dette/PIB, ratio très fréquemment utilisé, est en revanche peu adéquat car il n’inclut pas

Définitions B. Deux siècles de fluctuations et de crises II. Comment expliquer l'instabilité de la croissance ? A. Les chocs d'offre et de demande B. Le rôle des crédits 1 Notions complémentaires : − expansion − crise − récession − reprise − bulle spéculative − crise de surproduction − choc d'offre − choc de demande I. La croissance est instable : fluctuations et crises A. définition ! L'évolution économique n'est pas linéaire. Document 1 p 46 Croissance : accroissement sur une longue période des quantités

abandon de Bretton Woods  On passe aux changes flottants et on abandonne les changes fixes. A partir de ce moment là, le fond monétaire international n’a plus besoin de surveiller l’évolution des taux de change des monnaies qui sont désormais, en théorie, librement déterminées par le marché. ⇒ Le marché des changes est supposé corriger de lui-même les éventuelles sous évaluations ou surévaluations des monnaies. Si le marché des changes estime que le taux de change entre deux monnaies n’est pas

asiatique avec les conséquences économiques et sociales que l’on sait. Elle plongea une région entière dans une zone de très fortes turbulences et de récession économique sans précédent. De nombreuses voix s’élevèrent alors pour contester la dérive spéculative d’un système financier international « victime » de sa croissance vertigineuse. Néanmoins, au-delà de cette contestation qui, en dépit des apparences, reste fragile, l’irréversibilité de certains aspects de ce processus de mondialisation et de

multitude de labels est de nature à perdre un peu plus le consommateur. L’État a donc un rôle à jouer pour faire le tri entre les différents labels et éventuellement pour les uniformiser. 2) L’État peut utiliser les instruments économiques La théorie économique en distingue deux types : l’éco-taxe et les permis de polluer échangeables sur un marché. Dans les deux cas, il s’agit d’internaliser les coûts sociaux de pollution dans les prix de vente. La fiscalité repose sur le principe dit du « pollueur-payeur »

intègrent déjà toute l’information. Il est aussi impossible de réaliser une performance par-dessus le marché car les prix réagissent immédiatement à une nouvelle (il n’y a pas d’asymétrie d’information). Le concept d’efficience des marchés est une théorie, mais il est d’autant plus proche de la réalité que : - L’accès à l’information est libre pour tous et peu onéreux ; - Le coût des transactions est faible ; - Le marché est liquide pour permettre l’ajustement rapide des prix ; - Et les investisseurs

monnaie offertes et demandées par les intervenants sur le marché. En réalité, le régime flottant pur n’existe pas et les banques centrales interviennent pour tenter d’influencer l’évolution des taux de change, tout particulièrement en cas d’attaque spéculative. Dans ce cas on peut même parler d'un troisième type de régime de change c'est celui dite d'intermédiaire. Donc entre deux régimes extrêmes (fixe et flexible), on trouve les régimes intermédiaires, qui se distinguent selon les fluctuations que la