Théâtre S Instruire

cultivé, moralement irréprochable, qui supporte les épreuves avec dignité . des genres littéraires strictement définis et distincts : règle des trois unités au théâtre . une littérature de bon goût  par opposition à la démesure baroque: mesure, élégance, équilibre, harmonie, sobriété, discrétion, respect des bienséances . plaire et instruire : alliance du plaisir et de l’enseignement, du bon goût et de la morale

Psyché et Cupidon » (1669) livrets d'opéra « Astrée » (1691) théâtre « l'Eunuque » (1654) « Contes et Nouvelles en vers » (1665, 1666, 1671) et ses « Fables » (1668, 1678, 1693) 3- Son importance Fait grimper la fable à son apogée, ouvre la voie à l'apologue. Dénonce certains aspects de la société, pose un regard lucide sur les rapports de pouvoir et la nature humaine, sans oublier de plaire pour instruire, surtout avec ses Contes et ses Fables → récits didactiques, moralisateurs

conscience humaine. «  Le théâtre, le mien, est le plus souvent une confession). Eugène Ionesco (1909-1994) est un dramaturge d’origine roumaine. Naturalisé français en 1950, il manifestera toujours un grand intérêt pour la Roumanie et l’Europe de L’est. Il se trouvera fréquemment en relation avec des exilés roumains comme Cioran ou Mircea Eliade et avec des dissidents des pays de l’Est. Il est élu à l’Académie Française en 1970. Son théâtre est qualifié comme théâtre de l’absurde. Mais il « préfère

Théâtre du XVII siècle Le théâtre est un genre apparut à l'Antiquité. Au début du XVII siècle, le théâtre n'est pas un genre noble , il est surtout joué par des comédiens nomades, le répertoire est assez pauvre constitué surtout de pastorales mais à la fin du siècle tout a changé. Le XVIIème siècle va ainsi devenir le siècle du Théâtre en lui redonnant ses lettres de noblesses. Nous verrons donc pourquoi le XVIIème siècle permet un renouveau dans le théâtre; I:Théâtres et représentations

des formes, le mouvement, les jeux de miroir, les métamorphoses. Mais ceci se dessine sur un arrière-fond pessimiste : la mort est toujours présente, le monde est inconstance et illusion. • Le baroque s’exprime dans le théâtre et la poésie. Les effets de théâtre dans le théâtre et de mise en abyme sont privilégiés (Corneille, L’Illusion comique). • Il donne lieu à deux déclinaisons antagonistes : la préciosité et le burlesque. La préciosité s’éloigne du réel en utilisant un langage raffiné (périphrases

La tragédie est une oeuvre théâtrale lyrique dont l’origine remonte au théâtre grec. Elle s’oppose à la comédie par son sujet noble, grave et par son dénouement malheureux, de plus, au temps de la Grèce antique, on l’opposait au drame satirique. Etymologiquement, le terme « tragédie » signifie littéralement « chant du bouc », mais le sens n’est pas clair. Les origines : La tragédie grecque La tragédie

rideau. Lève le voile sur les acteurs. Introduit théâtralité. - Personnages: ont un rôle, donc sont acteurs. Mondains, prêtre, sauvage: stéréotypes exarcerbés. Semblent déambuler au fil de l'œuvre. - On retrouve des Tirade: appartient au voc du théâtre mais présentes par vieillard, Thia, Polly. Idem, A et b emploie en quelques sortes des stichomythies. - Si le SVB s'apparente à une sorte de pièce, elle serait de registre comique: Cf Quiproquo: l'aumônier refuse les filles: fatigue pour Orou /

graves » sur le mode sérieux, mais de prendre le parti d’en rire. Pour Nietzsche, la « philosophie » de Figaro, personnage de théâtre, est aussi valable dans la vie réelle : « L’homme », dit-il, « souffre si profondément qu’il a dû inventer le rire ». Peut-on aborder les questions graves sur le mode humoristique ? L’artiste doit-il, comme le conseillait Molière, instruire en faisant rire ? Le parti pris de « rire de tout » n’a-t-il pas des limites ? I. L’humour rend plus réceptif aux sujets sérieux

« choses graves » sur le mode sérieux, mais de prendre le parti d'en rire. Pour Nietzsche, la « philosophie » de Figaro, personnage de théâtre, est aussi valable dans la vie réelle : « L'homme », dit-il, « souffre si profondément qu'il a dû inventer le rire ». Peut-on aborder les questions graves sur le mode comique ? L'artiste doit-il, comme le conseillait Molière, instruire en faisant rire ? Le parti pris de « rire de tout » n'a-t-il pas des limites et ne faut-il pas traiter sérieusement certaines questions

Rochefoucauld (1664) illustre le projet de La B. Comme lui, il énonce des vérités universelles, sur la nature humaine, les comportements en société. Il veut dire ces leçons en peu de mots, laissant le lecteur prolonger la réflexion. Il veut ‘’plaire et instruire’’ (placere et docere, précepte des Classiques), avec des formes diverses (remarques, portraits, blâmes, éloges, satires, formes plus brèves que la réflexion ou le conte). Il est un précurseur des Lumières, pratiquant l’esprit d’observation (comme