Tirade Amour Impossible

Art de Yasmina Reza La tirade d’Yvan __________________________________________________________________________________ Texte : Yvan pénètre en parlant dans la pièce. YVAN : Alors dramatique, problème insoluble, dramatique, les deux bellesmères veulent figurer sur le carton d'invitation. Catherine adore sa belle-mère qui l'a quasiment élevée, elle la veut sur le carton, elle la veut, la belle-mère n'envisage pas, et c'est normal, la mère est morte, de ne pas figurer à côté du père, moi je hais la

dénouement tragique. Cette scène, est celle ou les deux amoureux s’avouent leur passion, qui reste néanmoins impossible. I - Un dénouement comique A - Un renvoi constant à la cérémonie de mariage. Le passage de la scène de dénouement de la pièce commence par des paroles venant de Camille qui s’adresse à Dieu. C’est la première fois que Camille et Perdican s’avouent réciproquement leur amour, d’ailleurs « il l’a prend dans ses bras » , puis « l’embrasse ». Ces trois faits (la présence de « Dieu

souffle je réduis leurs projets en fumée »Sa tirade montrant des actes tellement exceptionnels le rend impossible , faisant son auto-portrait n'attire que le rire du spectateur dû à une description peu crédible : ses seules armes sont « Le foudre » « Un souffle » « un revers de main » II]Un amoureux ridicule >Matamore est amoureux, « Toutefois, je songe à ma maîtresse » cela l’arrête dans son désir de conquête et le calme cela prouve donc son amour car cette dernière est réputée pour adoucir

2007. 4 axes de lecture. – L'amour impossible (beauté/laideur). – Le discours libertin. – Le double-je (Christian/Cyrano) – Le panache. Chaque axe est étudié à travers une des trois oeuvres seulement, sauf le panache qui sera étudié à travers les trois oeuvres. La scène finale est étudiée comparativement dans les trois oeuvres. Schéma chronologique de l'étude: Acte I Scènes 1, 2, 3 et début 4 (Film) Acte I Scène 4: Tirade du nez (Texte) Acte I Scène 4: Duel (Théâtre)

étudierons ce moment-clé en faisant apparaître dans un premier temps les prémices de la situation amenant à l'aveu. Ensuite nous aborderons le moment de la réaction : l'innocence d'Hippolyte et sa rationalité. Enfin, nous montrerons les éléments de la tirade de Phèdre qui traduisent le sentiment honteux qu'elle éprouve et qui se retrouvent dans les caractéristiques de la tragédie. ------------------------------------------------- I. Une demande de service qui précède un aveu : l'adultère

que les sujets les plus tragiques, selon l’expression d’Aristote, résident dans « le surgissement des violences au sein des alliances », à savoir les amours impossibles, voire incestueux, les amours contrariés et les meurtres de proches, voire les parricides. La tragédie est un genre qui se concentrent très souvent sur des amours impossibles ( exemple: entre deux personnes d'une classe sociale différente) et incestueux (relation sexuelle entre membre d'une même famille) et des amours contrariés

châtier durement. Oenone, après avoir exercé une pression constante sur Phèdre pour qu’elle dise les raisons de son mal, lui arrache le nom d’Hippolyte à force de modalités interrogatives et de mise en confiance. En effet, Phèdre semble déclarer son amour contre son gré, bouleversée par le nom prononcé par Oenone au vers 205, puis ébranlée par la violence et les supplications d’Oenone, elle reporte deux fois la responsabilité sur elle de son aveu au vers 246 : « tu le veux, lève-toi » et au vers 264 :

Devoir français / Julien Balloué 2B1 Bérénice est une tragédie classique écrite par Racine en 1671 relatant un amour impossible entre deux êtres séparés par un cruel dilemme vécu par Titus, le héros. Racine, dramaturge et historiographe du roi est considéré comme l’un des plus grand auteurs de tragédies de la période classique de la France de Louis XIV. Cette discussion entre les deux personnages du cinquième acte montre admirablement les deux personnages faisant face à leur devoir ; Bérénice

Toison d’or, secrétaire universel et premier ministre. Son amour lui donnant du génie, il tente de régénérer l'Espagne. Dans une tirade véhémente (« Bon appétit ! messieurs ! »), il apostrophe durement les ministres prévaricateurs qui se partagent les profits de l’empire, leur reproche leur corruption. La reine l'a entendu : sensible à tant de grandeur et de pureté, elle, que délaisse son époux, s’éprend de Ruy Blas et lui fait l’aveu de son amour. Mais Don Salluste est de retour : il raille Ruy Blas

« écoute-moi » L1, « ne parle pas » L2. Elle cherche a capter l'attention de son interlocuteur de manière à ce qu'il soit attentif à ses paroles. Elle tente de se rassurer à travers l'apostrophe « Wahab ! »L3, 6, 10, 20 et 29 en se raccrochant à son amour pour la personne qu'elle ne cesse de nommer. La manière dont Nawal avoue qu' elle porte l'enfant de Wahab montre le trouble émotionnelle dans lequel elle se trouve. En effet, remarquons des phrases exclamatives « Wahab ! »L3 et 29, « Et il n'y a