Thérèse Philosophe

Voltaire, un grand homme qui vivait en dix-huitième siècle, était un penseur, un écrivain et un philosophe. Il a écrit beaucoup de contes philosophique qui le mettent au premier plan de la littérature française (Moments Litteraires, p.98). En 1761, il a écrit l’histoire d’un bon bramin. Dans ce conte, il s’agit de l’expérience du narrateur quand il voyage en Inde. Le narrateur rencontre un bramin qui était sage, savant et riche. Le bramin ne manquant de rien, pourtant il n’est pas content parce qu’il

« moi » vide de tout objet de conscience et de penser l’unité du moi. Pourrait-il y avoir un sujet sans objet ? Faut-il saisir le moi pour savoir que c’est bien moi, que ce sont bien mes perceptions ? Le texte débute ainsi « Il y a certains philosophes qui imaginent que nous avons à tout moment la conscience intime de ce que nous appelons notre Moi, que nous sentons son existence et sa continuité d’existence. » Cela signifie que certains philosophent s’interrogent sur l’existence du « moi », une

longtemps. Qui peut prouver que quelque chose est la pure vérité? Personne. Nous ne pouvons que trouver des preuves qui soutiennent nos idées. Bien sûr, lorsque l’on parle de vérité, nous ne pouvons pas passer à côté de la religion. Pour plusieurs philosophes, la vérité est intimement liée à Dieu. Pour Descartes, les idées claires et distinctes, les idées vraies, ne peuvent provenir que de Dieu. Quant à lui, Melbranche disait que les idées étaient éternelles et qu’elles ne pouvaient que résider dans

fasciné par lui-même. Depuis l’Antiquité, plusieurs personnes se sont penchées sur le sujet, comme Socrate, Aristote et Platon. Ils se sont intéressés à l’homme et à son fonctionnement. Puis, quelques centaines d’années plus tard, le travail de ces philosophes a été redécouvert en Europe. Les gens se sont mis à penser et à produire des théories sur l’être humain. C’est le début du rationalisme moderne. Le père de cette nouvelle ère de la philosophie est Descartes, homme ayant vécu au XVIIe siècle. Il

y a des hommes visionnaires ou encore politique qui remettent en cause des idées toutes faites pour avoir raison et ainsi redonner de l’espoir aux gens, par exemple. Une sorte de résistance aux faits pour aider. Des poètes, historiens ou autres philosophes vont annoncer des choses qui vont être contredites par les faits ; l’exemple de Charles de Gaule qui va redonner le prestige à la France durant et après la seconde guerre mondiale alors que les faits allaient plonger cette dernière dans un profond

Suite de : Le doute hyperbolique.docx Le Cogito, Descartes 30-2 Descartes précise le sens de son doute artificiel ou extrême. Descartes a pour volonté d’accéder à une certitude fondée lorsqu’une idée résiste au doute extrême. Descartes a donc la prétention dans son esprit une idée qui s’impose à lui et face à laquelle il doit s’incliner ou se soumettre. Le sujet humain est cap à la fois d’être libre, sans influence, et d’admettre une vérité. Dans le parcours de Descartes, une première vérité est

On peut analyser le philosophe, Citophile, comme étant la caricature parfaite des « grands philosophes ». Devant le problème de son amie, il ne sait qu’étaler son savoir en utilisant des exemples de l’Histoire. Aussi, son nom, de racine latine, signifie ‘celui qui aime citer’ le qualifiant donc apte qu’à ne faire des citations. Cela renforce l’idée de la caricature des philosophes latins, il récite les exemples sans vraiment ressentir de véritables sentiments, ce n’est que pour lui son savoir culturel

C'est un texte extrait du livre Candide, l'optimisme de Voltaire (1694 - 1778) , un grand écrivain et philosophe du XVIIIème siècle. Dans cet extrait, Pangloss, Candide et Martin questionnent le meilleur philosophe de Turquie, à savoir : Pourquoi l'homme a été créée, mais ce philosophe n'y accorde aucune importance. Ensuite, les trois compères questionnent un vieillard sur le nom du muphti qu'on venait d'étrangler à Constantinople mais ils partirent devant l'ignorance du vieillard. Premièrement

plusieurs reprises dans l’extrait : « atomes pensants », « barbares sédentaires », « assassins ridicules », « s’égorgent mutuellement » Le philosophe terrien déplore que tous les hommes soient des « fous » (« méchants et malheureux », mis à part quelque savants auxquels on ne s’intéresse pas suffisamment. Voltaire regrette ici le peu de pouvoir accordé aux philosophes et aux hommes de science à son époque.Les hommes sont comparés à des «  fous » et à de « chétifs animaux ». L’auteur donne ainsi une vision

Introduction : Le désir n’est pas extérieur à nous, nous ne le possédons pas : nous sommes désir. Dieu est une substance infinie qui se confond avec la nature. Il existe un ordre identique présidant à la connexion des idées et à celle des choses. Il est donc possible à l’homme de trouver en lui même la vérité. Or, la raison de l’homme est limitée et imparfaite. La vérité lui est donc nécessairement inaccessible. S’il peut néanmoins l’atteindre, c’est parce qu’elle lui est révélée par un principe