Théorie Quantitative De La Monnaie De Friedman

théoricien de l’offre. Milton Friedman et les monétaristes : • le symptôme majeur de la crise est l’inflation. Il faut mettre en oeuvre une politique de lutte contre l’inflation. • une politique d’expansion monétaire keynésienne (crédit facile) favorise le développement de l’inflation. En effet, Friedman constate que la masse monétaire augmente plus vite que l’activité économique. La cause de l’inflation est donc une accroissement anormal de la quantité de monnaie par rapport au volume de la

Milton Friedman et les monétaristes : le symptôme majeur de la crise est l’inflation. Il faut mettre en oeuvre une politique de lutte contre l’inflation. une politique d’expansion monétaire keynésienne (crédit facile) favorise le développement de l’inflation. En effet, Friedman constate que la masse monétaire augmente plus vite que l’activité économique. La cause de l’inflation est donc une accroissement anormal de la quantité de monnaie par rapport au volume de la production. Milton Friedman est

|MONNAIE ET CREDIT | I / La monétarisation de l'économie 1) Qu'est-ce que la monnaie? a- Ses fonctions Aristote est le premier à avoir distingué 3 fonctions de la monnaie : ⁃ étalon ou unité de compte : instrument de mesure de la valeur, la monnaie permet d'exprimer le prix des produits dans une unité commune, ce qui simplifie les comptes des agents; ⁃ intermédiaire

La monnaie et le financement de l'économie A/ La monnaie 1 Les 2 formes de monnaies - La monnaie fiduciaire, c'est-à-dire la monnaie manuelle ( billets de banque et monnaie métallique.) - La monnaie scripturale, c'est-à-dire la monnaie inscrite sur les comptes des banques De nos jours la monnaie scripturale représente plus de 90% des disponibilités monétaires.   2 Les fonctions de la monnaie 2-1- Fonctions économiques - La monnaie, unité de mesure des prix : elle permet d'évaluer la valeur

analysés. Les individus prennent pour modèle un individu abstrait qui est libre et rationnel : l’HOMO OECONOMICUS. C’est une sc rigoureuse mais épurée ds la manière de présenter. Méthode ensembliste car forte utilisation des maths et de la théorie des ensembles. Aristote Macroéco Etude qui observe directement l’organisme par des agrégats pour ensuite comprendre l’articulat° des éléments Il n’y a pas de modèle type car les indivs n’ont pas d’importance en tant que tel. L’Etude porte

politique était très difficile en France ; car la désinflation compétitive s’accompagne d’une forte hausse du chômage et donc de l’exclusion. Cependant, dans le même temps s’était installé un climat de croissance vertueux aux Etats-Unis. Selon Milton FRIEDMAN, le chômage est le prix à payer pour réparer les errements des politiques keynésiennes. Il les compare a de l’alcoolisme, elles ont des effets à court terme, mais sur le long terme elles sont néfastes et provoquent de l’inflation. Après une politique

Objectifs : - Définir la monnaie et présenter ses fonctions - Expliquer le rôle économique de la monnaie et des différents intermédiaires financiers - Comprendre les mécanismes de la création monétaire - Expliquer les déterminants de la demande de monnaie - Comprendre comment sont déterminés les différents taux d’intérêts dans l’économie et leurs impacts sur l’économie réelle - Expliquer comment les banques centrales modifient le volume de la monnaie en circulation - Comprendre la teneur et

Corrigé type TD Economie Page 62 1. Irving Fisher (1867-1947) est connu pour sa formulation de la théorie quantitative de la monnaie selon laquelle un accroissement de la masse monétaire entraîne automatiquement une hausse des prix dès lorsqu’il est supérieur à celui de la production. Cette théorie sera ensuite reprise dès les années 1970 par les monétaristes et Milton Friedman en particulier. 2. Une bulle spéculative en bourse s’était formée en 1929, permise à la fois par la faiblesse des taux

siècle. Il est dominant jusque dans les années 30. Après c’est le modèle keynésien qui a prit l’ascendant. MARSHALL et PIGOU sont notamment 2 principaux auteurs classiques. Le modèle est revenu en force à la fin des années 50 avec les monétaristes (FRIEDMAN). Dans les années 70, on voit apparaître les nouveaux classiques (BARRO, SARGENT, LUCAS, WALLACE), ils y ont ajouté un certain nombre de raffinement. Le modèle classique, défendu aujourd’hui par les néoclassiques, est extrêmement influent auprès

défenseurs se prononcent au contraire pour une liberté d’émission monétaire en fonction desbesoins de l’économie sans lien directe et étroit avec l’encaisse métallique des banques souscontrainte de convertibilité. Cela a l’avantage de disposer d’une monnaie dont la quantité peutaugmenter en même temps que le rythme des affaires.Pour éviter des crises majeures, l’émission des billets de banques peut être plafonnée ou limitée àun certain pourcentage de l’encaisse métallique.Le système de la « Banking school