Tirade De Créon

montrer sur scène de mort sanglante, de violence, de contacts physiques… D. Composition du texte : Il faut distinguer le texte dit par les comédiens: les répliques, et les indications scéniques : les didascalies. Si une réplique est longue, c’est une “tirade”. Si le personnage parle seul en scène (ou se croit seul), c’est un “monologue”. Une réplique dite à part (sans que l’interlocuteur ne l’entende) est un “aparté”. Les didascalies renseignent sur le décor, les mouvements, le ton à prendre... Elles

parole, elle occupe 31 lignes de l'extrait, contrairement aux autres présentés ce n'est pas un dialogue car Pyrrhus ne prend pas la parole, Hermione se lance donc dans une tirade, ce n'est pas le cas de Bérénice dans l'extrait IV de Racine. En effet elle aussi comme Hérmione se lance dans un long discourt mais non dans une tirade car Titus fait une intervention certe brève mais offre une réponse à sa belle. Ces différentes sortes de prise de parole ne sont pas vaines car elles évoluent toutes, comme

pour les cerner. En outre, i1 est curieux de remarquer que le travai1.de CITTIs'est dévoloppé dans le sens d'un mécanicisme croissant; C I ~perd en I cours de route I'habitude de discuter casuistiquement les implications et les contextes des l tirades qui I'intéressent. En effect, dans une premiere version d ~chapitre i propos de Sophocle (nsofocle e le structure di potere nell'Atene del V secolon BIFG, 1976, pp. 84-120) notre A. remarquait, tout en dépistant les traces de la tension entre individu

pièces où sont mises en scène Médée. C’est en partie par le registre pathétique que s’installent les larmes. Lorsqu’Euripide adapte Médée au théâtre, nous remarquons que ce n’est pas pour mettre en avant le pathos des personnages, toutefois certaines tirades de l’héroïne soulignent sa douleur qui invite aux larmes et ce dès le prologue : « Hélas ! infortunée que je suis ! misérable, en proie à quelle souffrances ! Malheur, malheur à moi ! Que ne puis-je mourir ! » Puis : « Hélas ! j’ai souffert, infortunée

gréco-romaine enfin il évoque les rois les plus proches. Cette longue énumération et la gradation tendent à montrer que le pouvoir et la richesse aboutissent sans cesse à une fin tragique. c) Eloge travail : - Pour contredire les grandes tirades de Pangloss, candide ne se lance pas dans de grandes démonstrations mais incite Pangloss à cesser de parler pour se remettre au travail « il faut cultiver son jardin » x2. Cette morale intervient à chaque fois pour mettre aux longues paroles de Pangloss

Analytique Œdipe Roi On peut étudier la progression de l’action (cf. p.170)  Scène statique (≠ dynamique) car pas de didascalies. Souvent pas de didascalies dans les tragédies grecques. Dialogue : stichomythies puis tirades. Progression argumentative. Quels sont les arguments ? I- Les personnages -> Aspect extérieur ? Condition sociale ? Portée symbolique. Fonction dramatique ? : rôle dans l’action -> schéma actantiel registre de chaque personnage. (cf. p.168)

combat singulier. Créon, nouveau roi de Thèbes et frère de Jocaste, ordonne des funérailles solennelles pour Étéocle, mais interdit d'ensevelir son autre neveu, Polynice, considéré comme traître à la Cité. Seule Antigone s'oppose à cette décision et refuse de s'y soumettre. Ayant fait donner une sépulture à Polynice, elle est condamnée par Créon à être enterrée vivante dans le tombeau des Labdacides. Son fiancé Hémon, fils de Créon, se tue sur le cadavre d'Antigone et l'épouse de Créon se suicide après

elle. Elle pense. Elle pense qu’elle va être Antigone tout à l’heure, qu’elle va surgir soudain de la maigre jeune fille noiraude et renfermée que personne ne prenait au sérieux dans la famille et se dresser seule en face du monde, seule en face de Créon, son oncle, qui est le roi. Elle pense qu’elle va mourir, qu’elle est jeune et qu’elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n’y a rien à faire. Elle s’appelle Antigone et il va falloir qu’elle joue son rôle jusqu’au bout… Et, depuis que ce rideau

I – Les personnages 1/Antigone est la fille d’Œdipe, roi de Thèbes et de la reine Jocaste. 2/ Les frères de l’héroïne sont Etéocle et Polynice et sa sœur se nomme Ismène. 3/ Créon est le roi de Thèbes, il est le frère de Jocaste donc l’oncle de l’héroïne. Eurydice est la femme de Créon donc la tante d’Antigone. II - L’histoire de la pièce 4/ Suite à la mort de leur père Œdipe, les deux frères Etéocle et Polynice doivent régner sur Thèbes un an l’un après l’autre. Mais ils se disputent le

........................ ............................................................................... 9. Pourquoi Créon est-il en désaccord avec le peuple ? ............................................................................... ............................................................................... 1 Lamaison – Sophocle Œdipe roi 10. Comment Créon est-il présenté (qualités, défauts, ambitions, caractères, attitudes, etc.) ? Vous est-il sympathique ? Pourquoi ? ..