Théorie Prix Ricardo

pour les pays “occidentaux” 1.1. La théorie des avantages comparatifs de Ricardo et l'argumentaire en faveur du libreéchange ● Alors que la plupart des gens voient spontanément dans le libre-échange une menace ou un risque, la majorité des économistes y voient une source d'efficacité accrue et d'enrichissement pour tous les acteurs concernés. C'est la théorie des avantages comparatifs de Ricardo qui fonde tout l'argumentaire libre-échangiste. David Ricardo, au début du XIXe siècle (en 1817 exactement)

le cadre de ce thème, nous allons essayer dans un premier temps de mettre l’accent sur les précurseurs de la pensé économique préclassique puis en parler des grands courants principaux de cette dernier ainsi que les différents auteurs et leurs théories, dans un deuxième temps on va essayer de faire une comparaison entre les différents courants de la pensé économique. I- La pensée économique préclassique A- les mercantilistes Dans un contexte de capitalisme commerciale, marqué par la multiplication

plus attractif. Pour étudier le cas du Brésil la théorie de Ricardo est importante. En effet Ricardo reprend la pensée d’Adam Smith plus précisément sa théorie des avantages absolus qui dit, au sujet des échanges internationaux, que « chaque pays se spécialise dans la production où il possède un avantage absolu en matière de coût ». Cette théorie se heurte au cas des pays qui n’ont aucun avantage absolu de production. Ricardo émet donc la théorie des avantages comparatifs, selon laquelle « chaque

du référentiel |Compétences | |- les fondements des échanges internationaux |- présenter les principales théories du commerce international en distinguant les théories du | | |libre-échange et celles du protectionnisme. | CHAPITRE 2: les fondements des échanges internationaux

incertitude  du  monde  réel  étant  totalement  évacuée  du  tableau.  Comme  il  nʹy  a  plus  dʹincertitude,  pertes  et  profits  disparaissent, et chaque entreprise voit son prix de vente exactement valoir ses coûts  de production.                                                    1  SCHUMPETER, J.A. 1911. Théorie de l’évolution économique (traduction française en 1935)    1 Ce  nʹest  certainement  pas  par  accident  que  la  prise  de  pouvoir  par  lʹéconomie  walrasienne  a 

formule mathématiquement la théorie du « tâtonnement walrasien » = un commissaire annonce alors un prix, et recueille toutes les intentions de demande et d'offre. Si celles-ci ne coïncident pas, il fixe un nouveau prix, et l'annonce. Les agents modifient alors leurs intentions, que le commissaire priseur collecte à nouveau, etc. Le processus se répète jusqu'à ce que le commissaire-priseur ait trouvé un prix où l'offre et la demande coïncident. Il annonce alors ce dernier prix, et permet à ce moment-là

L'étalon or I/ Présentation Régime monétaire international mais également interne. Ce régime a été dans un premier temps théorisé par HUME, puis Surtout par RICARDO, cet économiste libéral qui a proposé un tel régime afin de soustraire la création monétaire de la discrétion du pouvoir politique. C'est donc un projet économique mais également éminemment politique, car cela implique une règle automatique visant à dépolitiser la monnaie. Ce régime est souvent cité comme celui ayant accompagné

les taxe douanières, les entreprise ont donc une baisse de leur cout de production, et .il peuvent la répercuter sur leur prix se qui leur permet de gagner en compétitivité prix on a donc une amélioration du solde exterieur lié a une augmentation des exportation ce qui permet finalement une augmentation du PIB. B) le libre échange a la l’échelle mondiale (les théories) la tendance a l’ouverture international semble montrer la victoire des argument libre-échangiste : cette pensé

Smith, le paradigme libéral ou classique contribue à la détacher définitivement de l’analyse politique. Au 19e siècle, la révolution financière et la révolution industrielle contribuent à une remise en cause partielle du paradigme classique. Des théories alternatives plaident en faveur d’une action étendue de l’Etat pour réguler les activités économiques. De la fin du 19e siècle à nos jours, on assiste à la coexistence de plusieurs paradigmes concurrents : le néoclassicisme, le keynésianisme, le

Smith, le paradigme libéral ou classique contribue à la détachée définitivement de l’analyse politique. 4) Au 19ième siècle, la Révolution financière et la Révolution Industrielle contribue à une remise en cause partielle du paradigme classique. Les théories alternatives plaident en faveur d’une action étendue de l’Etat pour réguler les activités économiques. 5) De la fin du 19ième siècle à nos jours, on assiste à la coexistence de plusieurs paradigmes concurrents : le néoclassicisme, le keynésianisme