Tirade De Théramène

l'acte V on apprend la mort de Oenone, on l'apprend par Panope, la mort de Hippolyte nous est apprise par Théramène et la mort de Phèdre qui nous est apprise par...  Commentaire littéraire « Les aveux de Phèdre » Racine, Phèdre, 1677, Acte I, scène 3 Cet extrait est tiré de la pièce de théâtre Phèdre qui a été écrite par Racine en 1677. Dans cette extrait, Phèdre, par une longue tirade, avoue à sa confidente Œnone la passion interdite qu’elle éprouve pour Hippolyte son beau-fils. En quoi Racine

protestations d’innocence de son fils, a appelé contre lui la malédiction de Neptune. L’acte IV se termine sur la jalousie de Phèdre, qui renonce ainsi à disculper Hippolyte. Mais l’acte V fait naître chez Thésée des doutes, trop tardifs : le récit de Théramène lui apprend la mort terrible d’Hippolyte. Dans cette scène 7 nous arrivons au dénouement. Problématique: Quel sens donner à l’ultime aveu de Phèdre ? I - Un plaidoyer A. L’aveu intervient de façon brutale Il est introduit par un alexandrin au

Pierre Pithou pour son édition de 1596. De l'étude et de la collation des différentes sources, il résulte que la fin du livre I est perdue ainsi qu'une partie du livre V. Résumé Acte I (5 scènes) Hippolyte, fils de Thésée, annonce à son confident Théramène son intention de quitter Trézène pour fuir sa belle-mère Phèdre qu'il n'aime pas et surtout pour fuir son amour pour Aricie, sœur des Pallantides, un clan ennemi. Phèdre, épouse de Thésée, avoue à Œnone, sa nourrice et confidente, la passion qu’elle

personnage comique : Figaro en auteur compositeur auto-satisfait de ses vers qui surprend son maître dans un accoutrement inhabituel. II- Une opposition entre les personnages a. Une prise de parole spécifique : alors que le comte s’exprime par une tirade, Figaro tergiverse sur la qualité de ses vers, sur les idées véhiculées par sa chanson. Le premier est en pleine réflexion personnelle, le second en pleine phase de création avec ce que cela suppose de rectifications ou de contentement. b. Un langage

la communication orale. L'échange à travers le dialogue est fait de répliques de tailles diverses, de l'échange vif par vers ou courtes phrases qui se répondent (stichomythie) aux répliques longues et élaborées qui constituent des tirades (exemple : le récit de Théramène à la fin de Phèdre de Racine). Quand le personnage est seul sur scène (ou se croit seul) et s’exprime, il s’agit d’un monologue. Celui-ci a pour fonction l’information du spectateur et l’introspection du personnage qui fait le

face sur la scène. Mais au théâtre, toutes les répliques ont aussi un second destinataire, le public ce qui forme donc une double énonciation. Il y a aussi la tirade qui est une longue réplique prononcée sans interruption, qui implique un approfondissement de l'échange et coïncide avec un ralentissement du rythme comme la tirade de Théramène, dans Phèdre de Jean Racine lors de l'acte cinq, scène six. La stichomythie quant à elle est une succession de courtes répliques de longueur identique et syntaxiquement

face sur la scène. Mais au théâtre, toutes les répliques ont aussi un second destinataire, le public ce qui forme donc une double énonciation. Il y a aussi la tirade qui est une longue réplique prononcée sans interruption, qui implique un approfondissement de l'échange et coïncide avec un ralentissement du rythme comme la tirade de Théramène, dans Phèdre de Jean Racine lors de l'acte cinq, scène six. La stichomythie quant à elle est une succession de courtes répliques de longueur identique et syntaxiquement

Procédé utilisé pour créer un effet de dynamisme, de vivacité lorsque les personnages s'affrontent en un duel verbal. . Une tirade : Longue réplique ; elle permet au personnage de développer une argumentation ou de s'épancher avec lyrisme. Réduits à un temps de silence, ses interlocuteurs rejoignent en quelque sorte la situation de spectateurs. Exemple : la tirade du nez dans Cyrano de Bergerac, d'Edmond Rostand, acte 1, scène 4. Un récit : Au théâtre, un récit raconte un événement lié

lexical des yeux -récit de la 1ere rencontre amoureuse: schéma invariable: commence par 1er regard et après échange de parole puis désir réciproque ou non de se revoir → « voir », « vue », trois occurrence des yeux -Néron revoit mentalement Junie.fin tirade, il dit que son « image » est « trop présente a ses yeux » → « image »répété 2x → idée d'idole → Junie=Déesse 2. Néron amoureux -charnel et spirituel - »excité d'un désir curieux » → montre le désir physique de l'empereur -V.384 epanothose → aspect

l’intrigue, argumentatif quand il y a conflit entre des personnages, ou encore injonctif quand des ordres ou conseil sont donnés, notamment dans le rapport maître-valet dans les comédies. Ce texte peut aussi prendre des formes variées avec des longues tirades ou des rapides stichomythies qui rythment le texte et la parole des comédiens. Le théâtre repose sur les mots échangés par les personnages mais ils ne suffisent pas pour faire une représentation théâtrale. Lors d’une représentation théâtrale, les